Compléments Alimentaires et Plantes Preventives, Différentiation?

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COMPLEMENTS ALIMENTAIRES ET PLANTES PREVENTIVES

2 Novembre 2015

 

                             Différentiation. et Encadrement

Selon le site santé du Ministère des Affaires sociales et de la Santé du 23 janvier 2013,il est explicitement écrit ques les compléments alimentaires sont défininis” comme des denrées alimentaires dont le but est de complêter un régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriements ou d’autres substances ayant une effet nutritionnel ou physiologique”

.Régulation française décrêt du 2006-352 du 20 mars 2006 transposant la directive européenne 2002/46/CE(1).le décrêt 2008-839 du 26 aôut 2008 modifie le décrêt D4211-12 qui prévoit que les plantes médicinales inscrites à la pharmacopée  française peuvent ête vendues dans les compléments alimentaires.

Libéralisation de 148 plantes mais le mélange n’est pas maintenu sauf pour Tilleul,Oranger,Verveine,Menthe,Hibiscus,Orange,Camomille .Cynhorodon ..

L’article D 4211-2 remplace le 2006-332 du 20 mars 2006,à l’exception des plantes du Tableau B de la Pharmacopée IV.7-B,plantes toxiques telles aconit,buis,datura,ephedra,Kawa-kawa,Gui,Coloquinte etc….L’arrêté du 9 mai 2006 décrit vitamines et minéraux autorisés aux compléments alimentaires.

 

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Les compléments alimentaires NE SONT PAS DES MEDICAMENTS 

 

Le site évoque un système de surveillance,nutrivigilance pour signaler les effets indésirables: ANSES,Loi HTPS de  21 Juillet 2009,les substances interdites Article L5312-2 du CSP.Tout produit nécessite une déclaration préalable (DGCCF et ANSE)

 

Si on se réfère à la directive europénne 2002/46 CE du 10 juin 2002,on remarque  dans l’Article 6 que les compléments alimentaires ne doivent pas présenter d’étiquettage spécifiant:propriétés de prévention,de traitement ou guérison d’une maladie,ni évoquer ses propriétés. Doivent ête spécifiés :Nom de produit et catégorie,sa prise journalière,avertissement en cas se surdosage,ne sont pas des substitut alimentaire,et non à la portée des enfants.

 

Dans l’annexe 2 sont cités 13 vitamines et 80 substances minérales et une liste de

 

plus 600 produits classés par numéro type 3480::camomille. par exemple

Le 14 decembre 2012 toute allégation d’un effet sur la santé doit désormais s’appuyer sur des arguments scientifiques de la Commission Européenne:réglement n°432/2012 de la commission du 16 mai 2012 applicable le 14 décembre 2O12:liste de 222 allegations autorisées.Cette liste fait suite aux propositions d’allégations des états membres passant de 44.000 à 4600 en 2010,pour un premier travail fait en 2011 et le 27 avril 2012 aboutira le 16 mai 2012  à une liste définitive de 222 alégations.Ses allégations regroupent vitamines,sels minéraux,acide gras,,et de façon paradoxale ,par manque d’informations ou  de publications,les plantes  sont peu  citées,  mais à l’étude par

 

L’EFSA qui a établi  un compendium  l’Esco 8 mars

 

2009 des espèces botaniques possédant toxicité, propriétés addictives,psychotropes,compendium qui est un priliminaire sans jugement d’implications alimentaires ou d’utilisation définitive.C’est un compendium d’orientation d’expertise. avec 900 entrées (encadrement ESCO,EMA,WHO,Council of Europe.EFSA)

 

il faut ajouter une liste proposée le 12 mai 2013 avec 547 plantes dont 229  d’usage restreint et étiquetée.L’ITEIPMAI donne la liste révisée des plantes de la pharmacopée Européenne appliquée le 1 juiliet 2013 avec:

Textes révisés sur Chélidoine,coriandre,Frêne,Mellilot,Menthe poivrée He,Palmier de Floride,Pissenlit,Verveine

Nouvelles rénovations  avec applications immédiates:Actée,Angélica

 

Sinensis,Atractylodes cacea et microcephala,Dryanana,Poria,Niaouli

Seules les 148 plantes libérées  (Décrêt de 2008-81)peuvent entrer dans

 

l’élaboration de compléments alimentaires.Le fabricant est responsable de la conformité des mises en

 

 

vigueur,normes,sécurité,avec demande  à la DGCCRF et ANSES.donc,hormis l’information et éducation et encadrement,il est admis que le risque zéro n’existe pas en phytothérapie.

La directive européenne  sur les compléments alimentaires du 16 mai 2012 cite peu d”éléments végétaux dans les  222 allégations ,et de façon paradoxale,cite des produits ayant des actions pharmacologiques. alors qu’un complément alimentaire  est censé avoir une action physiolgique et non pharmacologique. (donc pas de prévention,traitement ,guérison Code R112-14):

*Béta -Glucanane avoine,son d’orge et orge agissant sur le cholestérol / à 3 gr/j

 

*Béta-Glucanane d’ Avoine ou Orge pour la glycémie

 

élevée après le repas/4 gr /j

 

*Arabinoxylase d’endosperme de blé pour la glycémie:8 gr de fibre(avec 60% d’arabinoxylase)

*Glucomannane du Konjac/4gr/jpour cholestéol/régime hypocalorique 1 gr en 3 fois

*Gomme de Guar/10gr/j pour cholestérol

 

*Levure de riz rouge contenant monacoline K /10 mg/j.Ici ,on peut -etre surpris que ce produit ne soit pas médicalisé.Equivalent au Statine,avec incidents musculaires

