Pathologie pulmonaire constituant un problème de santé public majeur les études et statistiques sont actuellement peu documentés ne disposant pas d’indicateurs enregistrés.
Définition :
L’asthme est une maladie chronique des voies aériennes caractérisées par une augmentation de la réponse trachéo-bronchique à une multitude de stimuli et qui ce manifeste par un rétrécissement global des voies aériennes pouvant céder spontanément ou avec un médicament.
Depuis 2002 des programmes de prévention et prise en charge de l’asthme sont établi en France car la prévalence est en augmentation relation directe avec la périurbanisation et les chiffres d’asthme sévère et la mortalité se sont élevés depuis 1980. La périurbanisation a fait augmenter la population touchée par l’asthme allant de 40% dans les petites villes à 80% dans les grandes agglomérations.
Le gradient décroit des zones littorales à l’intérieur au fur et a mesure que l’on s’éloigne des côtes françaises pour atteindre une prévalence inférieure à 2.5% dans un large quart nord-est, l’hygiène et la pollution sont en cause 2.5 à 3.5 millions d’asthmatiques peuvent être répertoriés en France (Rican 2002).
Au Etats Unis la prévalence de l’asthme est également en augmentation touchant 4 à 5 % de la population soit 11 millions de sujet la moitié des cas intervenant avant 10 ans un tiers avant 40 ans.
Les enquêtes récente paru dans le Lancet d’août 2006 et écrite dans le figaro du 29/08/2006 confirme la hausse des allergies chez des jeunes reflète des changements d’un environnement extérieur et intérieur avec exposition aux bactéries et moisissures. « Les touts petits vaccinés » au mode de vie propice peu exposés aux infections grâce au antibiotique fait le lit d’une réponse inflammatoire aberrante aux allergisants de l’environnement et aux allergènes (D’après une enquête du lancet sur 500 000 enfants paru le 26 août 2006).
Sur les 3.5 à 4 millions d’asthmatiques en France un quart d’enfants et d’adolescents sont touchés, globalement 300 millions d’asthmatiques dans le monde expriment une réaction anormalement violente à une substance banale animale, végétal ou extérieur et qui ont entre outre un lien direct avec la modification des habitudes alimentaires et pollutions multifactorielles. Le mode de vie a accentué la prévalence de l’asthme infantile dont il reste encore à expliquer l’épidémiologie et le type d’action a mené en matière de santé publique.
Définition de l’asthme :
L’asthme est une définition clinique de crises paroxystiques dyspnéique sifflantes réversible spontanément ou sous l’effet du traitement, secondaire ou non à des phénomènes immuno-allergiques cet asthme allergique atopique entre en facteur dans 25 à 35 % des cas et est un risque majeur et que l’on retrouve dans les antécédents personnels ou héréditaires du patient.
Mais une partie importante des patients ne présente pas d’antécédent personnel familiaux d’allergies ils n’ont donc pas de réactions cutanés positive à un aéro-contaminant ou une augmentation du taux d’IgE dans le sérum, ils sont dit atopiques. Il n’en demeure pas moins que l’hyperactivité bronchique à différents stimuli représente un élément caractéristique de l’asthme.
Toutefois il faut souligner que le pronostic a été considérablement changé révolutionné par l’apport de la corticothérapie le professeur Turiaf a été un des plus grands pionniers de la pneumologie française et aimait a répéter :« l’asthme est une maladie générale s’expriment brutalement par la broncho constriction et présentant des équivalents morbides (migraine, syndrome douloureux colique ou vésiculaire paroxystique), des parentes morbides (sinusite, bronchite à répétition, bronchite asthmatiforme)et l’enfance est marqué par ou un eczéma, un prurigo des bronchites à répétions, des bronchites asthmatiformes dans tous les cas l’asthme alors s’installe dans un contexte génétique et allergisant et il impose une vigilance de tous les instants car l’asthme est une maladie à méprise à surprise et à reprise.
On distingue plusieurs tableaux:
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L’asthme paroxystique avec son attaque nocturne sa dyspnée sa sibilence (nid de pigeon) avec toux sèche avec impression d’étouffement puis phase avec toux productive avec des crachats muqueux, peu abondant, des grains de tapioca.
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Asthme à dyspnée continue.
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Etat de mal asthmatique, véritable urgence médicale qui résiste au traitement classique il faut à ce moment là appeler le 15.
Devant une crise d’asthme il faut éliminer:
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Une bronchite aigue.
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Une bronchite chronique obstructive.
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Une insuffisance respiratoire chez une bronchite chronique d’origine tabagique ou professionnelle.
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Une pneumopathie aigue.
