Stress et syndrome métabolique

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Le stress et syndrome métabolique 29 Septembre 2015

Le stress est un ensemble de perturbation biologique et psychique provoqués par une agression quelconque sur un organisme et des réponses de celui-ci.

Définition selon le Larousse et selon le Robert :

Le stress se définie comme une réponse qui sont conditionnées aux émotions agréables ou désagréables.

Les repenses au stress au long cours ne doivent pas être confondu entre l’adaptation physiologique anormale au stress à l’adaptation au stress en condition d’urgence.

La réaction générale au stress n’est en rien superposable au terme générique à, je suis stressé ou on me stress. Le débordement des régulations du stress débouche sur fatigue chronique, épuisement professionnel ou trouble du sommeil avec fibromyalgie, syndrome tétanique, bref des états clinique qui sont superposables mais qui ne sont pas comparables et qui sont des entités à par entière

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  1. Réaction générale aux stress

L’homme face à l’urgence se prépare à fuir ou à combattre. On observe alors, une accélération circulatoire, une dilatation des vaisseaux musculaires et une vasoconstriction cutanée, une glycogénolyse, une lipolyse, une hyperventilation avec bronchoconstriction et accroissement des hématies circulantes.

Ces réactions sont classiquement sous la dépendance d’une sécrétion accrue de cathécholamines.

Aspects cliniques du stress:

La plupart des anomalies sont béta-adrénergiques (cœur, bronches) et les autres alpha adrénergiques ou mites (vaisseaux, vessie, estomac, œil). On note ainsi :

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    • Céphalée, dilatation pupillaires, troubles visuels

    • Sueurs, moiteurs des extrémités, faiblesse musculaire

    • Congestion nasale, sécheresse de la bouche, pâleur du visage

    • Vertiges, agitation, tremblement, insomnie, nervosisme, prurit, onychophagie

    • Tachycardie, palpitations, gêne précordiale, élévation de la tension artérielle

    • Polypnée, dyspnée, constriction de la gorge

    • Anorexie, embarras gastrique, spasmes intestinaux, pollakiuriedessin1

Aspects biologiques du stress:

Bien surélévation des catécholamines de façon variable ; élévation des lipides, mobilisation glucidique hépatique, baisse de l’insulinosécrétion, augmentation de l’ACTH, GH, Hormones thyroïdiennes, corticostéroïdes, des systèmes de coagulation.

Toutes ces variations clinique et biologiques varient selon le sujet, son entraînement, l’intensité du stress et type de stress. L’expérience limite l’effet du stress. Ainsi les nombreuses expériences faites sur le stress montrent que :dessin3

  • Le discours en public élève surtout l’adrénaline (stress passif faible)

  • Le saut en parachute élève l’adrénaline et la noradrénaline (stress passif fort)

  • La course automobile élève les deux (émotion active forte)

Tous ces phénomènes ont été étudies pour établir les supports du développement de l’hypertension artérielle (qui touche en France 5 millions de personnes).

  1. L’impact répété des stimuli nocifs laisse présager une installation définitive dans la maladie. L’exposition chronique au stress est actuellement réactualisée.

Bien que analytiquement, détaillée, la terminologie du mot stress n’est pas clairement définie.

Par contre, le syndrome métabolique induit par le stress est parfaitement établi associant:

  • Tour de hanche supérieur à 94 cm chez l’homme, 80 cm chez la femme,

  • Triglycéridémie

  • HDL cholestérol

  • Pression artérielle

  • Et glycémie

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(Étude Chandola Brunner, Marmot BMJ, janvier 2006 sur 10308 fonctionnaires de 1989 à 1999).

Plus l’exposition au stress professionnel est important, plus le risque métabolique est élevé, l’association est dose dépendante. Les sujets exposés plus de trois à des périodes de stress ont un risque deux fois plus important de développer un syndrome métabolique.

Le lien entre stress et maladies coronariennes a été parfaitement formalisé.