*Pectine:pour cholestérol 6 gr/j et pour Glycémie 10gr.j

*Polyphénol de l’huile d’Olive/Contre le stress oxydatif/20gr/j

 

*Stérol végétaux et Stanol,/regulation du cholestérol/0,8gr/j

Le problème est important car les compléments alimentaires touchent 20% de population européenne(22% e Italie),touche 1 Européen sur 5 (Etude Inca 2): avec prescripition médicale:32% adultes,39% enfants.;Conseil d’un proche 14%,;produit par internet 15%.;Achat en pharmacie:54% :.Supermarché:14%.;Magasins de diétiétique 9%

 

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Une étude Inca 3 est mis en route en 2014 avec ANES,INPES,incluant enfants de moins de 3 ans,productions alimentaires personnelles et biologiques,estimations nutritionnelles,estimations des compléments alimentaires ,évaluations des risques.Si on se rapproche des ratio de ventes apparaissent par rang:

1er )Gingko Biloba:interaction avec les anticoagulants

2 éme )Onagre:probléme de l’équilibre des acides gras avec perturbation induite,dépendant – doses

3 éme )Artichaud

4 éme)Ginseng agit sur la tension,glycémie et humeur

 

5 éme)Aloe:problème récurrent des anthraquinones(cancérogénèse,hypokalièmie et interactions avec les cardio-glucosides)

 

 

Les études doivent:`

*Juger de l’exactitudes des propositions données sur la denrée,avec ou non vertus médicinales

*Sécurité et adéquation alimentaire

*Définir le seuil d’une consommation excessive d’un aliment

*Inciter à consommer ou non une alimentation ,est-elle justifiée selon le statut alimentaire connu.,référencé

*vérifier l’exactitudes des mentions citées (cholestérol,poids,vitalité etc.)qui en fin de compte définisse un traitement par destination.

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Il faut donc reprendre les nouvelles données et notamment de décrypter la signification entre action physiologique et action pharmacologique,car il semble bien que la terminologie ne soit pas adaptée   si on se réfère par exemple à la levure de Riz Rouge qui a toutes les attributions d’un médicament hypocholestéolémiant.D’autre part,l’analyse des 148 plantes libérées (2008 )+37 (1979) qui s’inscrivent dans une logique d’automédication,présentent des particularités pharmacologiques avec effets secondaires et interactions médicamenteuses,phénomènes déjà  traités dans le” thème Plantes libérées ”

 

évoquant entre autre Ail, Gingko,Ginseng,Euleuterocoque,Camomille etc..Cette libéralisation est profitable en terme d’économie de santé et de dépense publique et réduction de consommations  de médicaments,mais ne libère pas la plante du principe élémentaire de précaution justifiiant traçabilité,transparence et données scientifiques rénovées.Reprendre une plante pour se retrouver avec des effets pervers, ou effets secondaires ,ce n’est pas le but recherché,d’oû un conjonction d’études avec l’EFSA,avec publication du Journal EFSA 2012-10(7)2760,remplaçant celie de 2001(SCF 2001),guide de soumission

 

 

d’évaluation des additifs alimentaires;s’appuyant

 

*Sur Chimie et Spécification physicochimique d’une simple substance,d’une mixture simple,d’une mixture complexe ,polymères,dérivés des souces botaniques(type Stévia et Romarin),présences de microorganismes

*L’aspect des autorisations  des additifs et de leurs effets de leur exposition,dont le risque alléatoire (Risk assessement Paragdism)

*Etudes Toxicologiques:

****Methodes de fabrication et protocoles

***** Toxicologie cinétiqe/Génotoxique,Toxicologie chronique et cancérogénèe,toxicité de le reproduction,Imunotoxicité,neurotoxicité

**** Qu’apporte l’additif si longue exposition,est-il stable,méthodes d’analyse des aliments

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Ces éléments conduisent à deux scénario:

1)Autorisation d’un nouvel additif

2)Modifications de l’utilisation de additifs antérieurement autorisés

3)sur quels  éléments se basent les cirtères  d’évaluation d’autorisation

 

antérieures.

 

Qui dit cultures botaniques ,exposition possible aux risques des pesticides,régulés par la limite maximale des résidus(LMP)autorisé par CE  1107/2009 applicable le 14 juin 2011.Etudes mise en place par le PPR et EFSA .Il a été noté des troubles neurologiques et thyroïdien.la régulation des pesticides est loin d’être simple:en 1993 1000 substances actives utilisées.Sur 250 substances 70 ont été éliminées,67 % ont été retirés du marché,26 % sont approuvées,7 %

 

retirées après études((Source Journal EFSA 2013):sont exlcus les produits à effets

 

locaux,effets non adversifs,effets non humains,evaluation ambigue,identification non spécifique.

enfin Ensa met un programme de risques physico-chimiques et bactériens liées aux nouveaux procédés:Liés aux matériaux biodégradables,(biocapteurs,)les emballages entrainant troubles endocriniens et dérivés perfluorés.le risque infectieux a été noté avec l’eschérichia coli 010 H4 sur les graines germées.

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Problématique de la supplémentation en compléments alimentaires 

 

 

vitaminiques et minéraux.