Un bilan est indispensable:
Radiopulmonaire, épreuve respiratoire fonctionnelle qui évalue le déficit respiratoire c’est-à-dire le DEP débit fait par auto mesure dite du peak-flow ou débit mètre de pointe qui permet de donner une indication des fonctions respiratoires la variation notable du DEP permet de conduire et guider une modification du traitement si le DEP ou le VEMS est inférieur ou égale à 20% de la valeur théorique l’asthme nécessite un traitement intensif.
Allergènes: 50% des asthmatiques sont atopiques et les tests allergiques pourront révéler
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Poussière et acarien (matelas, maison humide, salive de chat avec recrudescence automnale et hivernale).
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Les pollens véhiculés par les vents au printemps avant tous les graminées, l’ortie et le plantain, l’hiver ce sont les platanes et le frêne l’automne, l’armoise et le chénopode.
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Les moisissures et levures sont surtout notable fin été et début automne.
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Les allergènes domestiques il faut éliminer les chats, le hamster, les souris, le rat, les chiens, les poussières de puce d’eau (aliments pour poissons).
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Allergie d’origine alimentaire c’est en particulier les trophallergènes, lait de vache, œuf.
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Les facteurs médicamenteux sont nombreux, l’aspirine est en cause dans les 10% des cas, le colorant tel que la tartrazine, les B bloquant, les sulfites de nombreux antibiotiques sont allergisant ainsi que des anti-inflammatoires.
L’environnement et la pollution sont une cause importante : ozone, dioxyde d’azote, dioxyde de soufre surtout pendant la période de grand vent. L’origine professionnelle doit être recherché bois, poussière végétal : chêne, farine, ricin, graine de café vert, gomme d’acacia. On peut cité également l’araignée rouge des pommiers.
Au niveau industriels:
Peinture automobile, les sels de métaux tels que le chrome, nickel et vanadium sans oublier les plastiques industriels.
Au niveau professionnel:
Enfin il faut toujours éliminé une cause infectieuse respiratoire cause de l’allergie elles sont surtout et toujours d’origine virale c’est avant tout la grippe et le virus syncytial. En résumé les facteurs extérieurs qui doivent être impérativement recherchés et éliminés sont :
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Pollution
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Tabagisme
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Effort
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Froid
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Psychologique, l’asthme étant alors un symptôme
Conseil :
Il faut éviter les facteurs déclenchant, évincer les allergènes voir faire un traitement spécifique si cet allergène est connu. Le traitement est alors une affaire de professionnel afin d’éviter le passage au forme chronique voir aggravé ou d’un inconfort permanent. Il faut ce souvenir qu’un asthme tardif et un asthme allergique à l’aspirine sont toujours des asthmes graves.
En proposent la phytothérapie en traitement de fond pour l’asthme un traitement réussi doit conduire
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a ce que les symptômes diurne ou nocturne soit absents ou minimes
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que l’exacerbation des crises d’asthme soit minime
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qu’il n’y est pas de limitation des activités physiques
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que l’absentéisme à l’école ou au travail soit minimisé
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utilisation minimale des traitements traditionnels type B2 agoniste
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des fonctions pulmonaires normales ou sub normale
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les effets secondaires des médicaments doivent être absents ou minimes
Le traitement de l’asthme par la phytothérapie est connu depuis les temps ancien et surtout était mis en évidence par Maimonide au 12eme siècle qui recommandait la soupe de poulet.
Cette étude a été reprise dans une étude récente par F.Rosner en 1983 on décrit un mélange suivant;
Un poulet de pas plus de 2 ans d’âge pas trop petit qui doit être broyé ou cuit à l’étouffée bouilli ou bouilli avec du coriandre frais ou de l’anis, on peut également le préparer avec du fenugrec.
On ajoute du jus de citron ou des zestes de citron ce plat se fait spécialement l’hiver.
Le bouillon de poulet de Maimonide doit être rapproché du bouillon pectoral d’Alexandre Dumas où il décrit une recette associant un poulet, des semences de melon, de citrouille, d’orge mondé avec des partis égale de riz et de sucre et il dit que ce mélange, une fois bouilli et filtré et réduit de moitié eest « excellent sur tout ce qui sont atteint de faiblesse d’estomac et d’étisie ».
