Syndrôme pré-menstruel

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LE SYNDROME PRE MENSTRUEL

29 Septembre 2015

Le changement dans la continuité. Tiens elle a ses règles, chanson connue.

Le syndrome prémenstruel a été à la une en 1982 devant la justice anglaise accordent des circonstances atténuantes à deux anglaises inculpée de meurtre « Madame, si vous avez l’intention d’assassiner votre mari, partez avec lui en Angleterre et faite le pendant la période prémenstruelle » (B.Cordier – Gazette médicale 1986 – n°12).

Pour l’essentiel,il est considéré que le SYNDRÔME PREMENSTRUEL associe  majoritairement des symptômes  physiques,le plus souvent douleurs abdominales et lombaires,tension mammaires,céphalées et  véritable climat d’instabilité émotionnelle survenant 2 à 7 jours voir 10 jours avant la survenue des rêgles

Le syndrome prémenstruel avait était étudié à l’hôpital Bichat par le Pr.Apfelbaum (1970 -1980)dans la boulimie prémenstruelle où il décrivait un syndrome chocolat où on préfére le chocolat noir de préférence qui contient des substances de type IMAO à action antidépressive.

Les symptômes et leur théâtralité sont tellement importants que des études systématiques ont été faites par Moss.Rh en 1969 K.Dalton en 1969 et en 1979 par l’internationale Helth fondation revue gynéco obstétrique 1984, Rosenboum 1986.

Les anglo-saxons mettant le plus l’accent sur la composante psychologique du syndrome prémenstruel et les français plutôt sur les manifestations physiques de type mammaires du syndrome prémenstruel.

La pathologie hormonale est fort discutée et contradictoire et ils existent en outre des études contradictoires sur la fréquence des symptômes du syndrome prémenstruel, certains ne parlent plus d’information mais d’intoxication de type journalistique les chiffres variant dans les symptômes de 29 à 97 %.

De fait on peut lire de façon statistique deux études qui ont était faite en 1979 et 1986.

Syndrome prémenstruel

1979(Source International Fondation)

*Humeur changeante ,irritabilité,agressivité:47%

*Seins Douloureux,Tendus,Gonglés: 42%

*Dorsalgie et Lombalgie:39%

*Mal Au Ventre:39%

*Mal aux Ovaireds:33%

*Fatigue:32%

*Prise de Poids,Gonflement,Ballonement 30%

*Mal aux Jambes,Jambes lourdes 24 %

*Crise de Larmes,Etat Dépressif:25%

*Anxiété,Nervosité:23%

*Maux de Tête:22%

1986 Gazette Médicale/1986-93-N°12

*Mastodynie:33 – 50 %

*Douleur Abdominale:52-57%

*Prise de Poids :25 %

*Jambes Lourdes ou Douloureuses:19-27%

*Céphalées;Migraines:17-35 %

*Vertiges:6%

*Asthénie :25-59%

*Changement d’Humeur:37-63%

*Sensation Dépressive:18-20%

*Difficulté de Concentration:5-10%

*Insomnie 4%

*Maladresse:7%

*Constipation:23%

*Bouffées de Chaleur:11%

*Troubles cutanées type Acnée,Rougeur:11-18%

*Troubles de la Vue:3%

*Asthme:4%

*Crise Convulsive:6%

Il existe donc un différence notable dans ces deux évaluations statistisques des symptômes  ,non comparables et surtout; Il n’apparait pas de véritable épîdémiologie  soçio-médicale. .

On peut citer  charge émotionnelle due aux contraintes familiales,famille monoparentale ou non,évaluation des conditions de travail(posté ou de nuit,temps de transport etc),les facteurs d’éducation soçiale,cursus scolaire,universitaire,environnement soçial urbain ou rural,qualifications ou capacités aux  postes  requis,cohésion soçiale adhésion ou  d’abandon , désintêret ou rejet..Burn Out.Antécédents médicaux familiaux et personnel.

Les signes sont tellement spectaculaires que l’on peut assister à une véritable dépendance médicamenteuse antalgique avec laxatifs, diurétique, alors que l’on sait que le syndrome prémenstruel est constamment associer à une progestérone basse de l’ordre de 5ng /litre améliorer par la prise d’œstrogène a concurrence de 40% de bons résultats.

Certain s’interrogent sur le facteur psychosocial en argumentant qu’en Afrique noire le syndrome prémenstruel n’est pas exprimé.