 

1)Cette suppplémentation n’emporte pas l’unaminité  en particulier vitamines A,E,et C notamment chez l’enfant si on se réfère à la revue Prescrire de Mai 2014/tome 34 N°367,page 352.l’apport en Vitamine D n’est pas contesté.,ce qui était acquis depuis de nombreuses années,les bébés florides”Blédina” aux poignets déformés(indice de rachitisme) ont disparu.L’AFSSAF recommande une alimentation équilibrée chez l’enfant assoçiant:

*5 fruits et légumes

 

*3 produits laitiers

*Du pain

 

*Des Céréales

 

*Légumes Secs

*Protéines:une à deux fos par jour:Volaille,Viande rouge,Oeuf,

*Poissons deux fois par semaine

2)Dans la même revue  page 374,il est fait état,que la supplémentation en Vitamine D assoçié ou non au calcium ne prévient pas la fracture ostéoporotique:Etudes sur 43.500 adultes en six essais,incluant en majorité des

 

femmes ménopausées :Chung and Co /Metaanalis for Us preventive Services Task Force .Ann.Intern.med 20011/155(12)827-38 et étude avec Vitamine D seule Bischoff-Ferrari Ha and Co. N.Engl.Jour.Med 2012,367(1)40-49.On retrouve dans les deux cas des risques potentiels  de calculs rénaux voire incidents vasculalres.

 

Il est conclu qu’une supplémentation en vitamine D et Calcium n’est pas indispensable chez un” sujet en bonne santé,n’ayant pas d’antécédent de fracture

 

et vivant à domicile”

En fin de compte ,on peut légitimement poser les questions suivantes:

a)Qu’est une personne en bonne santé à l’âge de la ménopause?

 

b)Que deviennent les protocoles thérapeutiques répétés avec force,justifiant une prévention thérapeutique,hormonale ,vasculaire et ostéoporotique ?

A y regarder de plus près,les conditions de bonne santé,sont en fin de compte le reflet de mode de vie,et il n’est pas certain que la différentiation soit faite,chez le retraité ou le seinor vivant seul ou en communauté.Et les mêmes facteurs de

 

fragilité doivent être parfaitement compris et encadrés. Ainsi doivent être évoqués:

1)Critères d’une alimentation équilibrée,5 fuits et légumes;nouvelles initiatives de concept d’alimentation rapide encadrés par ” chefs de cuisine”et accesibilité au nouveau protocole alimentaire,sont -telles comprises  ?

2)Limitation de la consommation de l”alcool

3)Lutter contre l’obésité:Attention  Garcinia Cambodgia et Citrus Aurantium Spess Amara,Orange Amère étaitent proposés dans les régimes amaigrissants.Du fait de leur actions secondaires graves,elles sont interdites à cet usage  par

 

L’ANAES depuis le 12 avril 2012.S’il est  est toléré une dose journalière de la

 

molécule de l’orange amère de P-Synéphrine à 20 mg/j,il apparait que les intolérances cardiaques,hépatiques et neurologiques incitent à exclure son usage.

4)Promotionner l’activité physique

5)Lutter contre l’isolement,dévelloper les structures d’acceuil assoçiatifs ( théatre,conférences,musiques,jeux communotaires,éléctroniques)

6)Eradiquer Hyperlipidémie et Diabète:athéogène

7)Abolir le tabac

 

8)Définir une lutte contre l’Hypertension artérielle (30 % de traitements en déficit)

 

On peut légitiment cibler les populations en difficultés et en déséquilibre

 

alimentaire:précarisation,vieiillards,Encore faut-il que l’accès des compléments alimentaires soit facilité par leur lisibilité et leur prix.Les études de références sont le résultats des campagnes éducatives de l’UNICEF et OMS,oû des programmes de supplémentations ont été mis place dans  de nombreux pays émergeants chez l’enfant de  2 mois à 24 mois.,avec FER,CALCIUM,VITAMINE A,dans un but multiple oû la mère  devait jouer un rôle primordial:croissance,diminution des morbidités et maladies communes types diarrhées,infections à répétition.les évidences d’efficacité  doivent s’appuyer sur des critères:

*Convaincant

*Probable

 

 

*Suggestif

*Non Concluant

*Effet substantiel mais insuffisamment basé sur des niveaux biologiques fluctuants.

*les études sont nombreuses mais font apparaitre des disparités des études de 1996 à 2006  :basées sur 42 publications dont 29 essais d’efficacité,13 études suivies dans 25 contrées qui montrent:

++Sur la Croissance :11 études,7 essais et une seule intervention stratégique alimentaire coordonnée.

++Sur la Morbidité: sur onze études peu d’effets sur la morbidité

 

++Devellopement cérébral;sur les études suivies,une positive

 

++Apport de FER,ZINC,VITAMINE A:avec des résultats discordants de défaut d’impact

 

Il apparait très clairement que bien que la mode de compléments alimentaires soient entré en force sur les tables américaines en 1980, et malgré un marché toujours florissant la tendance  privilégie la médicalisation du contexte alimentaire.L’apport d’ une plante dans un complément alimentaire nécessite

 

plus de transparence et s’intègre non plus dans un apport physiologique simple

 

et devient par son mode opératoire préventif un médicament phytothérapique par destination.

Il apparait également que si l’intervention nutritionnelle et éducative se placent  entre l’âge de 2 mois et 24mois,après le 24 ème mois,les effets escomptés ne seront pas à la  hauteur espérée

*Apport de Fer et action de l’anémie:dans l’ensemble 12 + 7 études positives.

*Apport de Zinc augmentant le taux sérique de Zinc

*Apport de Vitamine A:pas d’incidence sur le taux plasmatique,action si déficit

 

avéré

 

Selon Dewey et Seth Adu-Afarwuah.Maternal and Child Nutrition 2008/4 .24-85.Résultats que nous reprendrons et qui démontrent qu’en matière de compléments alimentaires,rien n’est acquis.