Les plantes anciennes pour les crises d’asthme:Dangereuse et Interdite
QUATRE plantes ont été classiquement proposées dans le passée pour traiter les crises d’asthme : Toutes CLASSEES TOXIQUES et INTERDITE à la VENTE et EMPLOI
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Belladone Atropa Belladona : utilisation feuille et racine,Atropinique.,Parasympathicolytique,Accidents Graves Digestifs,Neurologiques,neurovégétatifs graves
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Datura stramonium Les feuilles hallucinogénes,stupéfiante,dangereuse .Plante Ordalique
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Ephedra dont on utilise la tige mais que cette plante a un effet hypertenseur , surtout dopage et accidents cardio-vasculaires.,action dépréssive rapide
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La lobélie Lobelia Inflata les tiges fleuries ont une action antiasthmatique,”Alcaloide qui Dégoute du Tabac”,en fait production et facilite le stockage de la Dopamine,d’oû interactions neuroleptiques et surtout sur Parkinson.
Ces QUATRE plantes ne doivent en aucun cas être utilisées :dopage ,stupéfiante ,neuroleptiques ,accident neuro-cardiovasculaire ;d’utilisations dépassées.
Il est cité trois plantes utiles dans l’asthme :
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La plante Kella Amni Visnaga
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Le Grindelia Robusta
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La Fumeterre Fumaria officinalis
1)AMNI VISNAGA
Sont agent actif est la chromone on utilise soit le fruit 5g en infuser par tasse 3 tasses par jours ou en teinture mère 3 fois 15 gouttes par jours, c’est un spasmolytique bronchique efficace sur 6 heures,
Khelline et Visammine pour attaque d’asthme Juin1951/Derbes,WithnTevebaugth,Vaugha/Khelline en Aerosol pour l’Asthme/ Brarn.Elleider Juillet 1951/Visammine bronchodilatateur Snider,Mosko-Rabner Dec 1952
C’est un excellent traitement préventif en association avec un antihistaminique toutefois à dose élevé il provoque:
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des nausées
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des vomissements
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hypotension
B )FUMETERRE
Dont on utilise les partis aérienne est un antispasmolytique, un antihistaminique, un
anti-serotonique et un antiasthmatique, on utilise une infusion de 30 à 50g par litre pour 500cc d’eau et un nébulisât peu être utilisé de 0.6 à 3g par jour.
Le traitement de fond atopique de l’asthme est donc extrêmement important, il faut donc associer dans tous les cas et ces résultats seront toujours constants ;et consider la fumeterre comme ANTI-ALLERGIQUE
La forme PARVIFLORA serait plus adaptée comme bronchodilateur par son action sur les recepteurs muscariniques.J Ethno Oct 2012/Ruhman,AdranBashir/
Citée pour maladies cutanées,fievre,Toux,maladies urinaires dans Susruta et Characka en medecine Ayuvedique /Jamell,Ali Sept 2014
c-)GRINDELLIA
Uniquement nomme dans le Vidal en Janvier 2013,
contre la toux et bronchites aigues benignes/Grunwald 2004,/Anti-inflammatoire Nov 2010/Ricci,La,Lazzarin.
Certaine pharmacopées la cite comme expectorante,anti-inflammatoire,anti-oxydante,action antibiotique
Les classiques le plus souvent actif dans les rhinites alergiques.
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le BAOBAB: adansonia digitata
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,
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PLANTAIN plantago major,
Si il existe un problème de toux sèche, on peut ajouter ;
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une saponaire en teinture mère
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l’aunée inula helenium
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et aucuba japonicale
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Le tout en teinture mère 70 gouttes 3 fois par jours.
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On peut également proposer ;
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le bouleau betula alba en teinture mère
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le cassis ribes nigrum en teinture mère
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avec plantain plantago major
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Toujours en teinture mère soit 70 gouttes de chaque 3 fois par jours.
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Dans certains cas on peut ajouté ;
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le cassis,
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le romarin en nébulisât et macérât glycériné en dilution 1d
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ainsi que le bouleau betula pubescens en chaton que l’on donne à 100 gouttes par jours
Ou dans tous les cas on se retrouve devant une incidence psychologique majeure ou il faudra associer des plantes sédatives type ;
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valeriana officinalis valeriane en teinture mère 30 à 150 gouttes par jours
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escholtzia californica en teinture mère 50 à 100 gouttes le soir
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bourgeon de tilleul en macérât glycériné en 1d, tilia bourgeon 50 à 100 gouttes le soir
D’autres formules sont proposées pour les crises d’asthmes elles associent ;
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viola tricolor monotropa en teinture mère
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70 gouttes 3 fois par jour.
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D’autres associe ;
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grindelia robusta,
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amni visnaga,
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prunus laurocerasus
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arnica montana
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Le tout en teinture mère 30 gouttes 3 fois par jours.
Dans les phases dites d’irritation de toux irritatives on peut associer ;
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monotropa en teinture mère
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tussilage en teinture mère
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primula officinalis en teinture mère
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Soit 30 gouttes 3 fois par jour.