Le syndrome prémenstruel serait donc un mythe médical ? Je tue mon mari et j’épouse mon psychiatre.

Les traitements nous l’avons vu font régressé les symptômes véritable contre épreuve thérapeutique. Il existe bien un support hormonal démontré par Bäckström (1983)

  1. Les œstrogènes jouent plutôt un rôle exciteur vis-à-vis du cortex cérébral, la sensation de bien être étant maximale au moment du pic pré ovulatoire des œstrogènes

  2. La progestérone possède ou contraire des vertus sédatives, provoquant à forte doses, une somnolence.

Le seule problème a long terme est la préparation de la femme à la ménopause qui touche 10 millions de femme en France dont la moitié à plus de 65 ans et dans 60 à 70% des cas subsistent des troubles cliniques dits climatérique. La ménopause expose au risque de fractures après 70 ans une femme sur six présente une fracture du col du fémur.

Mais le traitement hormonale THS ou THM touchant 2 millions d’utilisatrices est un facteur de cancer du sein, 3 à 6% des femmes prennent le THM

(Journal le Monde 9 août 2006).

Les études justifient plus de clarté épidémiologique concernent les impératifs du traitement hormonale THM pour traiter les troubles du THM et le facteur de risque de l’ostéoporose.

Un encadrement est également proposé par les phytoestrogènes dérivé du soja, le risque du cancer étant accrue par les œstrogènes seules comme les risques de vasculaires de phlébite ou d’embolie pulmonaire (voir chapitre traitement ménopause), risque qui sera considérablement diminué par l’emploi de patchs œstrogènes, de progestérone micronisé et phytothérapie hormonale correctement conduite.

Traitement phytothérapique du syndrome prémenstruel :

Il faut donc s’attaquer au problème neurophysiologique de dystonie neurovégétative,

on associer :

  • L’armoise en plante à 10g

  • L’aubépine fleur à 20g

  • L’olivier feuille à 20g

  • L’hamamélis feuille à 20g

  • La ballote fétide en plante entière à 30g

Ou on peut associer :

  • La mélisse feuille 30g

  • La persicaire feuille 20g

  • La valériane racine 20g

  • Le millefeuille sommités fleuries 30g

  • Le bouillon blanc feuille 10g

    • le tout 15g dans un litre d’eau bouillante et laisser infuser 3 bols par jours

On peut ajouter a ce traitement le sorbier sorbus macérât glycériné 40g à jeun et au couché.

Si les troubles a type d’excitation sont plus marqués, on peut proposer:

  • la ballote seule en teinture mère ou associé ou lycopode en teinture mère 30 gouttes de chaque matin, midi, soir dans un verre d’eau

En cas de fatigue psychique on peut proposer :

  • l’huile essentielle de coriande, 3 gouttes par gélule, 2 gélules à 10H à 4H dans un grand verre d’eau

  • de l’huile essentielle de basilic, 5 gouttes sur un sucre le matin et le soir

  • en plus on peut donner une infusion à 10 % de lavande (de 10g pour 100g d’eau) que l’on prend en infusion après le repas du soir

En cas de fatigabilité matinale on peut associer le matin :

  • de l’huile essentielle de pin avec la sauge,

  • l’huile essentielle de basilic

  • l’huile essentielle de sarriette

    • 3 gouttes par gélule, 2 gélules une demi-heure avant chaque repas midi et soir

On peut dans tous les cas ou donner seul le éleuthérocoque en nébulisât ou en teinture mère 40 g gouttes fait matin ou associer avec le ginseng en nébulisât ou en teinture mère.

Plusieurs plantes sont activent dans les bouffés de chaleur :

  1. le germandrée Teucrium scorodonia en teinture mère

  2. la sauge Salvia officinalis en teinture mère

  3. le cimicifuga racemosa c’est a dire l’actée à grappes noires qui à un effet positif

  4. l’extrait de soja qui à une bonne action sur les bouffés de chaleur

  5. le blé a également une action sur les bouffés de chaleur

  6. L’huile de onagre oenothera biennis

On peut influer sur le terrain hormonal, en ce souvenant de l’action des œstrogènes et de la progestérone dans le syndrome prémenstruel, donc si on ce trouve dans un terrain de type hyperfolliculinique, on peut associer :

  • Le gattilier

  • L’alchémille

  • Le grémil

    • en teinture mère 70 gouttes, 3 fois par jours

ou on peut donner une autre formule plus nuancé associant :

  • pimprenelle en teinture mère

      • avoine en teinture mère

        • 70 gouttes, 3 fois par jours

Si il existe un terrain un peu plus anxiogène avec nervosité de type « hyperthyroïdien » on peut ajouter au grémil, l’alchémille, le lycopode en teinture mère soit grémil teinture mère, alchémille teinture mère ; lycopode teinture mère donc seule 125cc, 3 fois 70 gouttes par jours.

