Péri ménopause ou pré ménopause

Péri ménopause ou PRÉ MÉNOPAUSE

A partir de 35 ans, la fertilité chez la femme baisse et correspond à un irrégularité des règles s’étalent sur 2 à 8 ans avec une variable de 3 ans. La ménopause s’installant à partir de la cinquantaine.

Classiquement, la péri ménopause est sensible aux contraceptifs oraux faiblement dosés tandis que la ménopause est sensible à un traitement substitutif hormonal.

Dans les deux cas ces schémas thérapeutiques sont établies et élaborés sous contrôle médical après avoir tenu compte des antécédents médicaux ;

• Tabagisme

• Vasculaire thrombose

• Hépatique

• Cancer et hérédité cancéreuse

• Diabète

• 

Biologiquement la muqueuse se caractérise par une baisse de la FSH et de l’oestradiol, alors que la péri ménopause présente des concentrations hormonales instables et variables évoluant dans un climat d’hyper oestrogénique et hyper progestatif.

C’est dire que la surveillance et le traitement de cette période charnière de péri ménopause doit être particulièrement serrée et justifie un environnement médical. Environnement justifié par le déséquilibre hypo progestatif et hyper oestrogénique favorisant l’hyperplasie de la muqueuse utérine ou l’apparition d’un cancer.

C’est dire que la surveillance de la péri ménopause pré ménopause ne pourra pas uniquement se faire sur des critères hormonaux éminemment variable (FSH ou oestradiol).

Il est important de souligner qu’une surveillance vigilante devra dans tous les cas et devant tous symptômes inhabituelles ;

• saignement,

• tension des seins,

• présence de masse des seins,

qui doit faire appel à des examens approfondis ;

1. mammographie

2. frottis endo et exocol

3. échographie pelvienne voire hystéroscopie et biopsie

Critères cliniques de la péri ménopause ou pré ménopause

Ils associent divers symptômes

1. Saignement irrégulier avec ou sans ovulation
2. Bouffée de chaleur ou sueur nocturne (nette 2 ans avant la ménopause)
3. Insomnie
4. Dépression ou humeur changeante
5. Troubles Muqueux vaginaux

    

Le traitement par progestatif ou contraceptif faiblement dosé peuvent soulager et rétablir un statut hormonal ou physique agréable à la femme. Mais ce traitement est d’obédience strictement médicale et justifiera une surveillance vigilante biologique, radiologique.

Si les antécédents sont suspects, lourds ou particulièrement dangereux, la phytothérapie aura sa place, tout en insistant sur même des plantes à faible action hormonale de type oestrogène en justifiant les mêmes précautions d’usage.

Et il ne serait question d’y déroger et de vérifier toujours l’impact de cette plante a effet œstrogène particulièrement néfaste, s’il existe des antécédents de cancer familiaux ou de cancer du sein traité.

Plante à action hormonale dans la pré ménopause

1. Les plantes agissant sur l’hypophyse

1. Plante frénatrice de l’hypophyse

• • Le bouleau en chaton

1. Plantes stimulantes de l’hypophyse utile dans les aménorrhées

• • L’aunée

  • L’anis

• • 1. Les plantes agissant sur la stimulation des corticosurrenales

• Le cassis

• Le quercus pedunculata

• Rosa canina

• La réglisse

• Le séquoia gigantea

• Les huiles essentielles de basilic et de pin

• • 1. Les plantes à action thyroïdienne 

1. 1. 1. 1. 1. 1. Les plantes antithyroïdiennes

• Vitex agnus castus

• Lycopode

• Le chou

• Le cumin

• Le colza

• Le fenouil

• La fabiana

• Le navet

• Le lithospermum

1. 1. 1. 1. 1. 1. Les plantes stimulantes de la thyroïde 

• Le fucus

• La laminaire

• L’eucalyptus

• Les huiles essentielles de thym et de sarriette

1. Les plantes à action progestatives

• La réglisse

• L’achémille

• Le séquoia gigantea

1. Les plantes folliculiniques stimulantes ovarienne oestrogénique

• Le safran

• Le houblon

• Le lamier

• L’angélique

• Le cimicifuga

• Le persil en grain

• Hedera hélix

• L’achémille est également considérée à la fois hyperfolliculinique et stimulante progestative

• Le fenouil est à la fois freinateur thyroïdien et stimulant ovarien

1. Les plantes frénatrices ovariennes dites antifolliculiniques

• Le lithospermum

Qui est antifolliculinique périphérique frénateur de la TSH et de la FSA

• Le cumin

Freinateur de l’ovaire antifolliculinique

• Le vitex agnus castus

Qui est antifolliculinique et aussi antithyroïdien.

