Ménopause

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LA MENOPAUSE

18 Mai 2019

La ménopause se caractérise par une aménorrhée de plus d’un an touchant une femme de la cinquantaine en absence de grossesse.

La ménopause touche 10 millions de femmes en France chaque année, 300 à 500 mille femmes en France entrant en ménopause.

Les troubles spécifiques de la ménopause appelé aussi signe climatérique touchent les femmes âgées entre 52 et 60 ans et le ratio des signes est évalué entre 60 à 70%.

On estime que le risque fracturaire du col du fémur chez une femme ménopausée après 70 ans peut être évalué à un ratio de 1 pour 6.

En France 2 millions de femme utilisent des traitements hormonaux pour la ménopause appelée THS ou THM.

Le problème posé par le traitement de la ménopause par les THS tourne autour des analyses des paramètres des affections apparaissent pendant la ménopause c’est-à-dire :

  • Ostéoporose, pathologie nécessitant par les traitements anti-HS.

  • Maladies cardiovasculaires

  • Maladies thromboemboliques

  • Cancers du sein

Les études qui ont était divulguées par la presse ont était faite sans ménagement et souvent volontiers dramatisées, il est indiscutable que les THS sont en causes dans l’induction du cancer du sein dans un pourcentage de 3% à 6%, mais encore faut-il s’appuyer sur des études méthodologique ou doivent être mis en parallèle et en perspective l’age des patientes les produits utilisés et la mode de prise de ces produits.

Des études clinique et statistique Française récente ont démontrés d’énorme différence sur l’impact des THS sur les risques vasculaires et de cancer du sein.

Critère du diagnostic de la ménopause :

  1. Aménorrhée de plus de 3 mois

  2. Test à la progestérone négatif

  3. Frottis cervical typique de ménopause

  4. Dosage de l’œstradiol inférieur à 30 microgrammes par militre

  5. Dosage de la FSH supérieur à 30 micro-unité par militre

Quels sont les signes imputables aux troubles de la ménopause ?Download-1

Ce sont avant tout :

  • des bouffes de chaleur de préférence nocturne,

  • une sensation de mal-être,

  • des arthralgies,

  • des troubles de l’audition et de la voix,

  • des troubles du sommeil,

  • des modifications du poids,

  • une modification du morphotype,

  • et une modification de la sacralisation

Auxquels il faut ajouter un problème souvent négligé que les femmes qui ont eu une ménopause précoce porteuse d’une hépatite B ou C ou qui ont subi une ovariectomie présente une risque plus élevé de cancer du foie.

Et il existe une nette corrélation entre la diminution du risque du cancer du foie et la prise de THS.

Cliniquement on décrit naturellement une atrophie de la muqueuse vaginale et une sécheresse vaginale.

Les arthralgies sont d’autant plus intenses que les bouffées de chaleur sont sévères.

Il est indiscutable quant on réintroduit un THS chez une femme qui présente des arthralgies, ces arthralgies diminuent en intensité et en fréquence.

En fin de compte les THS ou leurs équivalents améliorent le bien être d’une femme ménopausée, encore faut-il connaître les limites de l’institution d’une telle thérapeutique en connaissant les risques imputable au traitement que sont :

  • l’age

  • l’obésité

  • la présence de maladie cardiovasculaire

En fait de compte pour introduire un traitement THS pour la ménopause il faut s’adressé aux professionnels de santé en sachant qu’il est encore difficile d’encadrer ce genre de traitement à long terme.

Pourtant au cours des études récentes certain aspect positif sont apparu en particulier concernant le risque de cancer de sein, il semble bien que le cancer du sein apparaisse chez les femmes qui ont un age élevé d’environ 65 ans, plutôt en surpoids 30% d’obèse et surtout si on utilise des œstrogènes seul pendant une période allant au delà de 4 ans d’utilisation.

L’utilisation d’œstrogène et de progestérone naturelle micronisé ne majore pas le risque de cancer du sein après plus de 5 ans de traitement. C’est dire qui faut prendre en compte toutes les analyses et les prospectives qui ont était faites jusqu’à ce jour et qui nécessité une remise à plat de ces donnés.