 

Les premiers éléments de preuve des compléments alimentaires simples

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1)Assoçiation entre ratio des niveaux lipidiques et risques de morbidité cardiaque est acquis depuis longtemps, notamment l’intervention du régime baissant le LDL Cholestérol.une étude princeps irlandaise résume cet acquis de prévention.Plus le sujet est jeune,plus les ratio de lipides sont sensibles à la baisse.,avec baisse de la mortalité cardiaque de 1/4  de régime de sujets de 55-64 ans.,les taux de chlolestérol  baissant rapidement  de 0,6 mmol/l (10%),sur deux ans,au-delà de 3 ans les modes alimentaires préventifs doivent être remaniés.Il a été constaté que la margarine avec Stérol et Stanol réduit les taux de cholestérol.Cette étude montre significativement que plus l’intervention diétiéque est précoce , plus les ratio morbides cardio-vaculaires sont   moindres

Law/.European Heart Journal Supplements 1999/Vol 1 N)S.53-58

Les auteurs Law,Wald,Thompson dans BMJ 5 fevrier 1994,308(6925)367-372 a repris les bases de la prévention vasculaire sur 10 prospectives entre accident coronarien et concentration en cholestérol,3 études internationales,28 essais randomisés.Le fait de décroitre le cholestérol de 0,6mmol/l soit 10 % diminue la mortalité ischémique cardiaque de 54% à l’âge de 40 ans,39% à 50 ans,27 % à 60 ans,20% à 70 ans,19% à 80 ans.L’incidence de incidents coronariens sont réduit

 

de de 7 % à 14 % dans les 2 premières années,15 à 28% de 2,1 à 5 ans,de 15 à 35 % après 5 ans.Bien que les effectifs féminins soient moins importants les ratio sont supperposables.

Les auteurs concluent que sur un demi-millions de personnes et 18.000 accidents cardiaques,la réduction à long terme de 0,6mmol/l avec un régime diétiétique modérement changé abaissent le risque de maladie cardiaque de 50 % à l’âge de 40 ans,mais tombant à 20% à 70 ans

Le même auteur Law dans BMJ de 28-06-2003 a quantifié AVC et accidents coronariens ,LDL cholestérol et action des statines.3 Métaanalyses:160 randomisations courtes avec 6 Statines et LDL;58 essais avec baisse du cholestéol sans préjuger de la méthode opérationnelle,9 cohortes et 58 essais avec AVC:Les statines et baisse de LDL cholestérol de 1,8 mmol/l abaissent le risque cardiaque de 60 % et AVC de 17 %;

D’autre part,si le LDL est réduit de 21 % la première année,les accidents cardiaques sont réduits de 21 %,En cas de baisse de 33 % de HDL entre 3-5 ans la baisse d’accident est de 31 %.

 

Il apparait donc clairement qu’une intervention diétiétique est acquise en terme de prévention cardiaque,même en cas d’intervention mesurée.Elle conforte le rôle important des statines et surtout impose de réviser le concept des compléments à visée anti-cholestérolémiques.S’ils sont efficaces c’est un médicament(type levure rouge du riz).Si les chiffres ne sont pas présents sont-ils suffisants et leur caractère anti-oxydant sont-ils une justification en terme de prévention. vasculaire..D’autre part,l’âge est un caractère péjoratif,en terme de facteurs de fragilité additionnels (type diabète,poids,Ta ,alcool,tabac,etc..)

 

 Les impacts des compléments alimentaires  chez l’enfant dans les pays émergeants

 

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Le combat contre les effets de la malnutritition ont guidé les états et organismes

 

internationaux type UNICEF ou OMS de mettre en place programmes  agricole de cultures et apports de compléments alimentaires apparaissant coomme une évidence chez l’enfant;

Ces interventions ont un coût mais ,il faut déterminer des programmes spécifiques tenant  compte d’une infinité de problématiques factorielles pré et post-natales.Il ne faudra pas s’étonner que le simple fait d’ajouter Fer ,Zinc ou Calcium ou compléments élaborés n’apporteront  pas toujours des réponses évidentes , tangibles et incontestables.

L’élaboration d’un programme alimentaire en apparence simple se heurte à plusieurs problématiques:définir les comportements alimentaires régionaux,redeployer des programmes d’hygiène  nationale;hydiène des mains,contaminations alimentaires (le péril fécal),permanence ou non de l’allaitement maternel,impact réel des campagnes d’informations et d’éducation alimentaire.Les besoins sont élaborés par des guides de la Pan American Health Organisation (PAHO) et World Heaelth Organisation(WHO).Guiding Principles For Complementary Feeding of the Breastfed Child in 2003(PAHAO,/WHO 2003),établissant un guide qui recouvre:

1)Durée de l’allaitement maternel et age d’introduction des compléments alimentaires

2)Le temps réservé à l’allaitement maternel

3)La réponse de l’enfant à l’alimentation

4)Caractéristiques de préparation et stockage des compléments alimentaires

5)Quantité de compléments alimentaires nécessaires au nourrisson

6)Consistence de la nourriture

7)Fréquence des repas et apport énergétique

8)Concentrations des compléments alimentaires

9)Quantités de vitamines ou oligoéléments pris par l’enfant et la mère

10) Le mode alimentaire durant et après une maladie

Ce guide permet de garder une ligne de conduite:

1)Interventions éducatives,vérifications de leur receptivité,en insistant sur l’apport en alimentation  animale qui est plus efficace sur la croissance infantile par rapport à des messages généraux informatifs

2)Prévaloir la sécurité alimentaire et des compléments sur le mode interventionnel plus qu’informatif

3)Vérifier que les “fortifiants”,Fer et Vitamine A ont un action effective.dans l’ensemble l’impact sur la croissance est faible

4)Vérifier que les compléments réduisent les morbidités,et que ceux-çi ne dépassent pas excessivement l’apport de l’allaitement maternel,dans les cas nécessaires d’ apports , vérification du respect des règles d’hygiène

5)Se mettre en conjonction avec les essais qui confortent le bien fondé du rôle des compléments dans  le devellopement cérébral et cognitif et extension à d’autres secteurs de santé,diarrhée,infections respiratoires.

