PHYTOTHERAPIE,DE l’EMPIRISME A LA THERAPEUTIQUE:DU SERVICE
RENDU ET DE L’ EFFICACITE A LA LOGIQUE COMPTABLE.
29 Septembre 2015
Etats des lieux,que restent-t-ils en termes thérapeutiques et de prévention?
Les limites du médicament en terme d’efficacité ne seraient-t-elles pas réduites à un support ou un rôle médiateur de la relation médecin-malade,une symbolique thérapeutique commune aux plantes médicinales,permettant de”rationaliser”la surconsommation des médicaments.
ZOMBIE (Liberation du 23 Juin 2O23) Le FLEAU AUX USA
La prise de drogue exprime avant tout les symptomes du mal être,l’absence de but defini de l’existence,de ,l’abscence de définir un projet ou impossibilité de définir son avenir,manque de projet, le tout dans un contexte social indefinie,de precarité; manque d’altérité
La ZOMBIE à Philadelphie ,ou Zombi Drug /Tomg Dop dont il est difficile de connaitre l’extension,limites ,véritales menaces pour la population,est un veritable désastre humain,avec necroses des lieux d’injection,secondairement mal soignéees conduisant à l’amputation
le ZOMBIE est Un melange injectable de XYLAZINE(Produit sedatif animal) avec FENTAMYL
Le Quartier essentiel du ZOMBI est dans PHILADELPHIE à KENSINGTON veritable quartier du desastre ,,à la sortie du métro KENSINGTON-ALLEGHENY catastrophe humaine,oû s’accumulent ,drogués à terre , vendeurs ,recelleurs avec réseaux en extension ,violences,vols,non respect du voisinage,avec destruction,envahissant des petits commerçants.
LA DROGUE DE ZOMBIE EST UNE CATASTROPHE MEDICALE et SOCIALE,difficulté de regulation sur le plan social et policier,car le fleau s’étend.
L’OBSERVATOIRE français n’a pas noté l’ apparition de ce poison mortel en FRANCE+++++
DE l’Empirisme à la Thérapeutique
L’ambiguité qui a régné sur médecine dure et médecine douce est née de la définition
d’une plante curative qui ne doit être pas considérée comme le seul résultat de siècles d’expérimentations et d’observations,le cadre curatif base de l’automédication et de sa législation ne peut être réduit à ce seul champ.Ce cadre non négligeable,décrit dans les tradi-médecines de DOCPHYTOPLUS permet de lever quelques ambiguités entretenues par la persistance et résistance de la pensée antique,mais ne peut occulter que le terme curatif se révèle en définition culturelle de la maladie et de son appréhension sociale oû interviennent non seulement qualité et propriétés de la plante mais également tout événement extérieur(familial,climatologique,représentation sociale de la maladie et la projection culturelle du patient et d’équipe professionelle,voire interventions encore sensibles traditionnelles de forces extérieures,grâce divine ou des expressions de dieux tutellaires).Ainsi les plantes s’expriment de façon constante de manière symbolique se transformant en expression thérapeutique.Cette expression a entrainé de facto des débordements entrainant déremboursements et surtout revalorisation de l’ encadrement ,certains pays,après l’extension de service médical rendu et son corrollaire la libéralisation des plantes(près de 200 en France),proposent de revenir sur l’encadrement et prescriptions médicales des plantes.
La symbolique et son expression thérapeutique ,avec son rappel au physiologie antique humorale(maladies “chaudes et “froides”) avec voeux pieux de restituer l’équilibre de l’organisme,entrainent de facto une volonté d’intensifier l’action curative des plantes,encadrées par des rituels religieux ou magiques,la guérison de la maladie étant perçue comme un aspect accessoire.
Cet aspect culturel symbolique de la maladie,bien qu’encadré par des référentiels médicaux,apparait dans les pratiques journalières,enfoui dans une culture de masse d’acculturation,refus de la douleur,hédonisme forcené,défaut de projection de l’autre et de sa propre image,défaut de remise en cause comportementale,l’enfer ,c’est le voisin, je suis agréssé,harcellé.La maladie devient un intrus,mais accessible aux thérapeutiques auquelles le système a permis d’accéder,le prescripteur devenant un prestataire,ce qu’il n’est pas,tiraillé mais culturellement modulé par le milieu.
Par le passé,la RUE,plante toxique,donnée pour les affections cardiaques,chassait les mauvais esprits mais est abortive à hautes doses.La Digitalle fit un chemin inverse avant d’acquérir son statut définitif cardiaque.De nos jours,le Cholestérol “cause de migraines et de vertiges”,les”nerfs ou le cerveau deviennent des organes indépendants,l’irresponsabilité sociale ou violence sont amoindris par leur assise supposé génétique,les relations sont du domaine virtuel,”les amis des réseaux sociaux”‘l’enfer,c’est les autres”,mais ce n’est pas nouveau.