• La sauge

Est connu comme antioestrogénique que l’on utilise dans l’aménorrhée et la dysménorrhée

D’autres plantes doivent être cité pour leurs actions hormonales chez la femme ;

• La carotte

Qui a une action gonadotrope.

• Le carvi Carum carvi

Mais qui contient une huile essentielle qui est toxique à forte dose si elle est donnée a plus de 4g.

Elle contient des composants à action oestrogénique. Elle est donnée en infusion à 2 à 4g par litre ou en poudre à 3g par jour ou en nébulisât jusqu’à 2g par jour.

• L’eleutherocoque

Est connu pour son action gonadotrophique.

• Le ginseng Panax ginseng

A également une action du même type, action de type gonadotrophique, mais aussi une action oestrogénique.

• L’olivier Olea europea

Présente des œstrogènes dans ses noyaux et son huile en faible quantité.

Certaines plantes sont moins utilisées car d’utilisation difficile ou hors d’usage.

• Le cimicifuga Racemosa ou Altea grappe noir

Dont on connaît l’action vasculaire hypotensive et associé aux millepertuis. Utile dans les syndromes prémenstruelle et peut être utilisé à 8g d’extrait par jour.

Mais il a des effets secondaires ;

• Intolérance gastrique intestinale

• L’hypotension

• Céphalée

• Vertige

• Nausée

• Et allergie

Il a une interaction avec les agents hypertenseurs, sa contre-indication et l’hypertension et les tumeurs oestrogeno-dépendantes.

• La luzerne Medicago sativa

Qui contient des œstrogènes dont on utilise les parties aériennes.

• Le grenadier Punica Granatum

Les graines contiennent des dérivés oestrogéniques.

• La petite pervenche Vinca minor

 la feuille contient des composées a action gonadotrophique pouvait etre utilisé en infusion jusqu’à 15g par litre.Interactions dangereuses avec médicaments cardiaques.

Arrêt de commercialisation par décret ministriel Octobre 1998

;

• Le rheum Rhponticum

Qui contient un composé oestrogénique.

• Le pisum sativum

Qui a un principe contraceptif contenu dans sa plante dont l’action a été confirmée au Tibet et en Inde.

• Le cynoglossum

Dans la famille des borraginacées dont la racine est utilisée à Madagascar comme contraceptif.

Notre variété de cynoglosse de type officinal appelé langue de chien n’a qu’une action que sur la toux et su les gerçures.

Enfin ;

• La marjolaine Origanum majorana

Dont on utilise les sommités fleuries qui est une plante bactéricide discrète sur les actions antivirale par ses acides phénols et surtout connue par son action antigonadotrophique, spasmolytique et sédative.

Enfin, il faut connaître des plantes utilisées à l’étranger, en particulier en Chine pour les troubles des règles ou la régularisation des règles ;

• L’angelica sinensis

Dont on utilise la racine qui est considérée comme tranquillisant, analgésique et régularisant les règles.

• Le corydalis

Qui est un tonique nerveux et qui est utilisée dans les dysménorrhées.

• Le carthamus tinctorius

La carthame qui est un sédatif et agit sur les troubles des règles.

• La pivoine Paeonia albiflora

Qui est un analgésique et un régulateur des règles.

Traitement du syndrome pré menstruelle dans la péri ménopause aviser

de régulation hormonale

• L’alchémille Alchemilla vulgaris

Dont on utilise les feuilles et les parties aériennes qui agit sur le corps jaune et qui agit sur l’hyperfolliculinisme.

Que l’on utilise en infusion 10 à 15g par litre 2 tasses par jour. On peut l’utiliser en nébulisât 1 à 3g par jour de préférence du 10^eme au 28^eme jour du cycle.

Des travaux récents ont montré l’action antigonadotrophique de l’alchémille dont la propriété est voisine de celle du grémil.

• L’angelica archangelica

Est utilisée dans les règles douloureuses comme antispasmodique et dans l’anxiété et l’émotivité.

On l’associe souvent ;

• en teinture mère angelica archangelica

• teinture bouleau

• teinture origanum majorana

• teinture mère mélisse officinalis

  • Le tout dans 150cc 70 gouttes, 3 fois par jour

Formule qui agit surtout dans les dysménorrhées.

