Alimentation ,CANCEROLOGIE,Nouveautés et metaanalyses en 2014
16 Juin 2016
La publication du Pr Richard Beliveau de Montréal (Quebec) sur Alimentation et prévention du cancer, a déjà été remarquée en 2011 oû l’ANASES,actuellement HAS; d’après un rapport d’études de 4 ans stipule ” qu’il n’y avait pas d’alimentation ou de nutriment contre le cancer-20 mai 2011″.Il est important de faire la part des facteurs de risques évitables et d’apporter des éléments tangibles consacrant ces attitudes.Il existe indiscutablement des biais et des études hétérogénes qui influent ces postures,et qui incitent à l’analyse.Il est admis que les facteurs héréditaires n’interviennent dans le cancer dans une fourchette inférieure à 15 %.il est plutôt question de susceptiilité génétique fort variable et dont il est difficile d’évaluer le facteur déterminant.:influence de la nutrition sur le géne et rôle du génotype sur notre réponse à l’alimentation.
Mais ,fait important depuis Janvier 2014 sont apparues des études sur l’Intestin ,CERVEAU DIGESTIF,considéré comme le Premier Cerveau,Collins et Erlich ont identifié un MICROBIOTE différencié en 3 groupes jouant un rôle sur la transformation énergétique des aliments,fonctions vitamininiques,élimination des toxines,rôle immunitaire,véritable signature personnelle.,fonctions qui permettent de définir une prédisposition au diabète,maladies cardio-vasculaires et hépatiques.L’intestin est colonisé par 100 Milliards de bactéries,véritable pôle d’ADN.Bien que les études ne sont pas encore abouties,on ne peut nier le rôle important de l’alimentation et de ses tranformations intestinales,la saga alimentaire dans la génèse des maladies a encore de beaux jours devant elle,d’autant que les bactéries véritable colonisation de l’extérieur sont sensibles à l’environnement;de études élargies sont donc nécessaires .
Docphytoplus s’est déjà penché sur cette approche,notamment sur le cancer du colon , cancer du sein, et du poumon ;les études sont inégales:
Cancer du Colon
*British Journal of Nutrition de 2010(Sharp;Littele,Mac Neill;Dutie): Ont montré une assoçiation inverse entre le Colon et le thé,ou assoçiation inverse avec un dérivé flavonoïque,la Quercétine
*Europe Journal of Epidemiology Avril 2013,Bamia,Laguiou,Trichopoulos,Pall,ont montré le bénéfice modeste du Régime méditerranéen,même amelioré
Cancer du Poumon
Le beta Carotène et Rétinol augmente les risques de cancer chez les personnes à risque.Cochrane Database 2003.Cabarelloso,Sacistan,Serra,Bafill
Cancer du Sein
Le risque de cancer du sein est moindre si alimentation de soupe Miso et Isoflavone ,traduit pharmacologiquement par diminution des risques de 12% avec le Flavonol et de 17% avec le flavonone.Jour Nat Cancer Institute,Janvier 2003.Yamamoto,Sosue;Koboyashi
Mais dans Plos one .2013 Hui;Qi,Qinxiang,Jundong,il est précisé que sur 9513 cas et recrutement de 181.906 contrôles,l’effet positif sur le cancer mammaire est manifeste sur les femmes en ménopause.
Il apparait très clairement qu’il existe des biais :il est question de diminution des risques chez les personnes à risque et de femmes ménopausées,donc climat hormonal différent et évaluation des facteurs de risques.Que sont t-ils ? Temps de tabagisme,obésité,alcool.L’impact du régime méditerranéen sur lequel on aurait dû voir le bénéfice des fibres et des polyphénols,est dans les faits un bénéfice sur les maladies cardiovasculaires,le risque cancer est peu touché (Etudes SUVIMAX 2003 ,révision Etude Epic avec incidence de cancer de 2,37% chez l’homme,3,6% chez la femme) et comme l’on démontré les études cohorte E3N 5 fruits et légumes sur le cancer colique,mais surtout il a été démontré une risque de cancer du sein si assoçiation de traitement hormonaux et acides gras trans.