Dans le cadre d’une action oestrogénique nous connaissons donc l’action de la sauge de type oestrogénique que l’on peut utilisé soit en huile essentielle en gélule 0.07g ou soit en nébulisât à 0.10g en sachant que la sauge est excitante et a une action hypertensive.

Dans la deuxième partie du cycle on peut utilisé des plantes à action gonadotrope et de type progestatif associant le grémil, lithospermum en nébulisât 0.10g, l’alchémille alchemilla vulgaris à 0.30g pour une gélule, 2 gélules 4fois par jours.

On peut également considérer que le syndrome prémenstruel s’intègre dans un syndrome de type dit de dystonie neurovégétatives ressemblant à une spasmophilie et on peut donc a ce moment là agir sur l’absorption de calcium en utilisant de la prêle en poudre à 150mg associé au galéopsis en poudre à 100mg.

Les jambes lourdes, les problèmes de lourdeur abdominale, de ballonnements du petit bassin peuvent être traité par du Petit Houx et la prise de poids et jambe lourde peut être également associer à ce genre de plante avec des plantes diurétique type Maïs Zea maïs, orthosiphon ou piloselle.

Dans les cas de nervosité et de migraine la marjolaine origanum majorana qui est une labiée dont on utilise les sommités fleuries tige et fleur semble une plante parfaitement adaptée au syndrome prémenstruel et les troubles nerveux centraux.

Elle est non seulement active dans les migraines mais elle agit dans l’insomnie, l’émotivité, elle est sudorifique, antispasmodique et carminative et agit dans certaines toux et douleurs menstruelles. Son huile essentielle est hypotensive.

Des sédatifs nerveux avec œstrogène comme le saule blanc qui présente des œstrogènes dans ces chatons est particulièrement efficace dans les trouble d’angoisse chez la femme en pré ménopause ou dans des syndromes prémenstruel on utilise le chaton en infusion 10g à 15g par litre ou en nébulisât 0.3g à 3g par jours.

Le tilleul est un sédatif léger du système nerveux central qui s’utilise en infusion 10g à 15g par litre.

La passiflore, passiflora incarnata dont on utilise les parties aériennes qui contiennent un alcaloïde l’armine et des flavonoides type lutéole et kesmptone est un sédatif majeur très utile dans l’anxiété et dans ces états de nervosité du syndrome prémenstruel et il agit également dans les insomnies d’origine nerveuse.

On utilise soit une infusion de 10g à 15g par litre pour 500cc d’eau soit un nébulisât dosé à 0.2g à 0.3g par gélule. A forte dose il peut provoquer des maux de tête (céphalées) et troubles de la vision.

Le houblon, mérite également une mention humulus lupulus dont le cône qui est donc un organe féminin contient des dérivés oestrogéniques et des composants flavonoiques, C’est un sédatif est qui agit bien dans les troubles du système nerveux central.

On l’utilise en infusion à 10g par litre et on en boit à 200cc à 300cc par jours, en nébulisât il faut savoir que dosé entre 0.1g à 0.2g par jour il a une action sédative à des dose supérieure, en nébulisât 0.5g à0.8g par jour il a un effets narcotique.

La contre indication majeure du houblon est celle des œstrogènes.

Dans les troubles du sommeil on peut naturellement proposer la valériane mais à la valériane on peut proposer une plante de la même famille dont on utilise la racine le centranthe centrentus rubes qui est un succédané de la valériane qui agit sur l’équilibre nerveux, il faut savoir que c’est une racine très utile chez les enfants ayant des troubles du comportement.

On peut le boire seul ou associé en infusion le soir, il faut savoir que la teinture officinale de la centranthe est plu active et moins toxique que celle que valériane.