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Pour aider à l’expectoration et fluidifier les crachats :
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Capucine en poudre à 0.080,
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Pulmonaire poudre 0.080,
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Iris poudre 0.080,
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Polypode poudre 0.080
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4 à 6 gélules par jours en dehors des repas,
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Ou
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Marrube 0.060,
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Scabieuse 0.060,
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Saponaire 0.10
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Pour 4 à 6 gélules par jour, toujours en dehors des repas.
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On peut associer également ;
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un sirop Erysimum
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et sirop Capillaire
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100g de chaque dans un flacon.
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Pour les toux sèches gênante nocturne :
Capillaire en poudre 0.070g
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avec Grindelia poudre 0.070
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avec pieds de chat poudre 0.070
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tussilage nebulisat 0.10
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Pour une gélule soit 3 gélules par jours
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Ou également ;
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Coquelicot 0.080
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Pivoine 0.080
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Laitue vireuse poudre 0.080
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Plantain poudre 0.080.
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Enfin nous avons vu que le facteur infectieux était souvent présent dans les crises d’asthme certains associent des huiles essentielles ;
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d’origan,
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de sarriette,
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d’eucalyptus
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ou de thym,
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Dosés par gélule à 0.015g par gélule
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En sachant que certaines huiles essentielles sont allergènes et ’il faut faire des tests préalables afin de s’assurer qu’il n’existe pas d’allergie à ce genre d’huiles essentielles.
Certaines plantes sont particulièrement intéressantes chez l’enfant qui présente souvent des infections oto-rhino associées nous pouvons citer
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Viburnum punifolium (appelé Viorne Americain)
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et rosa canina, monotropa hypopitys est surtout efficace en cas de toux à type de coqueluche
Enfin pour conclure sur les infections, il faut savoir que thym et le niaouli sont plutôt la référence pour les poumons et pour les sinus sont le thym et l’eucalyptus.
Enfin il faut savoir que la sensibilité à la poussière est plus grande vers 23 heures, il faudra donc plutôt donner des traitements de prévention plutôt le soir, il s’agit d’une rhinite allergique associé qui souvent exacerbé le matin, il faudra donc donner l’antihistaminique ou la plante anti-allergique de préférence en prise matinale.
Enfin pour conclure, il faut connaître 2 plantes africaines agissant sur l’asthme ;
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Les fruits de gardenia ternifolia qui nécessite une préparation approprié en cendre carbonisé
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La fleur de baobab appelée pain de singe dont la coque du fruit est utilisée dans les diarrhées infantiles, le baobab n’a pas encore délivré tous ces secrets.
Equivalent et parenté morbide de l’asthme
Les auteurs Bezanson, Jacquelin et surtout Turiaf (1904-1988),Titutlaire de la chaire de Pathologie Respiratiore de Paris,Directeur d’exploration Pulmonaire de l’INSERM estiment que l’asthme est une maladie générale a localisation bronchique mais non exclusive.
,L’asthme s’exprime brutalement tel une bronchite sifflante Reversible ou Sensible au traitement.
Le Pr Turiaf exprimait souvent
l’asthme comme une maladie à Méprise,Reprise,Toujours une maladie générale
qui s’est exprimée
par des équivalents représentant des manifestations respiratoires non dyspnéiques,
les parentés morbides de multiples désordres cliniques extra respiratoire,
la nature est l’origine de l’ensemble ne pouvant être dissocié.
Ces éléments sont d’autant plus important a connaître que si un élément est allergique
`
***Reconnue dés l’enfance,Eczema,Prurigo,Bronchite, c’est la porte ouverte a l’intrusion d’autres allergènes sur lequel peut se greffer la maladie asthmatique,
il existe une corrélation fréquente entre allergie de type rhinite allergique et asthme ou asthme se compliquant également de rhinite allergique (se référer au chapitre référencé asthme et allergie).on doit savoir selon l’INSERM que la rhinite allergique multiplie par TROIS le risque d’Asthme.
A)Les équivalents Morbides respiratoires
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Les rhinites vasomotrices, le coryza spasmodique périodique
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Il est essentiellement représenté par le coryza pollinique que apparaît chaque année au moment de la fleuraison. Il se développe exceptionnellement avant 10 ans, rarement après 50 ans.
Son début est toujours brutale précédé par une fatigue, une prurit nasal et des sensations de cuisson oculaire.
Il est accompagné de trois symptômes ;
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Eternuement en salve
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Ecoulement nasal contemporain succédant au éternuement
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Obstruction nasale paroxystique le plus souvent bilatérale
La participation oculaire est constante se caractérisant par du larmoiement avec sensation de brûlures conjonctivale et de cuisson.