La causalité du stress dans la genèse de l’ulcère gastro-duodénal a toujours était également discutée, alors que depuis les expériences de Claude Bernard celle-ci avait était entérinée.

L’enquête Sumer, rapport un accroissement des contraintes organisationnelles sur les horaires et le rythme du travail (sur 25000 salariés de 1994 à 2003).dessin5

Les études de Dublin déclarent 27% des salaries européens pouvant souffrir de problèmes de santé lié au stress au travail (Panorama du médecin 27 novembre 2006).

Une étude paru le 29 janvier 2007 (panorama du médecin Dr Hansel hôpital Pitié Salpêtrière Paris) souligne la fréquence des apnées du sommeil chez les patients ayant un syndrome métabolique associant, obésité et hypertension

artérielle, 56% des patients c’est-à-dire 163, présentent un syndrome d’apnée, alors que 87% avaient une pression artérielle contrôlé.

Il existe donc une certaine discordance sur le déterminisme et la stratégie d’attaque du syndrome métabolique.

La question posée dans le BMJ est de déterminer l’effet direct du stress chronique sur l’insulino résistance (donc apparition de diabète), sur la pression artérielle de repos et métabolisme des lipoprotéines ou s’il s’agit d’une action via le système nerveux central et d’une action neuroendocrinienne.

Or les études répondent en partie, à ces questions posées malgré le manque de lisibilité de la terminologie du terme stress.

L’étude Sumer a déterminée des secteurs d’activité professionnelle, catégorie professionnelle et degré d’autonomie qui détermine le risque de travail sous tension

(Job- Strain) :

  • Chez les hommes touchant 11% des cas supérieurs, 29% des employés, 23% des ouvriers.

  • Chez les femme 16% des cadres supérieurs, 33% des employés et 37% des ouvrières

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Il existe bien un niveau de sensibilité cérébrale au stress en partie encadrée par le mode d’éducation ou d’étude faites par le patient.

Par ailleurs, la prise en charge de l’hypertension métabolique démontre par l’étude UKDPS l’effet positif de l’hygiène de vie sur la normalisation des chiffres de la tension artérielle ;

    1. Réduction de poids avec une variable de -5.1kg sur 4874 patients

    2. Augmentation de l’activité physique, car il existe un risque d’emballement avec le stress un repli sur soi, de grignotage, l’absorption de barre chocolaté qui ont un rôle compensateurs et parfois antidépresseurs.

Pour être bénéfique l’activité physique doit faire dépenser 200 kilo calories par semaine (cyclisme natation, marche rapide, jogging) c’est-à-dire faire du sport 30 minutes 3 fois par semaine.

    1. Réduction de l’apport sodé (Etude Cochrane) on doit limiter les apports sodé à 6g par jour.

    1. Apport en potassium, le potassium est apporté par une alimentation riche en légumes, fruits et pauvres en graisse saturés

    1. Réduction de l’alcool avec des variables de 2 à 3 verres de vin par jour.

Toutes ces études ont montrée, l’effet positif de ces règles d’hygiènes et elles sont d’autant plus marquées que le sujet était déjà traité.

L’hypertension métabolique suivie et traité doit prévenir :

  • les accidents cardiovasculaires

  • protéger le rein, d’autant plus s’il existe un diabète.

Ce risque peut être réduit de 58% chez des sujets diabétiques de type 2 ayant une activité physique.

Le risque de développer un diabète chez un hypertension métabolique étant de 2.45%.

Ainsi le syndrome métabolique et stress demeure un lien constamment établi et doit être traités. L’objectif étant ;

  1. D’avoir un chiffre de tension artérielle inférieurs à 14/9 ou 13/8 chez les sujets diabétique

  1. Un HDL cholestérol inférieur à 0.4g par litre

  1. Une glycémie inférieure à 1 g par litre (l’insulino résistance étant une caractéristique du syndrome métabolique)

Il doit être clairement énoncé que si les objectifs ne sont pas atteints par le régime ou la phytothérapie, un traitement médical s’imposera.