Pour l’exemple,il faut citer l’Alzheimer,qui après des thérapeutiques référencées et plan d’encadrement,réapparait pour l’instant comme une fin d’une tragique trajectoire d’une forme de démence oû n’apparaissent plus que les réseaux socio-médicaux difficiles à joindre.Bien que l’extrait de Gingko Biloba soit contesté dans la prévention de la maladie,il demeure de façon paradoxale le parent pauvre de l’Alzheimer,devenue véritable maladie orpheline.
LE PARADOXE DU SYMBOLISME PHYTOTHERAPIQUE
Face au progrès considérable de la médecine moderne,la phytothérapie est devenue la parente pauvre de l’arsenal thérapeutique voire totalement reniée ,placée au rang de placebo,d’abstraction,d’élucubrations ce que certains ouvrages ou écoles ont favorisées.Il a fallu une reprise en mains par les Facultés,diplômes universitaires pour réactualiser un pan thérapeutique qui a bénéficié d’un champ expérimental depuis le débuts des civilisations et obtenu leur label de qualité par la reprise des tradi-médecines,des ouvrages anciens et leur relecture et surtout des études pharmacologiques de qualité et études méthodologiques validées(Inserm,Orstom,Escop,Asspaf,Pharmacopée européenne et Allemande,Bulmenthal,Medline)
L’IRRUPTION DE LA PHYTOTHERAPIE DANS L’AUTOMEDICATION JOURNALIERE
Il est constaté par des chiffres:
*Un patient sur cinq associe plantes et médicaments sans prévenir(Baillard,Hogier)
*En 2001,80 % des patients passent par l’automédication
*L’OMS en 2002 évalue les populations consommant la phytothérapie
-30 % des Belges
-70% des Américains.
-75 % des Français
Au total,80 % de la population s’orientent vers les médecines alternatives,dont 80% vers les plantes.
Ces chiffres ont été authentifiés par la NIH(USA) en 1998:425 à 660.millions de consulations en médecines parallèles,soient une consultation sur trois posant la prise en charge par les mutuelles de santé.Cette problématique de santé a été reprise par les grands groupes assureurs français,légiféré par le code de santé publique 99/25/Art.51.
L’impact se chiffre:920.000 français seurfent une fois par mois sur un site dédié médical(le Parisien.18/2/2007) et 4.300.000 une fois par mois(le Monde.21/2/2007)
La vente en automédication dont les plantes,dit OTC représentent 30 milliards d’Euros de chiffres d’affaire
REGLES DE L’AUTOMEDICATION
Il s’est posé le problème de surconsommation médicale,en particulier,psychotrope(type benzodiazépine) stigmatisée par l’office parlementaire des politiques de santé du 20/06/2006 et oû se dégage que la” légitimité du mal être “peut-être prise en charge par la phytothérapie sous condition de respecter quelques règles de sécurité et surveillance de l’automédication:
*Intolérance et interactions médicamenteuses
*Mauvaise observance
*Mauvaise utilisation(surdosage),indication inapproprié
*Risque et accidents( globalement 128.000 hospitalisations sont dues en france par mésusages médicamenteux)
*Contre-indication formelle pour la femme enceinte ,allaitante, nourrisson,personnes agées fragilisées.
Donc posant le problème de sa médicalisation,problème qui se pose avec les plantes libérées qui ont été décryptées.
LE PROBLEME DU PLACEBO
Problèmes récurrents de guerre littéraire,c’est un placebo,donc celà ne sert à rien.En fait ,en consultant le site DOCPHYTOPLUS,il apparait très clairement que la phytothérapie s’intègre dans une politique de santé de prévention et de thérapeutique accessible,bon marché et efficace mais qui doit respecter les progrès des recherches et données modernes et des référentiels médicaux
UTILISATION DU PLACEBO
Il est défini clairement par le DR LEMOINE(19/09/2003) qui a isolé les PLACEBO IMPARFAITS,en quantité impressionnante et cite quelques effets placebo et leur estimation:
-Parkinson:6 à 19 %
-Ulcus:55 à 86 %
-Arthrites:80 %
REGLES DU PLACEBO A RESPECTER
1)Examen physique et psychologique du patient
2)Nécéssité d’examens répétitifs
3)Il ne rentre pas dans le cadre de l’automédication
4)Il ne se prescrit pas à un bien portant et à un enfant(induction du reflexe thérapeutique)
5)Il ne remplace pas un médicament avéré
6)Si le résultat est net et rapide,il doit être arrêté
Il apparait illusoire de se voiler la face et se replier derrière une tradition désuette voire inadaptée.La phytothérapie demeure une alternative raisonnable justifiant encadrement et constantes rénovations,justes réabilitations de l’empirisme et de l’expérimentation séculaire.
CONCLUSION
La réponse moderne de la phytothérapie se trouve dans la conception du médicament,la CHIMIE COMBINATOIRE ou DRUG DESIGN:à partir d’une molécule peptide de 6 amino-acides on peut fabriquer de manière alléatoire 64 millions de molécules nouvelles et à partir de 2000 extraits végétaux peuvent naitre nouvelles 20.000 molécules.la banque Verte a donc un bel avenir devant elle.