• Le gattilier Vitex agnus castus

Qui est antispasmodique, antifolliculinique, un galectogogue et un bon équilibrateur du système vagosympathique.

Il est peut être utilisé en extrait de plante entière à 40mg par jour. Il agit comme dopaminergique, hypoprolactinemie, anti-inflammatoire, antiandrogénique et antimicrobien.

Il agit de façon importante sur le syndrome prémenstruelle, mais à des effets secondaires.

Il peut augmente la quantité des règles, modifie le cycle, provoque des allergies, provoque une sécheresse de la bouche et des nausées.

Ses contre-indications doivent être connu ;

• Contraceptifs oraux

• Hormonaux thérapie de type de substitution THS, agoniste et antagoniste dopaminergique

Par ailleurs, les études récentes ont montrées qu’il stimule la sécrétion de la progestérone, qu’il a une action hypophysaire en abaissant le taux de FSH.

Il agit donc sur le corps jaune et donc est plutôt indiqué dans le syndrome prémenstruelle avec hyperfolliculinisme et surtout s’il existe un herpès ou un acnée prémenstruelle.

Le gattilier peut également agir en cas de stimulation des aménorrhées passagères.

• La sauge Salvia officinalis

Dont on utilise les feuilles et les sommités fleuries à une action antisudorale mais surtout une action oestrogénique utile dans les aménorrhée et les dysménorrhées.

On l’utilise en infusion jusqu’à 4g par jour. Mais il faut savoir que son huile essentielle la thuyone est toxique.

• Le calendula Calendula officinalis

Dont les fleurs sont oestrogéniques régularise et provoque les règles. C’est un sédatif des douleurs utérines.

Formules en cas de règles abondantes, d’états tétaniques et de tendance hyperthyroïdienne ;

Associant ;

• Lithospermum en teinture mère

• Gelsemium en teinture mère

• Saule en teinture mère

  • Le tout à 125cc, 50 gouttes, 3 fois par jour

Ou ;

• • • Huile essentielle de cyprès

    • Huile essentielle de sauge

• Le tout à 2g dans 125cc d’huile de pépin de raisin, 35 gouttes, 3 fois par jour

Ou encore ;

• • Gattilier en teinture mère

  • Maïs en teinture mère

  • Alchémille en teinture mère

    • Le tout dans 125cc, 3 fois 50 gouttes par jour

Ou encore ;

• Huile essentielle de lavande

• Huile essentielle de cumin

• Huile essentielle de genièvre

  • Le tout à 1.25g dans 125cc d’huile de pépin de raisin, 3 fois 35 gouttes par jour

Formules en cas des seins douloureux de type mastose avec augmentation du système pileux et syndrome prémenstruelle marqué ;

On peut associer ;

• L’alchémille en teinture mère

• L’angélique en teinture mère

• L’artemisia vulgaris en teinture mère

  • Dans 125cc, 50 gouttes 3 fois par jour

Ou ;

• Huile essentielle de verveine

• Huile essentielle de Ylang-Ylang

• Huile essentielle d’hysope

  • Le tout à 1.25g dans 125cc d’huile de pépin de raisin, 3 fois, 50 gouttes par jour

En cas de règle douloureuse ou dysménorrhée

On peut associer ;

• Matricaire Matricaria chamomilla en teinture mère

• L’estragon Artemisia vulgaris en teinture mère

• Alchemilla vulgaris en teinture mère

  • Le tout dans 125cc, 3 fois 50 gouttes ou 3 fois 80 gouttes par jour

Il faut savoir que l’huile essentielle d’estragon à une action remarquable que les algies pelviennes, l’huile doit être donné à 5 gouttes dans la journée.

Formule à action antigonadotrope

Donner 20 jours par mois pendant 2 mois, associant ;

• Lithospermum

• Symifolium consolida

• Anchusa officinalis

• Hysope

• Calendula

  • Le tour à 5g dans de l’alcool de mélisse à 120cc

Ou en nébulisât ;

• • • Lithospermum

    • Gattilier

    • Eleutherocoque

    • Réglisse

    • Ginseng

      • Dans une gélule dosé à 0.10g

En cas de bouffée de chaleur

On peut associer ;

• • • Le cassis

    • L’églantier

    • La vigne rouge

    • Le ginkgo biloba

    • La bourse à pasteur

      • Le tout à 5g dans de l’alcool de mélisse à 120cc en donnant 3 fois 80 gouttes un quart d’heure avant chaque repas

On peut également préparer une gélule associant des huiles essentielles ;

• De thym

• De sauge

• De basilic

• De bryobalanop comphora

• De térébenthine

  • Le tout à 0.01 pour une gélule

On peut naturellement associer les phytoœstrogènes du soja qui est une alternative au traitement substitutif, dont on connaît les contre-indications ;

• Cancer du sein évolutif

• Antécédents personnels de cancer

• Cancer de l’endomètre

Il diminue l’action de l’antiœstrogène d’un produit appelé tamoxifene. Il justifie donc une surveillance importante bien qu’il n’agisse pas sur l’endomètre utérin.