Toutefois dans la phase intermédiaire qui associe régime et exercice, il est tout à fait légitime de proposer un traitement phytothérapique, traitement qui traitera le stress et ces composants métaboliques.

  1. Il faut lutter contre le stress

  1. Plantes adatogènes qui agissent sur les décharges dopamine ;

  • Le ginseng

  • Eleuterocoque

  • Le Rhodiola Rosea
  • Le Withania Sominifera

Eleutherocoquedessin7

Eleutherococus Senticosus da la famille des arialaceae.

Ce buisson, appelé « le piquant disponible » a 2 à 5 m de haut avec des racines fortement développées, une écorce jaune clair pourvue de nombreuses épines fines et inclinées vers le bois. Les feuilles à long pédoncule sont digitées (de type 5). Les fleurs petites sont groupées en ombrelle au bout de tiges longues et minces.

Les fruits sont des baies arrondies, noires à maturité, de 7 à 10 cm de long avec 5 noyaux agglomérés. Elle fleurit à partir de la seconde moitié de juillet jusqu’en août, et elle est à maturité en septembre, époque ou il est recommandé de ramasser les raines (12ème partie de septembre).

L’Eleuthérocoque est répandu en Extrême – Orient dans la région de Khabarowsk, l’amour, le sud de Sakhalin. Il pousse également dans la région de Vostok dans le nord-ouest de la Chine, la Corée du Nord et au Japon, appartient aux arialacée comme le Ginseng, surnommé abusiment le Ginseng du pauvre.

Chimie:

Cette plante a été introduite dès 1962 dans la pharmacopée Russe. On sait que les racines et les tiges contiennent des dérivés de la coumarine (la tige en moindre quantité), les fleurs et les feuilles des dérivés des flavonoides.

On a extrait plus de 7 Eleuthérosides.

Drogue:

Les racines de plantes adultes bien développées et cueillies dans la deuxième moitié de septembre. On utilise l’extrait fluide d’Eleuthérocoque dosé à 50 en donnant 40 à 50 gouttes, 3 fois par jour.

Indications thérapeutiques:

Il stimule le système nerveux, permet de travailler sans effort, améliore la vue, réadapte l’organisme, améliore l’appétit et est hypoglycémiant.

On le donne dans les suites de traumatisme, de toxi-infection, d’agression somatique de malades sous insuline. En règle la cure est de 2 mois.

Des essaie thérapeutiques ont été faits chez des diabétiques sévères pendant 10 à 14 semaines. Des personnes de 53 à 72 ans, soumis à des épreuves sportives, ont pu persévérer dans leurs efforts. Des tests aux extraits pendants 12 jours ont et soumis à des personnes à qui ont faisait avaler 50 à 70 g de sucre et des polivitamines.

Cette plante représente le fleuron de la phytothérapie russe.

Ginseng

Le Ginseng qui est de la famille des arialaceaes appelé PANAX ginseng, se trouve en Chine et Corée et Amérique boréale: (variété quinquefolium).

Pousse en foret au Népal, en Mandchourie, en Corée, en Sibérie orientale, au Japon.

  • Culture monopole d’Etat. Plante repiquée. Il faut 6 à 7 ans pour l’utiliser. Si sauvage de 10 ans supérieur en action.

  • Arraché, c’est rouge. Séché au soleil devient blanche.

Falsifications

Racine d’ombellifère, carotte, angélique.

Tradition : plante de la jeunesse

Jin shen: homme plante

Pei si: cuisse d’homme

Introduction IXe siècle par les arabes.

  • Est présenté à Louis XIV

  • Au XVIIIe vendu à un prix prohibitif

  • En 1974, introduit dans la pharmacopée française

Chimie :

  • Contient des stéréols

  • Vitamines B1 – B2 – B12

  • Substances hormonales à effet d’hormone sexuelle, en particulier oestrogénique.

Utilisation :

Nébulisât 0.4g 4 fois par jour.