 

Résultats et Prospectives des compléments alimentaire chez l’enfant.

 

Si on se réfère aux normes et guides d’utilisation et résultats  présentées K;Deway In Maternanl et Child nutrition 2008-24-85,il appararait une différence selon les continents qui en fin de compte engagent des programmes privilégieant  l’éducation alimentaire,l’alimentation contrôlée,les compléments ou isolés ou assoçiés.Ce qui est sûr :le mode interventionniste est positif,car malheureusement les zones touchées par la malnutrition sont des zones de guerre ou de migration forcée de population,sururbaninasition favorisant la précarité,mode de culture agricole inadaptée favorisant la salininisation des sols,désertification et sécheresse de plus en plus longue.Toutefois un fait est acquis,si l’intervention sur l’enfant intervient de 6 à 24 mois,la prévention sera plus efficace(World Bank 2005/ Shrimpton 2001/Lutter 1990/Schroeder 1995:ces auteurs parlent d’une fenètre thérapeutique courte)),au delà de 24 mois les sequelles seront irréversibles notamment le développement cérébral(Lozoff 2006).Pour Martorell 1994, il est difficile d’inverser la tendance.Par ailleurs,il apparait très clairement que les constantes visées sont surtout le fait de maladies endémiques diarrhées (péril fécal) et paludisme (aggravant l’anémie).dans les zones subsahariennes ou tropicale le paludisme est souvent le compagnon de misère de la Tuberculose et Sida

 

Action sur la Croissance

 

Six essais efficaces et 5 études avec intervention alimentaire et éducative .il apparait que les interventions éducatives ont un modeste effet.Les projet au Pérou (2005) en Chine (Gludan 2000) ont été plus efficace sur le poids de l’enfant et sur la durée du gain acquis.7 essais et une étude avec éducation alimentaire et additifs vitaminiques ont montré des résultats inconstants au Ghana,Malawi et sans résultat en Afrique du Sud,Malawi,Brésil.Un résultat positif a été noté au Nigeria (Obatolu 2002),mais ce résultat s’inscrit dans une période oû les les pathologies étaient plus présentent donc sur un recrutement utilisant ce biais quantitatif mais ne réprésentant pas le profil habituel de l’alimentation.En inde Bandhari 2001 et Roy(Bangladesh) ont démontré que la combinaison alimentaire et de l’éducation était plus efficace que l’éducation seule.Sur 6 études efficace incluant suplléments aimentaires ou céréales plus légumes ou lait,seul le LAIT fortifié apportait un gain  sur la croissance en Inde.Eude qui conforte les résultats obtenus en FRANCE en 2008 et 2009,comparant apport Oméga 3 et lait maternel

 

Apport Energétique

 

Sur 5 essais,2 essais sont concluant avec effet sur la croissance (Gopaldas 1993/Moursi 2003).Sans apport énénergétique pas d’impact sur la croissance (Hossain 2005/Owino 2007.La variable apportée est surtout exposée en Inde (Bandhari 2001) et Bangladesh (Roy 2005) de 225 Kacal/j à 4 mois à 1125 kcal/L à l’age de 12 mois

Apport énérgétique de base nécessaire

615 Kcal/j de 6 à 8 mois

686 Kcal/j de 9 à 11 mois

894 Kcal/j de 12 à 23 mois

Dans les pays développés les compléments alimentaires apportent sur l’energie totale

200 Kcal/j soit 33 % de 6 à 8 mois

300 Kcal/j soi t45 % de 9 à 11 mois

555 Kcal/j soit 61 % de 12 à 33 mois

 

Gain sur la Morbidité

 

Sur 10 études l’apport de compléments n’a pas d’effet singificatif sur la morbidité.le principal facteur positf est le système Educatif et Hygiénique:prévention des diarrhées au Brésil (Vitolo 2005) et infections respiratoires hautes au Vitenam (Schroeder 2005).le Lait  maternel avec fortifiant  apparait  comme impact positif sur Diarrhée et maladies respiratoire en Inde (Sazawal 2007)

Au Pakistan (Sharieff 2006) l’apport de complément en poudre Sprinkles ont apporté un résultat postif mais les taux de morbité reste élevé.Toutefois une étude  au Ghana  a montré l’efficacité des microéléments avec micro granule en poudre de fumarate de fer dosé à 12,5 mg (septembre 2006 de l’UNICEF) L’IFPI Cornell USA (Juillet 2007) a confirmé que les Sprinkles diminuaient de 50 % les anémies de l’enfant.