Il est clair qu’il vaut mieux manger équilibré mais qu’apporte un composant polyphénol alimentaire ou autre composant sur les facteurs de risques et surtout peut-il les corriger?
Les débats sur alimentation et cancer sont loins d’être clos laissant un boulevard aux écoles,chapelles et mouvement divers délivrant des bibles alimentaires et conseils,et gare au boeuf mirotton et aux transgressions gustatives !!La difficulté essentielle à laquelle on se heurte est la définition de l’élément prédominant bioactif alimentaire et non pas le biomarqueur,ils sont au nombre de 25.000.Sur les études comment peut-on transposer les données d’un pays à hauts revenus à celui de bas revenus,est-il tenu compte de la précarisation préoccupante de la population en Europe avec son cortège de malnutrition et alcoolisation.Quels sont les éléments mesurables et ceux qui apparaissent en première ligne ne s’ont-ils pas surestimés?.Quelles sont les interactions entre les composants bioactifs et composants et les médicaments.Quelles sont les réelles interactions avec l’environnement soleil,radiation ,infections ,pollutions,tabac et alcool.
” La methode Anticancer.Comment réduire les risques “par le Dr Beliveau et Gingras publié le 17 septembre 2014
Nous connaissons la réputation de la Chaire en Prévention et Traitement du Cancer de Richard Béliveau à Montréal(Quebec) et on ne peut que saluer un travail fastidieux ,sérieux,long et dont l’incitation et le propos engagé n’auraient pû que déboucher que sur des visions engageantes ou cohérantes.Mais,le rédactionnel de ce livre nous interpelle;oû,il est dit que les 3/4 des cancers peuvent être évités grâce à un mode de vie sain,mode dont nous avons fixés les limites:pauvreté,précarisation.Il faut donc objectivement analyser cette méthode réactivée.
a) Règles d’or de prévention dictées
1)Arrêt du Tabac
2)diminution de l’alcool:un à 2 verres/jour
3)limiter la viande rouge ,remplacer par poisson,protéines végétales ou oeufs
4)Grande variété de fruits,légumes,légumineuses,aliments à base de grains complets:2/3 d’un repas
5)Perte de poids ,masse corporelle de 21 à 23.Le Surpoids touche 35 % des femmes en Europe
6)Exercice physique:marche pendant une demi-heure
7)Diminuer exposition au soleil
8)Eviter le sel ou aliments trop salés
9)Préferer alimentation à un complément alimentaire
Trois Familles chimiques potentiellement Préventives Enoncées
1)Polyphénol:Flanoïdes,Isoflavone,Cathéchine
2)Composés Sulfurés:Isothiocyanate,Diallysulfide
3)Terpènes:Carotènoïdes,Monoterpenes.
b)Neuf familes potentiellement préventives
Ail,Oignon,Echalotte,Poireau
Framboise,Bleuets ,Canneberghe,Baies,Tomate
Brocolis,Choux de Bruxelles,Chou,Navet
Chocolat amer
Curcuma et Poivre Noir synergiques
Raisin,Thé,Soja,Légumineuses (pois chiche,lentille,féve)
Graine de lin
*Thé vert et baies sont considérées comme angiogéniques
*Les crucifères agissent sur les mutations de l’ADN
*Revesratrol,et génestéine agissent sur la croissance des cancers,curcumine et poivre agissent en synergie sur le devevollepement cancéreux
Les Conclusions en Septembre 2014 de la WCRF /AICR
World Cancer Research Found and Amercican Institute of Cancer Resaerch sont beaucoup moins optimistes et ne gardent que les aliments hautement probables de prévention cancéreuse:
1)Vegétaux pauvre en Amidon
*Cancer de la bouche,nasopharynx,larynx,Oesophage
2)Végétaux riche en vitamine C et Béta-Carotène
*Oesophage
3)Persil et Ail
*Estomac
4)Fruits
Oesphage,Poumon,Estomac,Bouche,Pharynx et larynx
5)Lycopène et aliments pauvre en Graisse
Pancréas
6)Persil, Calcium;Lait,Activité Physique,Fibres
Colo-Rectal
7)Regime pauvre en graisse,Perte de poids,Activité,Lactation
Sein
8)Perte de poids,aliment pauvre en graisse
Ovaire
9)Selenium,Lycopène
Prostate
10)Café,activité Physique
Utérus
Les chiffres donnés par l’Equipe du Pr Beliveau
1)Les Crucifères
Reduit le cancer de la Vessie de 50 % sur 47.909 participants
Reduction du risque de cancer du Poumon de 40 % sur 74.914 participants
2)Les Agrumes
Reduit le cancer de l’Estomac de 39% sur 477.312 partcipants
3)Legumes Verts
Reduit de 30% le risque de cancer du Sein sur 31.000 participants
4)Baies
Reduit le cancer du Sein de 31% sur 75. 929 participants
5)Noix
Réduit le cancer du Pancréas de 35% sur 75 .680 participants
6)Thé Vert
Réduit le Cancer Colorectal de 57% sur 69 .710 participants.