Respecter les dosages, la dose traditionnelle de racine séchée étant de 9g par jour.

Pharmacologie :

Stimulant cellulaire et du cortex cérébral, adaptogène et anti-stress:

Adaptogène:

  • Anti-stresse et anti-fatigue

Cardiologie:

  • Abaisse la pression artérielle, régulateur des muscles lisses.

  • Régulateur de la tension artérielle et abaissant la réabsorption intestinale du cholestérol et des glycérides.

    • Plutôt hypoglycémique

    • Hépato – protecteur

    • Augmente la synthèse des protéines

    • Anti tumorale et protection (panaxinol) contre radiations ionisantes

    • Stimulant du cortex cérébral: plante excellente chez l’homme vieillissant.

Utilisation:

  • Défatiguant, antianémique, trouble de la sénescence (Ginseng Anti-Age)

  • Aphrodisiaque

  • Stress

  • Hypertension artérielle

  • Potentialise l’action de l’insuline donc hypoglycémiant

  • Adaptogène: prépare à l’effort et endurance

Traitement:

  • Extrait sec de Ginseng à 10% de panaxénol 200 à 800 mg par jour ou en association

  • Extrait de Ginseng à 10% de panaxénol,

  • associé à l’Eleutherocoque 0.4

  • 2 × 3

 

  • Le Rhodiola;
  • Rhodiola Rosea,cette Crassulacée,racine dorée,poussant dans l’Altaï et région artique  devient le fleuron supérieure au Panax Ginseng.immunostimulante,adaptogène,antistress.Elle est excitante et ne doit pas être donnée le soir,deux gélules par jour dosée à  3 % de ravanoside et 1% de Saliroside.Tests sur les cosmonautes.

 

  • Le Winthania Sominifera:
  •  le Ginseng des Indes,est une solonacée testé chez les alpinistes,adaptogène,tonique,immunostimulante,améliore les fonctions cognitives.Appelée à des études élargies en cancérologie et rhumatologie
  1. Plantes anxiolytiques agissant sur les récepteurs benzodiazépine ;

  • L’angélique

  • La passiflore

  • La valériane ou cethrante qui a une action mixte sur la serotonie et sur la noradrénaline

  • La ballote

L’angélique Angelica archangelica

Qui est une ombellifère dont on utilise la racine et sédative, anxiolytique, tranquillisante a une action comparable à celle du librium.

On l’utilise en infusion à 20g par litre et on boit 250cc d’eau d’infusion par jour où en poudre 0.5 à 1 g par jour.

L’angélique se trouve dans l’alcoolat de mélisse composé et le baume du commandeur.

La passiflore Passiflora Incarnata

Dont on utilise les parties aériennes qui contiennent des alcaloïdes, des flavonoïdes, des hétérosides. C’est un sédatif majeur utilisé dans l’anxiété, les insomnies de tension nerveuse même pour les angoisses de guerre.

Il est utilisé en infusion 10 à 15 g par litre, il faut boire alors 500cc par jour, en extrait fluide 1 à 3 g par jour, en nébulisât 0.2 à 0.3g par jour.

A forte dose, il peut donner des maux de tête (céphalée) et troubles de la vision.

Si la passiflore est reconnue comme sédative et anxiolytique, il faut savoir que son étude a toujours était faite en association avec d’autre plante tel l’aubépine.

Toutefois, il semble apparaître que l’utilisation de la passiflore améliore le score d’adaptation physique surtout chez le sujet âgé. Son action est particulièrement nette en cas d’humeur anxieuse avec trouble de l’adaptation momentané.

Ces contres indications sont la conduite automobile et la grossesse. Il faut connaître outre ses effets indésirables qui ont était cité comme céphalée et trouble de la vision, mais avant tout nausée, vomissement, sédation, somnolence, tachycardie ventriculaire.

Il existe une interaction médicamenteuse de la passiflore qui accentuerait l’action des médicaments antidépresseurs.