Par ailleurs en ce qui concerne l’ostéoporose, les œstrogènes freinent l’accélération de la perte osseuse survenant après la ménopause, les THS peuvent dont diminuer le risque facturaire vertébrale et le col du fémur.

Notion qui on déjà était répertorié par Zhang et collaborateur en 1998 qui ont montré que la prise de THS pendant 8 ans, retarder la progression de l’arthrose au niveau du genou sur des radiographies.

De même Wluka en 2001, ont évalué la même zone par l’IRM.

Le risque vasculaire des THS a était aussi étudié sur des personnes d’age moyen de 65 ans et un tiers seulement des femmes ont un age correspondant à celui où l’on débute généralement un traitement par les THS.

Ces études tendent à prouver que le risque vasculaire semble être ralenti en prenant des œstrogène et il semble que prise d’œstrogène, prise précocement ralentissent le développement de l’athérosclérose. Mais des études cliniques sont encore en cours pour vérifier cette hypothèse.

En résumé quel est l’état induit par l’insuffisance hormonales en œstrogène ?

  1. L’artériosclérose : les triglycéride et lipoprotéines élevées

  2. L’ostéoporose : les vertèbres perdent 50% de la masse osseuse dans les 15 ans qui suivent la ménopause

  3. La trophicité de la muqueuse vaginale est réduite

  4. perte d’élasticité des téguments: amincissement, perte de l’élasticité de la peau (signe du pli cutané).

En définitive on se retrouve devant un problème ambigu de femme en quête d’une amélioration de leur bien être, bien être qui est toujours vérifié par l’introduction d’un traitement substitutif.

Ces traitements substitutifs sont conditionnés par l’examen clinque et les antécédents familiaux de la femme ménopausée, c’est au professionnel de santé de poser les indications de ce genre de traitement que sont les THS et en particulier il est recommandé par certains que les femmes ménopausées en bonne santé sans trouble du climatère peuvent donc être dispensé de THS.

Par contre s’il existe un facteur de risque d’ostéoporose mesuré par l’ostéodensitométrie un traitement devra être institué.

Quels sont les critères d’un traitement qui ne fonctionne pas ?

  1. Apparition des douleurs des seins, mastodynies : sensation de gonflement, œdème

  2. Traitement non efficace avec apparition ou réapparition d’arthralgie,

  3. De fatigabilité, de trouble du sommeil

  4. Apparition de métrorragie sous traitement

  5. Prise de poids

  6. Une tendance dépressive

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Touts signes apparaissant doit faire revoir le traitement, il se pose alors le problème d’un traitement phytothérapique qui bien mener peut faire disparaître les symptômes sans les inconvénients clinique.

Le traitement phytothérapique aura pour but :

  1. Avoir une action reminéralisante

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En utilisant la prêle qui par sa richesse en silice agit au niveau osseux, la prêle peut être utilisée en nébulisât dosé à 0.50g, 4 à 6 gélules par jours.

On peut également l’utiliser en association avec le galeopsis dosé à 0.4g, la prêle dosée à 0.1g pour une gélule.

Pour mémoire il faut savoir que cette plante, la prêle equisetum arvense est hémostatique et antidégénérative, anticoagulante et diurétique.

Certains utilisent des formules emménagogues c’est-à-dire faisant venir les règles, ceux qui n’est pas toujours une bonne idée il est préférable de faire des examens et de voir si un tel traitement est nécessaire.

Nous allons les citer pour mémoire et il faut savoir qui ces traitement ponctuels ne doivent pas dépassé un ou deux jours, ce sont :

  1. une association de teinture mère de morelle Solanum nigrum à 3g associé à une teinture mère de souci 10g dont on donne 40 gouttes, 3 fois par jours

290px-Solanum_ambosinum1Morelle

  • le tout contenu dans un alcoolat de mélisse à 60cc

On peut également donner une infusion associant :

  • L’armoise

  • La camomille

  • Le marrube

  • L’absinthe

  • Le souci

  • La rue

    • En donnant de chaque une cuillère à café dans 3 tasses par jours

D’autres associe les teintures mère de :

      • Stachys Sylvatica (grande épiaire)