Le lotier, lotus corniculatus dont on utilise la fleur est particulièrement utile comme sédatif neveux, chez les insomniaques ayant des palpitations, éréthisme nerveux et émotif, on utilise en nébulisât à 0.1g par jour ou en infusion de fleur 10g à 15g par litre soit 250cc par jour a boire.

Lorsque qu’il existe des troubles de type éréthisme cardiaque et trouble digestif dans un syndrome pré ménopausique ou prémenstruel, on peut également utiliser la tige fleur, feuille fraîche et feuille mondée séché de la mélisse qui est une labiée qui est un sédatif du trouble du système nerveux central utilisé en infusion 5g à 15g par litre en donnant 500cc par jour.

L’angélique angelica archangelica qui est une ombellifère dont on utilise la racine est une plante sédative dont l’action est comparable à une benzodiazépine qui est particulièrement anxiolytique et tranquillisante, on utilise l’infusion de racine à 20g par litre dont on prend 250cc par jour soit en poudre à 0.5g à 1g par jour.

On ne passera pas sous silence la valériane dont on a évoqué le nom dont on utilise le rhizome la racine et les parties chevelus des racines dont les principes actives sont difficilement isolables et pas toujours connue et sont de concentrations variables c’est un neuro-sédatif qui agit en cas d’insomnie d’excitation ou de palpitation chez les personnes ayant une dystonie neurovégétative, on utilise l’infusé de racines à 10g par litre il faut prendre 600cc par jours mais c’est un mauvais goût, on peut utiliser le nébulisât à 0.5g à 2g par jour, on peut utilisé la teinture officinale ou l’Alcoolature mais sont action est décevante l’effet inconstant car il y a un problème de dégradation du produit dans ce genre de préparation de plus il faut rappeler que les concentration du produit actifs sont extrêmement variable.

Dans l’énonciation des formulation phytothérapique concernant les états dépressif de type hyperfolliculinique, on a peut constater que certaines formules associaient des plantes à action sédative et antithyroïdiennes ou hyperthyroïdiennes.

On sait depuis longtemps que l’hypothyroïdie s’associe à une prévalence accru d’épisode dépressif. Il a était constaté récemment que l’administration de faible dose de triiodothyronine améliore significativement la réponse au antidépresseur tricyclique.

Un autre essaie randomisé vient de confirmer l’intérêt de cette association s’agissant cette fois ci des antidépresseurs de type sérotoninergique.

Il a été également rapporter une diminution significative du score de dépression après avoir ajouter une faible dose de L.thyroxine chez des femmes déprimées qui répondaient mal au dépresseur anti-sérotoninergique.

Ainsi par extension on s’aperçoit que la prescription phytothérapique de lycopode avec l’alchémille et parfaitement indiqué dans les états dépressif du syndrome prémenstruel.

Référence, communication citée dans le panorama du médecin 20 novembre 2006

Ces communications faite par les docteurs Leérer, Lojko, Wolkowitz ainsi a revisiter les plantes thérapeutique dans les syndromes dépressifs, des syndromes pré-ménopausique, d’autant plus qu’il existe des problèmes concernant la régularisation des hormones thyroïdienne.

CIMICIFUGA

ou

ACTAEA RACEMOSA. L

Cette plante est souvent citée dans les traitements de pré ménopause.

On utilise la racine qui contient surtout des alcaloïdes type cimifugine et pyridine, résine, hétéroside.

Sa toxicité à forte dose doit être connue: troubles de la vue et vertiges et provoque des accès d’hypertension.

A petite dose elle active les sécrétions bronchiques, gastriques rénale et cutanées.

Elle est donc diurétique, antispasmodique, stomachique mais surtout au niveau gynécologique elle:

  1. est emménagogue en augmentant les contractions utérines

  2. sédatives des dysménorrhées ou elle est associée à:

    • Gêlsenium en teinture mère ou extrait de fluide

    • Cimicifuga, 5 gouttes de teinture mère au 1/5 repartie en trois fois dans la journée

      les graines et racines ont des propriétés oestrogéniques.

La seule difficulté est de pouvoir contrôler biologiquement et toxicité de l’extrait fluide, teinture mère au 1/5 dans de l’alcool à 60.On peut la donner dans la goutte et rhumatisme soient 4 gouttes de teinture mère toutes les 2 heures.