Que faut-il en penser?
Les chiffres donnés sont surprenants et étonnamment élévés ne recoupant pas les etudes de WCRF et métanalyses parcourues depuis plus d’un an.Existent- ils des biais d’études,nous le savons pas,si l’accent est mis sur les actions antioxydantes et angiogéniques des aliments,ils ne peuvent à eux seuls expliquer de tels résultats.Les prospectives thérapeutiques préventives ne peuvent se comprendre que si les facteurs essentiels pathogénes sont combattus.:Alcool,Tabac ,Obésité.Par ailleurs,il est essentiel de connaitre dans la limites de nos connaissances actuelles,les faits pharmacologiques agissant sur les désordres cellulaires.
Priorités
Combattre les facteurs favorisant prépondérants
a)Tabac
Associé au cancer du Poumon dont il est le principal agent causal,et en fait un toxique de co-carcinogènèse multipliant par 4 le cancer de la vessie, par 1,7-3,8 cancer du Pancréas,Colon multiplié par 8,8 surtout agit en synergie avec l’alcool,pour le cancer du col de l’utérus le risque apparait à partir de 15 cigarettes.
Le génotoxicité du goudron est dûe à la présence d’hydrocarbures aromatiques (3-4 Benzopyrène,Methylcholantrène)lipophiles présents dans le goudron à 0,6%.Les hydrocarbures sont absorbés par voie digestive favorisée par les graisses.Eliminés par les selles et Urines.Les hydrocarbures produits par pyrolyse en produit aromatique procarcinogéne agissent sur l’ADN.Les composants aromatiques B(A)P et BPDE sont génotoxiques (Binkova 2007).les hydrocarbures procarcinogénes sont activés par des enzymes pour être électrophiles et toxiques .On parle d’adduct de l’ADN et stress oxydatif génotoxique.Il existe une susceptiblité génétique (3 polymorphismes) aux hydrocarbures,classés en 4 groupes le groupe 1 est le plus carcinogéne.Surtout il existe un lien entre le Cytochrome P450 CYP 1A1 avec le substrat Hydrocarbures ,situé dans:
Poumon,foie,cerveau,gastro-intestinal,lymphocytes,
,coeur,prostate,utérus,surénales,
ovaires,pancréas.sein
Le tabac est donc une bombe à retardement et très tôt sont action sur le chromosome a été comparée à celles des radiations ionisantes,et surtout les effets sont cumulatifs.