      • Séneçons, seneçio jacobaea

      • Tanacetum vulgaris

  • En teinture mère 20 gouttes, 4 fois par jours

Ou également, on cite une décoction de Séneçon

  • à 50g associé à des graines de persil à 20g

    • 3 cuillères à soupe dans un litre d’eau en infusion pendant un quart d’heure et donné 2 tasses par jours

Le traitement séquentiel hormonal phytothérapique peut ce faire de deux façons :

  • Du 1er jour au 24e jours :

  • 290px-Wiesensalbei_1Sauge

On peut ou donner du nébulisât de sauge salvia officinalis à 0.10g ou de l’huile essentielle de sauge à 0.07 pour une gélule.

Que ce soit la gélule de nébulisât ou l’huile essentielle que l’on peut d’ailleurs associer, on donne 2 gélules, 3fois par jours.

Il faut savoir que la sauge est antispasmodique, antisudoral agit parfaitement bien sur les bouffées de chaleur et qu’elle contient une substance oestrogénique qui a tendance à exciter.

  • Du 16e au 28e jours :

290px-Lithospermum_purpurocaeruleum0Gremil1200px-Illustration_Alchemilla_vulgaris0_cleanAlchemille

on peut associer, un nébulisât de Grémil lithospermum officinale avec l’alchémille, alchemilla vulgaris en nébulisât à 0.30g et associer également à l’huile essentielle de sauge à 0.03g pour une gélule, 2 gélules 3 fois par jours

Vitex_agnus_castus2.Gatillier

Une autre formulation peut être faite associant du 1er jour au 24e jours simplement le nébulisât de sauge et du 16e au 28e jours on associe le nébulisât de grémil à 0.10g avec le gattilier Vitex agnus-castus qui est un antispasmodique des troubles neurovégétatifs et un antiœstrogène de caractère hormonal, il a également une action galactagogue.

En ce qui concerne le Grémil lithospermum, c’est un freinateur hormonal qui a une action antihormonale, antithyréotrope et antigonadotrope.

On sait que ses propriétés anticonceptionnelles sont discutées.

Cette plante est utilisée par les indiens d’Amérique du Nord comme contraceptif.

On peut associer à cette formulation hormonale, une formulation dite de terrain hyperfolliculinique associant trois plantes :

  • le gattilier en teinture mère

  • l’alchémille en teinture mère

  • le grémil en teinture mère

    • soit 70 gouttes, 3 fois par jours que l’on peut donner pendant 2 mois

Cette composition à une action énergique elle peut être modifié en donnant une association d’action beaucoup plus nuancée qui associe :

      • la pimprenelle en teinture mère avec la teinture mère d’avoine que l’on donne dans les 2 mois suivants, 3 fois 70 gouttes par jours en teinture mère

En cas de migraine ou de céphalée souvent présentes au cours de la ménopause on peut associer :

      • la camomille en teinture mère

      • le calendula en teinture mère

      • le gelsemium en teinture mère

        • le tout 3 fois, 30 gouttes par jours

En cas d’irritabilité on peut associer :

          • la ballote en teinture mère

          • associé au lycopode, lycopus

            • 3 fois, 30 gouttes par jours

Et également une autre composition qui peut également agir sur la nervosité et les dépressions associant :

  • la mélisse feuille 30g

  • la persicaire feuille 20g

  • la valériane racine 20g

  • le millefeuille sommités fleuris 30g

  • le bouillon blanc 10g

    • le tout 15g pour un litre et on donne 3 bols par jour

On peut également associer en cas de palpitation, c’est-à-dire éréthisme cardiovasculaire, on peut donner :

      • de la passiflore

      • de l’aubépine

      • du carvi

      • du cumin

      • de l’oranger

Deux plantes sont aussi spécifique pour la nervosité au cours de la

 220px-Crataegus_laevigata_hagtorn  Aubepine                                  290px-PassifloraCaerulea_Bluete_von_obenPassiflore                                      

ménopause sont avant tout la Passiflore Passiflora incarnata, dont on peut utiliser la teinture mère qui est sédatif, antispasmodique et qui est sympathicolytique, elle peut être utilisé dans les insomnies et les états de nervosité.