La valériane Valeriana officinalis

Dont on utilise le rhizome, les racines et parties chevelues des racines.

L’action des principes actifs n’est pas encore tout a fait connu et les concentrations de produit actif sont extrêmement variables selon les plantes. C’est un neurosédatif qui agit sur l’insomnie, les états d’excitation et des palpitations de type dystonie neurovégétative.

On l’utilise en infusé à 10g par litre, il faut prendre 600cc par jour mais il a mauvais goût. On peut le prendre en nébulisât 0.5 g à 2g par jour chez un adulte.

Et pour un enfant de 15 ans on peut proposer 0.3g à 1g par jour.

L’action anxiolytique de la valériane n’est pas expliquée. Il semblerait que son action agit sur les récepteurs GABA du cerveau et son action serait comparé a celle des benzodiazépine.

Il faut connaître ses contres indications, il ne doit pas être donné en cas de grossesse, allergie des problèmes hépatiques type, hépatite ou post hépatite, cirrhose, conduite automobile.

Les réactions secondaire de la valériane se rencontre souvent quant il y a surdosage, ce sont:

  • les céphalées

  • les problèmes gastrocoliques

  • un certain nombre dit de gueule de bois

  • une toxicité hépatique

En cas de surdosage net, il apparaît des signes neuro-vasomoteurs important une tachycardie, des nausées, des vomissements, des confusions, des hallucinations visuelles.

Ces symptômes étant tous réversibles.

Le centranthe Centranthus rubes

Dont on utilise la racine qui est un succédané de la valériane, il agit bien sur l’équilibre nerveux, particulièrement efficace chez l’enfant qui présente des troubles du comportement et cette plante est beaucoup moins toxique que la valériane.

On peut l’utiliser en alcoolature 30 à 50g seul ou associé avec une autre plante dans une infusion le soir.

La ballote

Dont les sommités fleuries sont antispasmodique et narcotique.

La ballote est souvent associée à l’aubépine où a l’anémone.

Bien que de mauvais goût, la ballote peut être prise en infusion et à une action vérifiée.

  1. Plantes antidépressives de type IMAO ;

  • La gentiane

  • Le millepertuis

La gentiane

Qui stimule la sécrétion et la mobilité gastrique dont les effets secondaires doivent être connue, c’est l’hyperacidité.

Le millepertuis Hypericum perforatum

Cette plante qui a un regain d’actualité pour ces actions antidépressives moyennes est connu depuis longue date pour ces actions de type balsamique, antiseptique, anticongestive et sédative nerveuse.

On utilise les sommités fleuries, elles contiennent des tanins catéchique, de l’huile essentielle tel que pinène, des caroténoïdes, des résines, pectine, des flavonoïdes, de la quercétine, de la rutine.

L’élément marqueur du millepertuis est l’hypéricine qui permet d’identifier la plante.

L’hypéricine est à l’origine des incidents de photo sensibilisations.

  1. Les plantes Béta bloquante ;

  • L’aubépine

  • Passiflore

L’aubépine Crataegus oxyacantha,

Elle est également antispasmodique, vasodilatatrice un peu hypotensive, une action sédative sur le système nerveux cardiovasculaire donc très utile dans les troubles de type neurovégétatif.

  • Le nénuphar blanc qui est antispasmodique, modérateur du parasympathique cardiaque et respiratoire.

  1. Plantes stimulantes de l’hypothalamus ;

  • L’anis

  • L’aunée

  • La réglisse

  1. Plantes stimulantes des glandes corticosurrénales ;

  • Le cassis

  • L’églantier

  • Le chêne

  • La réglisse

  • Le romarin

Le thym, le basilic, le pin, et la sarriette donner en huile essentielle est corticostimulante.