b)Alcool
Le problème récurrent est de deux natures:il perturbe le rythme circadien cellulaire et son métabolite l’Acétaldéhyde est génotoxique ,carcinogéne (IARC 1988)
L’alcool est un solvant des composants cancérogénes,il produit des réactions sur les radicaux libres,des réactions inflammatoires,il diminue le métabolisme des folates (Ma.1997)et aussi le statut du Rétinol (Leiber 1994)et des hormones thyroïdiennes (Baugarnten 1997):C’est un poison cellulaire,désorganise les menbranes cellulaires avec trouble glycémique et lipidique.Il est éliminé à 80% par le foie sous deux voies Alcool Désyhdrogénase et voie MEOS (microsome Ethanol oxydation systéme).L’altération cellulaire est le fait de l’acétaldéhyde et en parallélle des radicaux induisant des lésions de l’ADN,point de départ du processus cancéreux (Seitz 2001/Brooks 2005).Par son caractère solvant des composants carcinogénes et en augmentant les hormones sexuelles ,il favorise le cancer du sein (Dargan 2001).Si l’alcool absorbé est de 30g/j le risque de cancer du colon est de 23%;si 45gr/j le risque devient 41 %,de plus synergie cancerogéne alcool plus tabac.Si ethanol à 25% seul ou associé avec la nicotine,l’alcool augmente la perméabilité au produit cancerogéne au niveau de la bouche.
Au niveau oesophage,il existe une susceptibilité plus forte,effet dose selon la susceptiblité génétique type ADH13*1/1(Chen 2006,Yokoyama 2002),effet dose sur oesophage cancérogéne décuplé pour 50-60 gr d’alcool.
*Rappel de l’alcool et cerveau
Action sur transmission glutamique:apprentissage et mémoire
Action sur Serotonine:Appétit,humeur,Température,sommeil,douleur
Action sur Canaux calciques:Tension et régulation cardiaque
Action sur Dopamine:dépendance,motricité,motivation,attention
c)Exercice Physique
L’activité accroit le métabolisme de l’oxygène et à long terme améliore l’efficacité des échanges de l’économie de l’organisme, réduit les niveaux d’insuline et la résistance à l’insuline.Impacte le niveau d’oestradiol et accroit l’hormone SHBG.
Ainsi,par le biais de l’exercise baissant l’insuline,impact direct sur l’obésité,en agissant sur le facteur de croissance,leptine et insuline,facteurs augmentant le risque de cancer.Les hormones stéroïdiennes oestrogénes,androgènes,progestérone jouent un rôle dans l’obésité et cancer.L’accroissement des oestrogénes est assoçié avec le risque de cancer de l’endomètre et cancer du Sein post-mémopausique.L’Obésité est assoçié à un stade bas de l’inflammation chronique.Il est considéré que l’hyperinsulinémie est un risque de cancer du cancer du colon,endomètre,pancréas et rein.On aurait tord d’oublier la véritable épidémie d’obésité dans les couches soçiales défavorisées.
Composants et les Régulations cellulaires (d’après IARC et WCRF)
1)Action sur le cycle cellulaire et sa programation
Vitamine A B2 ,D1 Folate,Zinc,Rétinol,Génestéine (Isoflavone,Fève ,soja)
Fer:favorise la prolifération
Omega 3 et Calcium:potentiel inhibiteur
2)Apoptose