INCURSION DANS LA MEDECINE CHINOISE

Il a été a étudié la visibilité des traitements phytothérapiques traditionnels chinois ,selon,

<<<<<une étude sur 549 femmes in Chinese Plants in Premenstruel /Reviews/2009/Issue 1;en comparant deux formules appelées  Jingqiangping et Xia Yao Wang/par Jing,Yang/Ismael/Chan/Wu

La formule complexe de Jingqiangping apparait comme anti-dépressive,anxiolytique,et réduit expérimentalement la cytokine pro-inflammatoire.D’après l’étude Cochrane,il n’apparait pas de fait hautement  convaincant par la randomisation même s’il apparait une amélioration de l’anxiété,retrouvée expérimentalement par l’action de cette formule sur l’expression des recepteurs Béta-EP (Endomorphine) de l’Hippocampe des modéles souris en stade pré-mentruel.;donc ,globalement une action neurologique centrale privilégiée.il ne s’agit donc pas d’action à visée hormonale.

<<<Cette Formule a été incluse dans une études globale d’Evaluation de 23  études comparatives de 9  traitements Traditionnels chinois  et 14 Etudes utilisant des traitements hormonaux standards

*Paru in Evid.Based Complemt Alternat.2012/Xu ,Jia,Salechow;Kentch;Cui;Deng;Sun;Klune

*La formule a eu un dépot d’enregistrement  CN 1011815881 dans le cadre du traitement traditionnel de l”l’Hyperactivité Yang-Foie et Stagnation Qi dans le syndrôme préménopausique.

Formule  assoçiant:

Pivoine;Fruit Frit de Méliacée Toosendan(Chuan,Lian Zi),Sucre;Racine de Ligusticum (Chuangxiong),Citrus Aurentium;Cardamone;Combinaison Pinella et Gingembre ( avec mode préalable de mitonnage en eau salée pour amoindrir la toxicité du Pinella),Racine de Réglisse..

Pour les auteurs  ,les signes du syndrôme prémenstruel s’amoindrissent avec moins d’effets secondaires que les traitements hormonaux.

<<<<En Chine de Taiwan,il a été pratiqué une métaanalyse de  1998 à 2011 sur 14.312 prescriptions dans les syndrômes préménopausiques

Trois attitudes thérapeutiques ont été révélées:

<<<<la Formule JIA WEI-XIAO-YAO-SAN

ou JWXS  associée à Cyperus Rotundus ou Leonorus Heterophylla

*Formulation de JWXS retrouvé dans  37,5 % des cas

Paonia Lactiflora

Bupleurum Chinensis

Atractylodes Macrophylla

Poria Cocos

Angelica Sinensis

Mentha Haplocalyx

Glycyrrhiza Uralensis

Zingiber officinalis

Paonia Suffructicosa

Gardenia Jasmoïdes

<<<<JWXS associé avec  CYPERUS 7,7 % ou LEONORUS 5,9 % ou les deux  5,6 %

<<<<<Le Top 10 des Plantes Données seules dans le Syndröme prémenstruel

Cyperus et Leonorus :toutes deux anti-oxydantes

Corydalis Yanshusio :Anxiolytique et analgésique

Salvia Miltiorrhiza:Antalgique,Anti-oxydant,Anxiolytique

Eucommenia Ulmoïdes:anti-oxydant

Scutellaria Baicalensis

Dipsacus Asperoides

Cuscuta chinensis

Pueraria Lobata

Paonia Suffructicosa

La formule JWXS est donnée en médecine traditionnelle dans les syndrômes dit “de Stagnationdu Qi et Stagnation du Sang”

<<<<<Selon Chen  Yu -Chu et Hsing-Yu/Huang Bieu Shin et Jen Wu,/Su,Lin

/In BMC/Complement.and Alternat. Juin 2014:

JWXS agit  comme Anti-Oxydant,Anxiolytique et Anti-dépréssive.Cette formule est la plus efficace dans les symptômes Prémenstruels,et Cyperus et Leonorus apporte une plus value anti-oxydative.la formule JWXS est surtout prescrite dans les Dysménorrhées,Syndrôme pré-menstruel;Dépression,Dyspepsie,et surtout une prévalence sur les inconforts psychologiques et gastro-intestinaux

 Pour les auteurs ;cette étude est une confirmation de l’effet phytothérapique de la médecine traditionnelle chinoise dans les syndrômes prémenstruels,étude préalable,considérée comme atoxique et renouvellable et appelant à élargir les études de rondomisations et applications suivies en médecine réactualisée.

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