Enfin, nous savons que le syndrome métabolique repose en partie sur l’insulino résistance, donc, il faudra proposer des plantes stimulantes du pancréas ;

  • L’alchémille

  • L’eucalyptus

  • Géranium

  • Genièvre

  • Le Galéga

  • La myrtille

  • L’olivier

  • L’oignon

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Le Kola

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C’est un grand arbre qui ressemble à un châtaignier qui pousse surtout en Afrique à l’ouest du Togo. Dont les fruits son cueillie avant maturité dont on a retirer la pulpe, la noix de cola est privée de tégument.

La pharmacopée utilise la noix fraîche conserver dans les grandes feuille et expédier dans du charbon de bois. La noix sans les cotylédons est astringente contient de la caféine 1.5% de poids sec.

La kola fraîche contient de la caféine, des catéchines, des saccharoses, des matières protidique, de la bétaine et des pigments anthocyaniques.

La noix sèche contient un alcaloïde dérivé de la purine et de la caféine 1.5%.

On connaît la kola en Europe depuis les années 1500 et sa première monographie apparaît en 1893.

En Casamance, le fruit pilé est utilisé pour faciliter l’accouchement, la petite racine du kola est utilisé comme frotte dent et la noix fraîche macéré est utilisée comme hypnofuge, stimulante et aphrodisiaque.

Mâché avec du gingembre ou le petit Kola réduit l’effet de la caféine contenu dans le Kola.

La différence entre la noix fraîche et la noix sèche c’est que la caféine a un taux de caféine et de tanin qui se libère après mastication de façon douce alors que dans la noix sèche la libération de caféine et rapide.

Le catecole contenu dans la noix à une action vitamine P, il augmente la résistance capillaire et diminue la prémeabilité vasculaire.

La caféine cholatine diminue la fatigue, diminue les réserves. L’action musculaire est énergétique est plus importante avec la noix fraîche que la noix sèche.

Elle apporte ainsi une résistance à la fatigue physique mais il existe un risque d’hypertension artérielle.

La tension artérielle augmente plus avec la noix sèche qu’avec la noix fraîche ou stabilisé.

Donc il faut utiliser en terme médicinal la forme stabilisée.

L’association catéchine et caféine est un frein dans son utilisation car c’est un stimulant nerveux donc contre indiqué dans l’hypertension artérielle, a ne pas donner le soir et a ne pas donné s’il existe une cardiopathie.

Il est préférable de le donner en cas de convalescence ou de surmenage. L’utilisation de poudre de kola stabilisé élimine les inconvénients de la noix sèche.

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conclusion temporaire sur les consequences du stress

mise au point du 8 Mars 2007

Les conséquences du stress Brun Out, épuisement professionnel, fatigue chronique, syndrome métabolique (dont certains contestent la validité) ont été étudié et mise en valeur par une équipe Israélienne(publié dans Psychomatique médecine. 68 – 863.869 2006 auteur Melamed. Shirom. Tokor. Shpira).

L’étude a été faite sur 677 personnes sur 3 à 5 ans ou il a été noté que le risque de développer un diabète de type 2 est presque doublé chez les sujets exposés au burn out, « le stress chronique et multiforme ».

Ce facteur est indépendant de la tension artérielle. On établi quatorze critères de burn out ou SMBM (Shirom – Melamed Brut out Measure) qui comprend trois rubriques :

  1. épuisement moral

  2. fatigue physique

  3. et altération des facultés intellectuelles

On note entre outre qu’il n’y avait pas pour cette étude de corrélation entre le burn out et la tension artérielle et que le facteur risque de diabète représenté par le stress ne s’explique pas par un effet du stress sur la tension artérielle.

Le stress, burn out est donc un facteur de risque indépendant du diabète de type II.

La proportion d’antécédent de diabète n’était significativement différente dans le groupe Burn out 22% et chez les autres 18,2%.

Bien que l’étude ne soit pas complète : pas de mesure de l’obésité abdominale, absence d’analyse complète des antécédents familiaux, sur 677 sujets, 507 avait des mesures tensionnelles exploitables.

Le chemin est donc ouvert pour réactiver la connaissance et le traitement du syndrome métabolique et ses conséquences liées au stress.

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