CANCER ET HYPERTROPHIE DE LA PROSTATE
15 Juin 2016
Le principal danger est la présence associé d’un cancer. il ne faut pas oublier que même chez un
Prostatique opéré,la greffe d’un cancer est toujours possible sur la coque restante de l’adénome opéré .
Le problème constant et récurrent est le dépistage du cancer permettant de proposer les
Thérapeutiques appropriées et ce dépistage pose
Le problème de l’interprétation du taux de PSA et
Enoncer clairement ,comme l’on fait le 29éme congrès de la SOCIÉTÉ INTERNATIONALE D’UROLOGIE (9/9/2007-PARIS) et l’étude ERPS que le dépistage génère certainement des tests inutiles et des surdiagnostics ,extrêmement difficiles à contrôler mais les chiffres sont les témoins de cette difficulté :
Taux de cancer et dosage du PSA :
1% pour des taux 02ng/ml
15% ……………………….24ng/ml
25%………………………..410ng/ml
50%………………………….>PSA 10ng/ml
L’étude de IAN THOMSON a étudié la prévalence de
Cancer des hommes ayant des taux de PSA <4ng/ml
Et combien avait un cancer à haut grade.
Sur 3000 patients de 62 à 91 ans :
15% avaient un cancer en dépit du taux de PSA bas.
15% des 15% avaient un score de gravité de GLEASON
à 7 ou supérieur.
Donc sur 100 hommes qui ont un PSA inférieur ou égal à 4ng/ml 15 ont un cancer avec 3 à haut grade.
Les difficultés qui oscille entre banalisation et surenchère ont amené THOMSON(NEJM 27 MAI 2004) sur les bases de données du National Cancer Institute un logiciel d’évaluation pour calculer chez un patient les risques de cancer de prostate
(age,antécédents familiaux,toucher rectal,PSA etc) :
« PROSTATE CANCER RISK CALCULATOR »
Ce logiciel permet d’expliquer les notions de risque
Et de probabilité qui permettront d’opter ou non pour une biopsie,impliquant une orientation thérapeutique.