Le coryza spasmodique, pollinique est fréquent au printemps et au début de l’été. Dans un délai de 3 à 10 ans après le coryza spasmodique peut apparaître des manifestations dyspnéiques asthmatiques.
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Le coryza spasmodique a périodique
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Il est beaucoup plus fréquent que le coryza pollinique ses symptômes ne sont pas typique dominé par une obstruction nasale dont l’écoulement et de nature variable, mais surtout il n’existe pas au cours d’un coryza spasmodique a périodique de symptôme oculaire.
L’origine allergique de ce coryza et souvent d’origine allergique pneumallergène et sa tendance et une tendance à la chronicité.
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Les rhinites vasomotrices pures
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Représentent l’ensemble des cas de coryza ou aucune éthologie allergique a état mise en évidence.
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Les sinusites
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On distingue quatre sinusites, les sinusites séreuses tableau de rhinite chronique associant ;
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écoulement nasal matinal uni ou bilatéral
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et sensation de tension de la joues ou périorbitaire
Les sinusites polypeuses qui sont souvent considérées comme étant secondaire à une atteinte sinusienne.
Les sinusites infectées, elles représentent une complication fréquente des rhinites spasmodique simple ou ainsi que des sinusites séreuses ou polypeuses.
s’exprime par des signes du coryza spasmodique auquel s’ajoute une perte de l’odorat.
La trachéite spasmodique est caractérisée par la toux ces caractères sont tenaces plutôt nocturne est se représentant souvent comme toux laryngée, roque ou parfois comme une toux quinteuse de type coquelucheuse.
Elle est peut sensible au calmant habituelle de la toux.
La bronchorrhée a cellule eosinophiline c’est une notion isolé de bronchorrhée isolé équivalente de l’asthme qui est trop souvent méconnue et qui peut être une manifestation principale de la maladie asthmatique.
On la considère cliniquement comme une véritable bronchorrhée eosinophilique véritable eczéma suintent des bronches.
Elle se déclarer principalement pendant la seconde enfance ou l’adolescence souvent associée à une rhinite vasomotrice, une éosinophilie sanguine accrue et particulièrement sensible à la corticothérapie.
B)Les parentés morbides de l’asthme
Les parentes morbides l’asthme sont nombreuses ce sont de multiple syndromes :
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digestif
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cutanée
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muqueux
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sanguin
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neurologique
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cardiovasculaire
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articulaire
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urinaire
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oculaire
Certains syndromes cités s’associent avec l’asthme, mais ils méritent d’entrer dans le cadre élargi de la maladie asthmatique tel qu’il a été défini.
C)EQUIVALENTS MORBIDES
1)Les manifestations digestives
Elles sont surtout représentée par une véritable pathologie de tuyau touchant les canaux biliaires ou le tube gastro-intestinal.
On note des phénomènes douloureux de l’hypocondre droit à type de colique hépatique, une dyspepsie hépatobiliaire.
De même on note des troubles gastritiques ou entérocolitique qui sont extrêmement observé au court de l’asthme s’extériorisant par des ballonnements survenant après le repas, des digestions lentes, de la diarrhée ou de la constipation, voire des douleurs abdominales.
2))Les manifestations neurologiques
Elles se manifestent essentiellement en migraine surtout migraine ophtalmique relativement fréquente chez l’asthmatique. Les manifestations cutanées ou muqueuses, sont représentées par l’urticaire aigue ou chronique, l’eczéma généralisé ou localisé voir l’œdème de Quincke.
Ces désordres cutanés sont fréquemment rencontrés dans le cadre de l’asthme précédant parfois la crise asthmatique ou associée à celle-ci. Ou le plus souvent elle alterne avec les crises d’asthmes souvent chez le nourrisson et l’enfant.
En conclusion, la similitude des lésions histopathologiques observés au court des équivalents et de certaines parentés morbides de l’asthme comparé avec celles constatées au cours de l’asthme sont toute à fait en accord avec la conception élargie de la maladie asthmatique étudié par Turiaf, Rose et Basset.
L’important de l’expression clinique de ces symptômes équivalent ou parenté morbide est de ne pas passer a connoter d’un phénomène majeur qui représente un dérèglement important du système neurovégétatif portant soit sur la muqueuse respiratoire extra -bronchiques, soit sur des muqueuses extra- respiratoire, en particulier la muqueuse digestif.
Ce dérèglement de type neurovégétatif se développe surtout sur un terrain prédisposé. Souvent d’origine constitutionnelle et héréditaire.