 

Comportement et Developpement Cérébral

 

Les interventions postérieures à 24 mois n’interviennent pas sur des lésions induites par la malnutrition et sont  irréversibles (Lozoff 2006).L’étude de Adu-Afrawnah au Ghana(2007) a montré un lien positif  avec micro-éléments et oméga 3 mais négatif en Inde (Dhingra 2004) et Afrique du Sud (Coelofse 2003)

Il apparait constant qu’allaitement maternel,hygiéne et compléments alimentaires constituent la pierre angulaire du develloppement et croissance du nourrisson,l’allaitement maternel demeure incontournable

 

Apport  de FER,ZINC et Vitamine A

 

Les conseils éducatifs montrent des résultats très différenciés .Différence en FEr et Anémie notamment entre Chine-Inde et Nicaragua/Brésil mais içi apparait l’impact du paludisme sur l’anémie.

L’apport est  variable

Sera surtout volontariste en quantité:

Fer:147-207 %:Mexique,Ghana

Zinc:207-271% :Equateur,Ghana

Vitamine A:107% et 2300 %. Ghana,Equateur

 

Le Zinc

 

Sur 5 études ,4 non pas de changement du ratio de zinc plasmatique.il apparait un aspect positif en Afrique du Sud (Smuts 2005) mais la variabilité des résultats est le reflet de biodisponibilité du Zinc absorbé avec céréales seules ou céréales-légumes

Le Fer et Zinc sont essentiels pour la croissance et fonction cognitive de l’enfant dans les 6 premiers mois de la vie.Jour.Nutr.Fev.2000.130-338S-360S/KERBS

Apport de Fer à 8 % ou 12% dans l’alimentation.Randomisation et double aveugle.EurJ;Neutr.2010.Fev9(1)11-8/Dube,schawartz,Muleller,Kalhoff,Kersting

Zinc et alimentation de l’enfant;Risque de déficience.Limitation d’apport à 6 mois.Adv.Exp.Med Biol.2002,503-69-75 /Krebs,Westcott

 

La Vitamine A

 

Sur 7 études l’incidence est nette surtout en cas de carence avérée.

                Peux-t-on conclure sur l’intervention alimentaire de l’enfant

Pour les auteurs des métaanalyses il existe des defauts méthodologiques:recrutement,disparité ou absence des dosages,définition claire des interventions alimentaires  et la pérennité des résultats,réalité et impact des conditions sanitaires.Toutefois,il apparait que les fortifiants faits maisons avec éducateur sont  bénéfiques et réduit les coûts.le Fer doit être présent dans les compléments alimentaires de 6 à 12 mois.la fabrication à domicile de compléments alimentaires apparaissent simples mais doivent répondre à des normes sanitaires élémentaires et strictes.Etant donné le coût et les règles sanitaires les produits manufacturés apparaissent comme une alternative fiable et saine qui doit être encouragé

Les études  de Sarawal 2007 et Adu-Afarwuah 2007 ont montré le caractère postif de l’apport en lait fortifié ou alimentations enrichis en acide gras type Omega 3,le “Nutributter” à l’age de 12 mois(premier temps de la marche).Comparé à 25 % d’enfants (sans  intervention alimentaire),le pourcentage d’enfants considérés comme bien-portant montent à 50 %.Education et hygiène sont toujours en première ligne

 

La Viamine D chez l’enfant

 

L’indispensable pour la prévention du rachitisme ,les besoins du nourrisson sont de 1000 Unités/j;Si l’enfant est allaité,l’apport jounalier n’est que de  600 Unité par jour.Si l’allaitement est arrête en cas de lait deuxième age ,le taux de vitamine D est suffisant si lait de  vache,il faut supplémenter.On doit fournir de la vitamine D,pendant les mois d’hiver de 18 mois à 5 ans

Une forme est  commerçialisée associant Vitamine D,A,C,E.il a été décrit des pauses respiratoires,malaise cardiaque,26 cas décrits,la revue Prescrire de Mai 2014/tome 34 N° 367  démontre que cette forme n’est pas recommandable aux nourrisons,la vitamine D suffit.Les accidents seraient dus à la présence d’huile de ricin polyoxéthyélénée

La même revue,Tome 34,2014 reporte le l’absence de prévention d’ostéoporose chez la femme ménopausée

 

La VItamine D se justifie-t-elle en supplémentation??

 

BMJ 2014,348:g2025/Avril 2014 fait part d’une revue systématique et métanalyses des études d’observations et essais randomisés dans l’usage de la vitamine D en santé/Theodoratou;Tzoulaki;Zgaga;Ionnidis.

L’étude fait référence à 117 publications,74 méta-analyses d’observation plasmatiques en vitamine D,87 métaanalyses d’études randomisées d’essais avec supplémentation de vitamine D.Le rôle de la vitamine D a été exploré dans le rôle escompté de la vitamine D dans 137 pathologies incluant troubles osseux,,cancer,cardio-vasculaire,immunitaire,infection,troubles métaboliques.Sur 137 affections relatées 14 ont pû être considérées comme recevables.