L’Aubépine Crataegus oxyacantha, est également antispasmodique, vasodilatatrice un peu hypotensive, une action sédative sur le système nerveux cardiovasculaire donc très utile dans les troubles de type neurovégétatif.

Pour les sensations de tension pelvienne, on peut utiliser des plantes dites décongestives, décongestionnantes ce sont avant tout :

  • le mélilot Melilotus officinalis, dont on utilise les sommités fleuris en teinture mère, plantes qui agit également sur les bouffées de chaleur et qui et aussi antispasmodique

  • Melilot                On peut également utiliser le cyprès Cupressus  Sempervirens

  • 290px-Melilotus_alba_02290px-Med_CypressCyprés

Enfin pendant la ménopause, il peut arriver qu’apparaisse des métrorragies il faudra de toute façon s’informer et faire des examens complémentaires afin d’éliminer des lésions de l’utérus ou du col évolutives et c’est le fait du professionnel de santé.

En dehors de toutes ces affections que l’on peut trouver alors il pourra être proposé en cas de des métrorragies:

  • la bourse à pasteur bursa-pastoris en teinture mère dont on utilise la plante entière sans les racines qui a une action hémostatique

  • on peut également utiliser le lamier blanc Lamium album en teinture mère qui et une plante astringente, hémostatique et est utilisée également dans les métrorragies.

Enfin on peut utiliser l’hydrastis canadenisis dont on sait qu’il est inscrit au tableau A car il possède un alcaloïde toxique qui est vasoconstricteur, pelvien et qui stimule les sécrétions utérines, c’est vasoconstricteur hémostatique.

On utilise sa racine en décoction à 60g par litre 2 à 3 tasses par jour au en teinture mère.

Certains auteurs proposent le cimicifuga racemosa dans la ménopause, en faite cette plante ne doit pas être utilisé car on a recensé, le 20 juillet 2006 42 cas d’atteinte hépatique. Donc si cette plante était utilisée elle doit justifier une particulière attention et un avis d’un professionnel de santé est hautement indiqué.

Depuis 2001 citer dans le panorama du médecin le 13/09/2001 on cite l’extrait de soja pour le traitement de bouffées de chaleur chez la femme ne souhaitant pas un traitement classique par les THS ou qui ne le supportent pas (prise de poids, troubles des règles ou présentent un fibrome) mais il faut savoir que cette plante bien qu’ayant une action de type oestrogénique n’a pas son indication dans la prévention de l’ostéoporose.

Elle justifie par la présence d’œstrogène des précautions d’usage suivante :

  1. toujours l’éviter si il existe un cancer du sein

  2. ne jamais l’associer à un traitement anticancéreux du cancer du sein type Tamoxifene

  3. et toujours éviter d’utiliser ce produit de soja s’il existe des antécédents de cancer de l’endomètre c’est-à-dire cancer du corps de l’utérus

  4. et si il existe des phlébites ou un antécédent de thrombophlébite

Soja

Il ne semble pas d’après des études récente que le soja avec ses phytoestrogenes ne stimule pas l’endomètre mais si il n’existe pas hyperplasie retrouvée dans des études récentes, ces études nécessitent encore du recul.

On recommande dans l’utilisation du soja avec ces phytoestrogenes un dosage qui ne doit pas dépasser un mil gramme par kilos et par jour d’isoflavone.

Dans tous les cas le soja ou ces dérives d’isolat de protéine de soja sont déconseillé au enfant de moins de 3 ans et si une femme qui reçoit ces protéine de soja présente des règles de façon anormale et long ce produit doit être impérativement arrêté, et faire impérativement appel à un professionnel de santé afin de pratiquer un bilan de l’endomètre et du col de l’utérus.

Certains on proposé une association de soja et de yam ces gélules sont composé d’isoflavone de soja à 45mg et de yam (riche en diosgénine) à la dose de 705mg à 3 gélules par jours.

On décrit des actions positives sur les troubles du sommeil améliorés à 50%, trouble de l’humeur et de l’anxiété à 40%, sensation de gonflement des seins à 45%, amélioration des sueurs nocturnes de près de 60%.