Stimulant par Généstéine (Isoflavone,Fève,Soja),Rétinoïdes (Vitamine A,Oméga 3)
3)Reparation de l’ADN
Augmente la réparation:Kiwi,carotte
Sélénuim:excision de base
Comparaison Vegétarien contre viande(forte consommation=lésion ADN) :moins de cassures simples de l’ADN
Forte consommation de lycopène(caroténoïdes),tomates:baisse des lésions de l’ADN buccale
4)Modulation des régimes promoteurs Epigéniques
Galate:Synthèse ADN, et Généstéine,Zinc,Alcool
5)Angiogénése
Thé vert;epigallate,
Isoflavone
Omega 6:Pro-angiogénique
Omega 3:Anti-angiogénique
Cumin plus Soja:Anti-angiogénique
Ail:anti-angiogénique
6 )Inhibition des métallo-protéases
Cumin,Génestéine,révesratrol,raisin,mures,cacahuette,vitamine C
7)Inhibition des Métastases
Vitamine E
8)Inflammation,Anti-Oxydante
Vitamine C et E
Phytooestrogéne :réduction du géne codant IL G
Cuivre,Zinc,Acides Gras polyinsaturés,Thé vert
9)Differentiation cellulaire
Vitamine D,Acide Rétinoïque,Oméga 3
10)Immunité
Stimulation:Vitamine A ,E,Cuivre,C,Zinc,Acide gras polyinsaturés,Thé vert
Déficiance immunitaire:alcool
11) Carcinogénése
Cuisson à haute température(Hydrocarbures aromatiques cancérogénes) Sallage,Fumage,Séchage donnant des produits nitrés cancérogénes
INDICATEURS ET MAJORATION DES FACTEURS DE RISQUE DE CANCER
Indice de Masse Corporelle ou BMI
Oesophage
Brown 1995
Chon 1998
Chen 2002
Engel 2003
Colon
Umerchad 1992
Moller 1994
Robshon 1999
Rein
Borge 2004
Gamble 1996
Matioli 2002
Boing 1997
Vessie
Colle 2003
Samama 2004
Engeland 2005
Utérus
La Vecchio 1982
Everty 1998
Zhang 1989
Swanson 1993
Parisini 1995
Grubber 1996 Beard 2000
Salazar-Martinez 2000
Trethan-Dietz 2005
Xu 2005
Utérus et Variation selon pré ou post-ménopause
a)Pré-ménopause
Huang 1997
Veten 1992
Thehard 2004
Weidergan 2004
Ahghren 2004
b) Post-Ménopause
Trenthan-Dietz 2000
Magnusson 1998
Noxcomb 1990
Franschi 1998
Shoff 2000
Terry 2002
Mc Cann 2004
Lipides et Cancer du Sein
Etude sur 8 ans (1993 à 2005),sur 48.835 femmes sélectionnées :19.541 au régime,29 294 régime libre; dans 40 centres;Effet à long terme des lipdes non significatif.
Groupe témoin :1072 ,ratio 0,45,
Groupe régimes : 665 ,ratio 0,42. JAMA 2006 WIH
Fibres et viandes rouge et Cancer du Colon
a) Effets fibres,effet dose
Norat 2004
Higginbothan 2005
Koening 2002
Colbert 2001
Terry 2001
Fuchs 1993
Bostick 1993
b) Viande Rouge,Effet dose
Niorat 2004
English 200′
Chen 2003
Wer 2003
Termesma 2002
Jarvinen 2001
La viande Rouge augmente la formation des adduct 06 carboxyméthyl guanine :implications dans le cancer colique.Cancer Res.2006 Fevrier.1,66(3)1859-65/Lewin,Bailey,Bandaletova,Bowman,Cross,Pollock,Shuker,Bingham.
Comparaison sur 15 jours ,13 volontaires.Dosage de la N-Nirtrosocomponds(NOC) génotoxiques endogénes après consommation de viande
c) Viande Préparée,probable effet dose
Pietinen 1999
Godibohm 1994
Chao 2005
Norat 2004
Larsson 2005
ALccol et facteurs risques Cancers
1) SEIN
Wu 1999
Bryrn 1996
La Vecchia 189
Viladiu 1996
Le taux d’hormone et alcool dans le cancer du sein post-ménopausique.