Il n’y a pas de consensus universel de prise  journalière de Vitamine D et de concentration optimale de 25-Hydroxyvitaminique D. On admet pour l’esesntiel la dosage de 25-Hydroxyvitamine D  estimé à 50 nmolL/l,avec apport journalier de vitamine D de 600UI/j

Critères d’élligibilté des Essais

*Assoçiation entre la concentration  circulante en vitamine D et critères cliniques

*Contrôle randomisé des essais cliniques avec supplémentation en vitamine D identifiée

*Contrôle des essais randomisés avec compléments en vitamine D ou composants actifs dérivés de Vitamine D

Principales études élligibles

*12 %:Diverses

*Autoimmunne:9%

*Cancers 21 %

**Cardio-vascualires

*Désordres congnitifs

*Infections :2%

*Désordres métaboliques:14 %

*Enfant et pathologies 7%

*Pathologgies de Grossesse 7%

*Troubles Osseux 19%

                                   Résultats

* Résultats avec Evidences

Decroit les caries de l’enfant,et accroit le taux d’hormone parathytroïdienne en cas d’insuffisance rénale requérant une dialyse

*Accroit le vitamine D de le grossesse à terme et poids de naissance

*Résultats subjectifs,

indicence basse du colon rectal et fractures vertébrale,affection cardio-vasculaire,hypertension,accident cérébral debutant ou,avc avéré,cognition,dépression,masse du poids corporel IMC,syndrôme métabolique,diabète 2,tour du crâne de l’enfant petit à la naissance et si diiaète 2,basse densité des liporotéines,densité ossuese fémorale  plus élevèe,et force musculaire.

Enfin de compte on se retrouve avec des modèles impressionnant pour lesquelles,il faut émettre quelques réserves.Les concentrations en vitamine D ne sont pas systématiquement demandée ou la concentration en vitamine donnée n’est pas exprimée.Enfin de compte seules 14 études sont recevables sur 137 pathologies.,et de nombreux facteurs pathologiques existants ne sont pas isolés.,de plus ,il existe une grande variation en concentration en 25 -Hydroxyvitamine D qui influe sur la quantité de la supplémentation en Vitamine D.

Dans Lancet/ Boniol,Pizot,Mullie Lancet Diabète Endocrinologie 2014;2;76-89,à l’exception des troubles ossueux,sur la base d’Embase et Pubmed jusqu’au 31 12 2012;avec 82 études prospectives,84 essais randomisés,20 métaanalyses et 208 études prospectives,et 8 métaanalyses de 88 études randomisées.;il a été montré que le taux élevé de supplémentation n’influançait pas l’incidence des maladies,un taux bas de vitamine D circulant peu-être considéré comme un biomarqueur de la pathologie en cause

On peut provisoirement conclure que les études confortent les résultats suivants:

*Assoçiation entre concentrations en vitamine D et poids de naissance,prévention des caries chez l’enfant,taux de concentration de vitamine D dans une grossesse à terme,concentrations en  parathormone chez l’insuffisiant rénal candidat à la  dialyse

*Doute raisonnable sur la prévention de l’ostéoporose

*Absence de métaanalyse sur l’auto-immunisation,cancer,effet cognitif,et infections.

Les études Cochrane permettent de réajuster les études précédentes:

Vitamine D et Prévention de la Mortalité/Bjelakovic,Nikolova,Glual,Whitfiell,Wtterslov,Somnetti.10 janvier 2014

56 essais avec 95.2886 participants agé de 18 à 1OO ans,Femmes 77%.Action nette chez les personnes agées,vitamine D pendant 4,4 ans,REDUCTION GLOBALE DE MORTALITE DE 4/1000.Il n’y a pas d’effet si supplémentation de courte durée,les sujets sont en apparence sain,sans déficit apparent en Viamine D,non dépendants.Moyenne de supllémentation 4 à 5,5 ans.

Cochrane 2010/Homik,Surez,Almzor,Shen:Calcium et vitamine D indispesanble en cas d’ostéoporose induite par la corticothérapire.supplémentatio,sur 5 essais ,742 patients.Traitementpendant 2 ans

Dans Plos One de decembre 2013 Zheng,Zhu,Zhon,Cui,Cui,Yao,Bénéfice acquis si assoçiation viamine D et calciium pendant 3 ans sur 8004 patients.

 

APPORT en VITAMINE B12

 

Si déficit anémie et troubles neurologiques,la forme oraleest efficace par rapport à la voie parantérale:108 patients B12 orale de 100mg à200 mg pendant 90 jours à 4 mois.Cochrane 21 janvier 2009/Vidal;Alaball,Butler?Gonnge,Canning -Jhon,Hood,Mc Dowel,Pappaionnon.Evidence à haute dose

 

Omega 3 et lipidémie

 

Sur 1075 personnes,23 essais sur 8 mois/Cochrane Janvier 2008:Hartingn,Farmer,Perera,Monton,Dinnen,Hawn/comparé aux vegétaux.sucre et insuline ne sont pas touchés,action sur HDL cholesterol donc protection vascualire.

 

Céréales et Fibres et Diabète 2 (Blé,ziz,avoine orge)

Cochrane 21 janvier 2012/Preibi,Van Binsbergen,Von K,de Vos.etudes sur12personnesensurpoids sur 6 semaines.7 etudes aux USA,une Etude finlandaise.graine de céréale et fibres de cérales assoçiées à l’amélioration  du diabète 2 .Etude Cochrane 21 janvier 20007/Asano,Mc Leod,Fibres et Ispagul:Cancer colique et adénome colorectal;Il existe une réduction de l’incidence de la polyadénomatose si supplémentation entre 2 et 4 ans.

 

Conception du complément alimentaire et de l’alimédicament.

 

Quelle est l’effet à long terme entre Oméga 3 seul et Graine de Lin riche en Oméga 3,voire le Pourprier.La mangue avec sa mangérine est un neuroprotecteur neurocognitif,.La grenade est un antioxydant protecteur vasculaire.les plantes libérées type Ginseng,Ail,Gingko posent le problème d”interaction avec les anti-coagulants.,eleutherocoque et ginseng incidence sur la glycémie.La plupart des plantes médicinales libérées ont peu ou prou des action embryotoxiques (type hirsutisme de l’embryon avec le Ginseng).Sans oublier les interactions médicamenteuses. particulièrement immunitaires ‘(Millepertuis/Echinacée) ou incidents type allergique (camomlille,Terpènes)) ou sédatif ave les huiles essentielles voire spasme de le glotte chez l’enfant avec le menthol.

