Existe-t-il un Facteur Alimentaire et troubles dépressifs chez le Sujet Agé ?
2 Novembre 2015
Inactivité et précarité alimentaire ont un lien classique avec la dépression ,chez le sujet agé,lien pathogéne qui peut-être modifié.L’intêrêt de cette étude longitudinale au Canada sur 3 ans est de savoir si le mode alimentaire influe sur le profil neuropsychologique chez des sujets à faible maladie évolutivs caractérisée et notamment cognitive ou dépressive.et vivant en communauté de type maison de retraite.Il apparait qu’une alimentation régulière suffisante et avec faibles variables de qualité est protectrice indépendamment des indicateurs de santé mais activité et autonomie demeurent des éléments prépondérants.
Bien que les études ,en règle générale mettent l’accent sur le facteur alimentaire bénéfique des fruits,végétaux et céréales complètes,on peut regretter le manque d’informations sur l’environnement soçio-,familial et soçio-médical,et les antécédents d’imprégnation alcoolique .Sauf l’élément éducatif est souligné et on ne sait pas si les antécédents de stress ou dépressif ont été gommés par une soçialisation médicalisée bien conduite,ce qui apparait formellement.L’élément éducatif apparait également prépondérant dans le choix allimentaire,ce qui ne fait que corroborer le rôle d’une évidence soçiale et épidémiologique sans cesse affirmée
Etude Gougeon,Payette,Morais,Goudreau,Shatenstein,Gray-Donald,4 eme Annual Scientific Meeting of the Canadian Nutrition Scocity,Quebec City 30 mai-2juillet 2013,Publication Applied Physiology Nutrition and Metabolism Journal 2013,38(4)433-476
*1358 sujets de deux sexes,analyse de la la dépression par 30 item Geriatic Depression Scale,suivi sur 3 ans.
Régime suivi
1Régime varié:haute teneur en fruit,jus de fruits,jus de légumes,,légumes,noix,graines,céréales complêtes ou raffinées,pizza,plat de pâte,chocolat et douceurs,alimentations rapides type snack,,boisson chaude,et laitage normaux,viandes préparées
2)Régime traditionnel:riche en viande rouge,beurre et graisses,boissons alcoolisées,pomme de terre,tubercules et légumes,desserts,viandes préparées,soupe,laitage basse et haute calorie
3)Régime convenable:Moins de boissons sucrées,aliments frtits,fast food,plats diversifiés,peu de poisson ,margarine,huile,assaisonnement de salades,et salades fraiches.
Seuls 170 (12,5 %) ont dévevollopé une dépression,le regime n’apparait pas comme un agent déteminant si ce n’est que l’apport énergétique s’il se mainteint journellement à 2035 Kcal,et la dépression apparait indépendante de la qualité et énergie alimentaire
Les auteurs rapportent que leur conclusion est similaire à celle de Nurse ‘Health Study in US,sur 50.695 infirmières de 50 à 77 .Am.J;Clin.Nutr 2013;25(03)456-66/Chocano-Bedoya O’Reilly,Lucas,Mirzaci,Okereke,Fung
Etude Leport;Gueguen,Kesse-Guyot,Melchoir,Memoogne,Nabi Etudes GAZEL;PloS One 2012 En FRANCE sur 12.404 fonctionnaires de 40-70 ans sur Dix ans;Pas de variation significative due à l’alimentation
The Australian Longitidinal Study on Women Health sur 6588 sujets agées de 50-à 55 ans,note sur deux études l’effet positf du régime méditérranéen mais une autre étude mixte sur 8660 sujets sur 12 ans agés de 50-69 ans ne permet pas d’aboutir à la même conclusion mais à un effet positif du Régime Australien/Hoge,Almeida,English,Giles Flickers Int.Psychogeriartry.2013;25(03)456-66
Le probléme qui se pose en fin de compte est la perennité de repas régulier et suivi et relativement bien équilibré selon le mode culturel oû apparait,sans qu’il ne soit pas souligné,le rôle permanent de la cohésion soçaile,de l’adhésion aux messages nutritionnels et un lien particulier avec le niveau d’éducation;Toutefois,dans le cadre de la sauvegarde des anciens et prévention de la dépendance,le facteur correctif dépressif apparait liée à l’autonomie et à l’activité physique.Bien que la consommation d’alcool et tabac ,hypertension artérielle(micro-AVC:syndrôme d’Alvarez) soient notés,il n’est pas signifié leur rôle dans les pertes cognitives facteur de dépression.Enfin,bien qu’il soit dit que la qualité et énergie alimentaire aient un faible impact sur la dépression,il serait important de revoir l’importance alimentaire sur le biotope intestinal,que l’on nomme le deuxiéme cerveau. et qui reposerait le problème sur des perpectives importantes .