J.Nat Cancer Inst 2001 mai;2,93(9)710-5/Dorgan,Baer,Albert,Judd Browon,Corle and co;La boissoon de 15 à 30 gr d’alcool jour augmente le risque de cancer du sein ,Essais sur 55 personnes ne recevant pasd’hormones.l’Oestrone augmente de 7,5ù à 15,9%,la DHEA augmente de 5,1% à 7,5%
2) Oesophage
Pas d’effet dose identifié
Boonnyaphiphat 2002
Dal Maso 2002
Sharp 2001
Bosehi 2000
Cheng 2000
Brown 1994
De Stephan 1990
Castelleto 1994
Hanaoka 1994
Gommon 1997
3) ORL
Effet dose identifié
Lissowska 2003
Altieri 2004
Castellagu 2004
Peters 2005
Zavras 2001
Dalmlas 2002
Pisa 2003
4)FOIE
Yu 1983
Tsukuma 1990
Mayans 1990
Arico 1994
Shin 1996
Zhang 1998
Kupper 2000
Hassan 2005
Gellatti 2005
Effets protecteurs de l’Exercice Physique
1)Cancer du Colon
Wu 1987
Lee 1991
Thu 1996
Pietinan 1994
Scheon 1999
Nilsen 2001
2) Cancer Sein
John 2003
Firedenrich 2001
Carpentier 200″
Morau 2000
McTireman 2003
Patel 2003
Diri 2001
3) Cancer de l’Endométre
Terry 1999
Folsoon 2003
Furberg 2003
Litteman 2001
Shouten 2004
Moridi 2000
Mattheus 2005
Trenthan-Diety 2006
Sallage
cancer de l’Estomac
Effet dose
Galaris 1998
Ngoan 2002
Khan 2004
Hrrayama 1992
Sallage
Cancer du Naso-Pharynx
Ward 2000
Yuan 2000
Amstrong 1998
Sriamporo 1992
Yu 1996
Ye 1995
Chi 1996
Zou 1999
Café et Pancréas
Pas d’effet carcinogéne
Alpa Tocopherol et Betacaortène en Supplément
majore le Cancer Bronchique,Prostatique et Estomac.Albanes 1996 A JCN
Etudes sur effets Protecteurs Alimentaires probables anti-cancérogénes
Fruits et Cancer bronchique
Brenam 2000
De Stefani 2002
Gao 1993
Kreuzer 2002
Lagoui 2004
Hu 2002
Axelson 1996
Swanson 1997
Fruits et Cancer Oesophagien
Yu 1993
Chyou 1993
Guo 1999
Tran 2005
Chang 2001
Tery 2001
Phukan 2001
Gao 200
Sharp 2001
Zhang 2001
Lik 2003
Hnig 2004
Yuang 2005
Fruits et Cancer Gastrique
Kato 1990
Lee 199à
De stephani 1998
Ji 1998
Gao,Huang;Ward 1999
Lee 2003
Suh 2003
Lisowska 2004
Legumes et Cancer ORL
Natari 1987
Franco 1989
Franceshi 1992
Zhang 1993
Kune 1993
Levi 1998
Di Stephani 2005
Garotte 2001
Bosetti 2002
Morchiani 2003
Lissowaska 2003
Rajkumr 2003
Gaud 2004
Légumes et Cancer Oseophage
Juan-Lao 1989
Destephani 1990 et 2005
Reu 1991
Ho 1994
Laury 1998
Takazaki 2001
Terry 2001
Chen 2002
Xi Bin 2003
Yang 2005
Huang 2004
Li 2003
Légumes et Cancer de l’Estomac
Guo 1994
Botterman 1998
Mac Cullough 2001
Fugino 2002
Gonzales 2006
Suh 2003
Lagoui 2004
Lissowska 2004
Boccia 2005
Nan 2005
Hara 2003
Conclusions temporaires
Depuis de nombreuses années les facteurs de risque cancérogénes sont clairemement établis,Alcool et Tabac ont une place prédominante.La problèmatique de la diminution des facteurs de risque surpoids,Index de Masse Corporelle ou BMI ,manque d’exercice,aliments,pollution,facteurs de susceptibilité génétiques posent le problème d’ homogénéité des études épidémioiogiques particulièrement traduites par des écarts de résultats de baisse de ratio de cancers,avec résultats particulièremement optimistes pour le colon,sein , poumon.S’il existe des indices positifs, et de tels écarts, les méthodologies doivent être strictes et élargies en tenant compte des inégalités flagrantes entre les populations à haut niveau de vie et populations émergeantes ou en voie de précarisation et tenir compte de l’impact des séquelles de malnutrition ou mode alimentaire,la consommation moindre d’aliments fumées ou séchées a fait baisser de façon importante l’incidence du cancer gastrique,par contre le lien Tabac et alcool a montré hélas une synergie causale du cancer buccal et pharyngo-laryngé.La banalisation de la chique de Betel en Inde est une cause non négligeable de cancers buccaux.Le travaux de l’équipe du Pr Beliveau sont enfin de compte un préliminaire à l’élargissement de la prévention alimentaire imposant des efforts concordants et randomisation à l’echelon international.,surtout si l’aspect génotoxique de certains aliments se précisent.