Il agit en se fixant sur les récepteurs des œstrogènes, il agit en 5 à 6 semaines, agissant sur les bouffées de chaleur et l’action est due aux isoflavones dosée à 75 mg par jour.

En cas de trouble circulatoire associé on peut donner la formule suivante ;

• Le ruscus en teinture mère Ruscus aculeatus

• Corylus auellanan en teinture mère

• Spiraea ulmaria en teinture mère

• Melilotus officinalis en teinture mère

• Vaccinium myrtillus en teinture mère

  • Le tout à 10g dans de l’alcool à 80 degré

S’il existe un état insomniaque ou de nervosité

On peut associer ;

• Un nébulisât de pavot de Californie

• Valériane

• Passiflore

  • Dosé à 0.15 par gélule

Ou

• Teinture mère de pavot de Californie

• Valériane en teinture mère

• Pivoine en teinture mère

• Angélique en teinture mère

• Marjolaine en teinture mère

  • Le tout à 5g dans de l’alcool de mélisse à 100cc 60 gouttes, 3 fois par jour

Ou encore ;

• Lotier Lotus corniculatus

• Valériane

• Ulmaire

• Aubépine

  • En nébulisât dosé à 0.15g pour une gélule

On peut naturellement agir sur le terrain fatigué par le désordre hormonal et des règles irrégulier en stimulant la surrénale et en donnant des plantes riches en vitamine C

On peut donc proposer ;

• Le nébulisât d’églantier

• Cassis

• Ginseng

• Eleutherocoque

  • En nébulisât dosé à 0.15 pour une gélule 3 fois par jour

Ou

• Teinture mère de pin Pinus Sylvestris

• Nastrunum officinalis

• Hippophae rhamnoïdes

• Physalis

• Alkekengi

• Citrus aurantium

  • Le tout en teinture mère à 5g dans de l’alcool à 80 degré à 80cc, 3 fois 30 gouttes par jour et a ne pas donner le soir

On peut également donner un traitement dit eutrophique à donner avant les repas associant ;

• Spyruria maxima

• Ginseng

• Eleutherocoque

• Lithothamnisus

• Gentiane

  • Le tout en nébulisât à 0.10 pour une gélule

Plante agissant comme tonique vasculaire avec sensation de congestion pelvienne

On propose ;

• Vigne rouge

En extrait fluide 2 à 3 cuillère à café par jour, où en nébulisât, ou en décoction 50g par litre ; que l’on donne dans les hyperménorrhées douloureuses c’est-à-dire les règles très abondantes en particulier chez les femmes hyperfolliculinique.

• L’hamamélis

Qui est un tonique vasculaire riche en vitamine P, vasoconstricteur et hémostatique.

Que l’on donne en infusion de feuille à 10g pour un litre en teinture mère, en extrait fluide ou en nébulisât.

• La viorne Viburnum opulus

Qui agit comme tonique veineux et dans les douleurs des règles qui est donné en teinture mère, ou en décoction d’écorce 20 à 30g par litre.

En cas de douleurs des règles c’est-à-dire dysménorrhée on a cité l’estragon donc à donner en huile essentielle 5 gouttes pour la journée ou 7 jours précèdent les règles, on peut associer ;

• Teinture mère de piscidia

• Gelsemium en teinture mère

• Artemisia en teinture mère

• Verbena officinalis

  • Le tout à 2g dans de l’alcoolat de mélisse à 70 degré à 120cc 2 fois 50 gouttes par jour

Où une association de plante en nébulisât associant ;

• Harpagophytum nébulisât 0.2g

• Ulmaire

• Alchémille

• Aubépine

  • Le tout à 0.1g pour une gélule 3 gélules 3 fois par jour

Plante agissant dans les troubles hémorragique des règles c’est-à-dire métrorragies

Elles sont en nombre de sept ;

1. La prêle Equisetum arvense

2. Le lamier blanc Lamium album

3. L’hydrastis Hydrastis canadensis

4. L’ergot de seigle Claviceps purpurea

5. La bourse à pasteur Capsella bursa pastoris

6. Le cyprès Cupressus sempervirens

7. La vigne rouge Vitis vinifera

On peut associer une formule simple :

• Vigne rouge 50g feuille

• Sommités fleur fumeterre 25g

• Sommités fleur marjolaine 25g

  • Une cuillère à soupe par tasse

• La prêle

Elle est anticoagulante et hémostatique grâce à ses composées peptiques.