Quelques applications alimentaires,posant le problème de l’alimédicament avec

entre autres.

*les polyphénols du Thé 1992,Curcumine 2001,Raisin ;;Polyphénol et cathécine sur l’Alzheimer  BMJ Parma.2004

*Eau de Coco:hypocholesterolémiant 1983

*Mure:Feuilles protecteur cérébral et AVC,hypoglycémiant et hypolipémiant,anti-inflammatoire

*Jus de Tomates ,sauce et lycopène:diminution des ratio des cancers de la prostate sur 551.000 personne,baisse de 31% sur 5 ans. Wietz 2004/Action parallele de jus de carotte et épinard

*jus de Grenade action sur comportement et apprentissage spatial Shah  and co 2006

*Huile de riz et Orizanol;hypolipémiant,androgène,anti-stress action contre dopamine cérébrale 1998

*Calice de Kaki:hoquet,toux 1992.Tannin à action cognitive,action sur hippocampe Zho,Yen 2010

*Fruit et légumes réduction sur 3 ans de 5 % de cancer

*Régime Méditéranéen et syndrôme métabolique,sur HDL cholestérol.2014

*Assoçiation inverse entre cancer du colon et Quercétine Bristish J of Nat 2010

*Vieillisement cutané et Anti-oxydant;Raisin,Thé vert,Mure,Café,Romarin

*Action contre UV;Thé vert,Grenade Café

*FLavone et Favonone et cancer du sein de la ménopause 2013

*Curcuma et Mangue et Alzheimer 2001

*Vitamine E et Béta-carotène augmentent la mortaité.Cochrane 03.2012

*Les plantes anti-aggrégat plaquettaire:Ail,Ginko,Oignon posant l”assoçiation avec la warfarine

*La Nigelle Noire,condimentaire et à propriétés anti-cancéreuses..

*Omega 3(Carthame,Porprier,Poissons,Onagre) et réduction de la mortalité cardio-vasculaire.

*Soja:anti-oxydant,protecteur cardio-vasculaire et anti-cancéreux

*Lin graines:constipation et intervention par Oméga 3 sur HDL.

*Goyave:Antimutatique,Antibiotique,Anti-oxydant

*Ananas Ant-inflammatoireet action gynécologique.

*EFSA et ESCO abordent un travail de principe de réavalutation:

Citrus aurentium LSSP sur adutéraltion de son processus hydro-alcoolique

Camélia sinsis,Thé vert,sur son hépatotoxicité

Ocinum Tennuflorm pour sa possible toxicité de ka reproduction

Foenucum vulgare,extrait aqueux,vérification de sa possible carcinigénése t génotoxiciyé

Luninsum Usitatissinum graines séchées rapées:pour ses phytoestrogénes

Quelques Régulations

*Depuis 2010  Projet Lantlisra (Dr Restani)Plantes en compléments alimentaires ,sur 14 pays

*Dr Lützow et Fefana;Révaluation de 600 plantes

°Directive 2000/13/Ce concernant étiquetage et réglement 119/2011 remplacé à partir du 14 decembre 2014:oû toute référence à des propriétés de prévention,de traitement,de guérison de maladie humaine est interdite,par contre allégation sur la réduction du risque d’une maladie est autorisée,sauf intervenant sur croissance,developpement,croissance,fonctions psycologiques et comportementales et ou contrôle du poids,amaigrissement,reduction de la valeur énergétique ou sasiété (procédure 15 à 19,Directive 96/8/CE,.Au plus tard allégations fornis par les états le 31 janvier 2008 visée au paragraphe 1 et utilisations des allégation le 31 Janvier 2010

*substances listées par décret N° 2006/352

*décrêt 2006-3524,transposition de la directive 2002/46/CE.Application directive N°38/32

*Une allégation de santé est définie par message,ou représentation qui affirme,suggère,ou implique l’existence d’une relation entre une catégorie alimentaire oul’un de ses composants et d’autre part la santé.les allégations de santé sont répertoriées sur http://ec.europa/nuhclaims ou  http://ec.europa.ey/nuhclaims/

*A partri du 14 décembre 2012,toutes allégations ne sont pas autorisées ou en suspens à l’examen sont interdites

*EFSA Workshop en Botanicals

*Guidance on safety assement of botanicals and botanicals preparations.10 Septembre 2009

*Journal of EFSA 2012-10(7)27-60

Sur la base d’éléments non nexhaustifs on peut toutefois poser le problème de la définition des compléments alimentaires constitutant un concentré de nutriment ou substance à effet nutritionnel et physiologique. IL apparait que certaines vitamines n’ont pas leur place dans  ce concept et se pose naturellement le bien fondé d’une alimentation équilibré qui dans la plupart du temps montre des apports indispensables et suffisants.Les etudes randomisées ne permettent pas sur une grande échelle un encadrement convergent,faute de politique commune de régulation de santé..Même si la libéralisation des plantes est un progrès,elle posent toujours  le problème récurrent,naturel ne veut pas dire sans danger et impose sa parfaite transparence,étiquetage,définition,pharmacologie,monographies  révisées engageaent une automédication mesurée et encadrée ;permettant d’éviter les retards diagnostiques ou erreurs thérapeutiques. et posent dans tous les cas leur problème non pas en terme physiologique mais  bien pharmacologique.

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