Informations contradictoires sur le soja

Nous avons vu donc les précautions élémentaires que l’on doit prendre en utilisant le soja dans la ménopause, quoi qu’il en soit il faut ressortir des études qui on était faite et décrite dans les quotidiens du médecin du 22 mai 1991, ce referant à une étude du journal Lancet de 1991/ 337 – 1197 – 200.

Le soja protégerait contre le cancer du sein avant la ménopause, d’après le Lancet après étude d’une population de 200 femmes d’origine chinoise et étant malade et ayant subies 420 contrôles, contrôles qui ont utilisés des donnés croisées associant antécédent familiaux de cancer du sein, l’age, la taille, le poids, l’alimentation.

Le régime alimentaire des 12 derniers mois a surtout était mis en valeur. Seule cette variable s’est révélée significative et chez 50% des femmes non ménopausées.

Le risque du cancer du sein diminue avec l’apport important en acide gras poly insaturé,

B carotène, en soja, le rapport acide gras poly insaturé sur acide gras saturé et rapport protéine de soja sur protéine total élevé, diminue également le facteur de risque du cancer du sein.

Il apparaît que les acides gras poly insaturé, le B carotène et le soja sont des facteurs protecteurs.

L’effet protecteur du soja interviendrait par les phyto-oestrogenes agissent sur le statut hormonal avant la ménopause, il est exprimé l’hypothèse d’un effet seul permettant une ligne de partage entre pré ménopause et post ménopause les phytoestrogènes entrant en compétition avec les œstrogènes androgène et carcinogène.

D’où il ressort un statut de prévention du cancer du sein en privilégient les légumes et le soja le débat donc reste toujours ouvert concernant l’utilisation du soja dans la ménopause.

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Le bambou

Bambou arundinacea.L

Le bambou est décliné sous de nombreuses espèce ou nom, le bambou commun est une graminée qui peut être aussi nommée par Phyllostachys Nigra ou Pleiblatus Amarus ou Bambusa Vulgaris Schrab.

La théorie des signatures a fait du bambou, par la morphologie des tiges en forme de colonne véritable, une indication particulière dans les phénomènes articulaires qui a été vérifié par l’usage et confirmer par les études moderne.

Mais surtout il ressort de l’usage traditionnel du bambou des propositions thérapeutique qui associe des traitements ;

  1. des refroidissements

  2. nausée, vomissements

  3. grippe

  4. la toux alors souvent associé au gingembre

Son action générale est

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    • Antispasmodique

    • Antimicrobien

    • Emollient

    • Expectorant

    • Hémostatique

Action confirmée par la pratique ayurvédique indienne, utilisant le mot homologue sous le terme de « Kalaka » utilisé en écorce.

La pratique Chinoise, confirme par l’usage de l’action du bambou dans l’arthrose et l’ostéoporose de l’extrait de bambou riche en silice, appelé Tziuchu.

Traditionnellement la racine est utilisé dans la cirrhose, les tumeurs malignes coliques ou de l’estomac, l’exsudat de la tige est riche en silice en (SiO2 à 97%), appelé en Inde Tabasherr utilisé dans l’arthrose et l’ostéoporose.

Outre les indications précitées, on considère le bambou utile comme ;

Bambou-geant

  • Aphrodisiaque

  • Rafraîchissant

  • Tonique

  • Antiasthmatique

  • Anti-tussique

Les pousses jeunes peuvent être allergisante, mais leur teneure en acide cynahaidrique est utile pour tuée les larves de moustique.

Par contre, les pouces jeunes peuvent être toxique et son mode de préparation et de cuisson permet d’éliminer cet acide qui peut être dangereux pour l’homme.

Les tiges séchés contiennent 1.8% de silice.

Le traité « des froids nocifs » ou (Shan Han Lun) confirme son effet sédatif et antalgique.

Le rhizome ou plante entière en décocter seule ou dans du vin est utilisée dans ;

  1. les abcès

  2. les douleurs osseuses

  3. les myalgies

  4. les parondodites douloureuses

  5. et pour mémoire les aménorrhée et l’œil au beurre noir.

Il est dit que le bambou calme « le Chi » ascendant est qui est donc bien un traitement de référence dans l’arthrose et ostéoporose.

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