On peut la donner en poudre 3 à 4g par jour où en nébulisât 2 à 3g par jour.

• Le lamier blanc

Riche en tanin est astringent, tonique sur la fibre utérine a une très bonne action dans les hémorragies.

On l’utilise en décoction une cuillère à dessert de fleur ou de feuille pour une tasse 3 fois par jour ou en alcoolature 2 à 3 cuillères à café.

• L’hydrastis

Que l’on trouve pratiquement plu dans les prescriptions. Il est hémostatique, vasoconstricteur pelvien.

Il est utilisé soit en teinture mère ou en décoction de racine à 60g par litre.

• L’ergot de seigle

Dont on utilise les dérivés comme vasoconstricteur sur les muscles lisses qui est un hémostatique, mais dont l’utilisation doit être entouré de précaution puisqu’il existe une interaction avec les médicaments et en particulier les macrolides.

• La bourse à pasteur

Elle est hémostatique augmente le tonus utérin et surtout agit dans la pré ménopause.

Utilisée en teinture mère 3 fois 50 gouttes par jour, ou en alcoolature 15 à 20 gouttes 3 fois par jour.

• Le cyprès

Utilisé en teinture mère 30 à 60 gouttes 3 fois par jour, ou en extrait mou de noix de cyprès 0.25g à 1g par jour.

• La vigne rouge

Riche en vitamine P et surtout utilisée également dans la ménopause.

• L’hamamélis Hamamélis Virginiana

Qui est un vasoconstricteur veineux riche en vitamine, c’est un antihémorragique capillaire.

Utilisé en teinture mère 40 gouttes à 50 gouttes 3 fois par jour, ou en décoction de feuille une cuillère à café par tasse.

• L’épine vinette Berberis vulgaris

Agit comme l’hydrastis que l’on donne en extrait fluide 2 à 3g par jour.

• L’ortie Urtica dioica

Qui est un vasoconstricteur hémostatique ont l’utilise en teinture mère ou en infusion de feuille et de racine 50g par litre.

On peut préparer un sirop antihémorragique dit antimétrorragique ;

• Extrait fluide de berberis 2g

• Extrait fluide de cyprès 2g

• Elexir de garus 20g

• Sirop simple 100ml

• Une cuillère à soupe toutes les 2 à 3 heures jusqu’à cessation de l’hémorragie

L’elexir de garus contient ; du garus, de la capillaire et de la fleur d’oranger.

Dans le problème des péri ménopause ont peut se retrouver devant des cycles sans règles et ont peut proposer des plantes emménagogue.

Il parait souhaitable d’intervenir d’une façon très ponctuelle et jamais au delà de 2 jours. Certaines formules sont adaptées à ce genre d’action.

1. Solanum nigrum Morelle

Dont on utilise la tige, la feuille ou la plante fleurie qui contient un produit la solaline qui est analgésique.

1. Le calendula officinalis Le souci du jardin

Dont on utilise l’herbe et les fleurs mondées, qui est un vasodilatateur hypertenseur qui augmente les contractions utérine et qui est utilisé surtout en extrait alcoolique.

On peut associer ;

• Teinture mère de solanum nigrum à 3g

• Teinture de calendula officinalis à 10g

  • Dans de l’alcoolat de mélisse à 60cc en donnant 3 fois 40 gouttes par jour

On peut également associer ;

• Le stachys sylvatica grande épeire

• Le senecio jacober

• Le tanacetum vulgare tennessee

  • Le tout en teinture mère 20 gouttes 4 fois par jour

Mais il faut savoir que le senecio a une toxicité qui est imprévisible, il faut toujours penser aux risques hépatiques imprévisible. Donc plante à surveiller et sous contrôle médicale.

• La menthe

Dont on utilise la feuille et les sommités fleuries qui excite la contraction utérine.

On l’utilise en infusion 5 à10 g par litre ou en nébulisât jusqu’à 3g par jour.

• Le persil Petroselinum hortense