THÈMES

Buzz ,le Top 50 des Plantes Adaptogènes

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LES PLANTES ADAPTOGENES

29 Septembre 2015

 

La référence au terme adaptogène divulgué par le Dr Lazaref depuis 1947,et de leur libéralisation sur le marché,nous ont incités de se pencher sur des plantes annoncées adaptogènes,permettant de s’adapter aux différents stades du stress,toniques et souvent immunostimulantes,mais dont les actions élargies nécessitent encadrements

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Il faut citer les plus représentatives:

 

*ASTRAGALE  MEMBRANACEUS ou CHINOISE,Huang Qi

Insuffisance Cardiaque,protecteur génétique,Immunostimulant,Spermatogénétique,Adjuvant traitement anti-cancéreux,Néphroprotecteur,Tonique,AntiPapillovirus,Anti-Herpes

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*CORDYCEPS  SINSENSIS,Dongchongxiacao

Anti-oxydant,Immunostimulant,Androgénique (Viagra),Effort

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*ELEUTHEROCOCUS SENTICOSUS,le Ginseng Sibérien

Immunostimulant;Stimulant nerveux;Plante de l’effort,protection agression physique climatique et infectieux,améloiration visuelle

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*GANODERMA LUCIDUM,le REISHI

Asthme,Asthenie;Immunostimulant,Tonicardiaque

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*GINSENG:PANAX GINSENG REn Shen et variété QUINQUIFOLIUM

Immunostimulant;Neuroprotecteur,Cognitif;Stimulant;Adrénergique;Adjuvant traitement anti-cancéreux

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*SCHIZANDRA CHINENSIS,Limonik(Russe) Wu Wei Zi(Chinois)

Cardio-protecteur;Plante de l’effort;Dynamogéne,Dopaminergique,Neuroprotecteur

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*TRIBULUS TERRISTRIS:Bai Ji Li

Anti_inflammatoire;Anti-Angoreux;Anti-Cancérogéne;,protecteur génétique,anti-migraineux

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*WITHANIA SOMNIFERA,Ashwaganda:le Ginseng Indien

Aphrodisiaque;Tonique;Hepatoprotecteur;Immunostimulant;Anti-Vieillissement.

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*RHODIOALA ROSEA

Anti-Stress;Immunostimulant;Anti-Cancéreuse,Protection neurologique.

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La problèmatique est toujours la même:ces des plantes sont effectivement adaptogénes,anti-stress mais  leurs valeurs ajoutées rhumatismales ou cardiaques ou respiratoires ou surtout immunostimulantes(impact expérimental anti-cancéreux) posent de fait non pas le problème de libéralisation mais bien de surveillance des effets thérapeutiques vérifiés ou de leurs allégations,leurs interactions médicamenteuses,de leurs effets secondaires et leurs contre-indications,ce qui avait déjà été constaté avec le Ginseng dès les années 1985 à San Francisco(USA).

 

Deux espèces mondialisées:

 

 

*MORINDA CITROFOLIA :Noni Polynésien

De commercialisation récente,en évaluation.

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*PFAFFIA PANICULATA,Suma,surnommé le Ginseng du Brésil.

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Est passée d’utilisation ancestrale à sa commercialisation entre autre avec la gamme ancienne des” Poconéols “d’après les travaux de Bourdoux.La plante est considérée comme adaptogéne analgésique et anti-inflammtoire mais son composant saponoside est cytotoxique.

La difficulté récurrente est  la présence de bibliographies concordantes à la réalité thérapeutique même si la tradition suppose cette conviction.

 

Il n’est pas inutile de rappeler que la mondialisation,la généralisation de l’automédication ont permis de mettre sur le marché non pas des plantes cueillies  sur leur milieu naturel ou sauvages mais cultivées hors de leur contrée  comme le Reishi,par exemple.

 

Ces plantes ont toutes en commun les indications classiques que sont:

*Allergie

*Alcoolisme

*Anxiété

*Asthénie

*Burn out

*Cancer:en sachant que pour la plupart ont fait partie des tests de laboratoires  avec peu d’essais cliniques

*Dépression légère

*Efforts et préparations sportives

*Etats fébriles

*Immunologie dont allergie,maladies récidivantes type ORL ou Bronchique

*Impuissance

*Insomnie

*Grippe

*Sport:préparation et récupération

*Stress

*Syndrome métabolique

*Tétanie

*Toxicomanie

Toutes ces indications sont en règle générale le pôle référentiel des plantes Adaptogènes,en sachant que certaines auront plus de spécificité médicale et qui seront citées.

 

Difficultés de référencements bibliographiques,notamment pour le SUMA et NONI.

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SUMA,PFAFFIA PANICULATA,Ginseng d’Amazonie

Cette Aramantacée est surnommée aussi:Arbre Sensible,Larme sensible,Khalota dont une bibliographie a été publiée dans”Medicinal Plants of Guinas(Surinam,Guyane,Guyane française) avec citations d’auteurs:de Granville.1977,Blackxel.1990,Seidl.1988,Kanfmu.1999.Downum.1993.Tiwari.1997;Kingston.1999,Morri.1989,Clark.2001,Sullivan.1990,Clavel.1988

Cette bibliographie concerne la variété Pfaffia Glau dont les feuilles  en infusion sont données comme sédatif et ophtalmies

 

*Données de pharmacologies du SUMA:

-Suma contient allantoïne,phytostéroïde,béta-stirol,sigmastérol,saponosides.

-Oshima(2003)montre que les extraits de racines changent et augmentent la progestérone en testostérone et 17 béta.oestradiol.

-Watanabe montre une action dans la leucémie(2000)

-Mazzoleni,Braghirolli(1993-94)ont montré une action anti-inflammatoire

-Etude sur l’effet aphrodisiaque;Arleth,Bennellia,Bertolini(1999)

-Il est reporté des effets secondaires asthmatiques.Jour.allerg(.1988)

-Viera Roberto:anti-oxydant,relaxant,antitumoral,anti-inflammatoire(1999)

-Akisue Matuski une action antitumorale dans la tumeur d’Erlich(2003)

-Un traitement dans l’hépatome est cité dans Cancer(2005)

Thése de Pharmacie de Lyon.Munoz.2004:

On peut légitimement évoquer une activité androgénique due aux Saponosides,Pfaffosides,Béta-sytostérol,béta-edystérol,mais problème cytotoxique des saponosides.

Nous ne franchirons pas le pas que certains évoquent en proposant le Suma comme une alternative aux Stéroïdes,classés  rappelons-le comme dopant.

Il est certain que l’aspect hormonal et immunitaire du Suma conforte son utilisation dans:

-Stress , Fatigabilité,Adaptogène

-Préventions des maladies inflammatoires et infectieuses

Il reste à résoudre la cytotoxicité des saponosides et son aspect allergisant (asthme)

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NONI,MORINDA CITROFOLIA

L’aura nouvelle de cette Rubiacée polynésienne,originaire dAsie,et de son jus de fruit particulièrement,est , pour le moment après une embélie, écartée par l’Union européenne(09/2006) et encadrée par Afssa(10/2005),les évaluations sont peu nombreuses (cliniques et pharmacologiques)et justifient la prudence habituelle puique qu’on lui confère une action anticancéreuse , immunostimulante ,antibactérienne dentaire, anti-inflammatoire.

NONI est l’exemple d’allégations extrêment prometteuses mais nécéssitant des études cliniques et pharmacologiques approfondies

TRADITIONS

Appelé bois de Canaris,Mandragore,Mandragore Américaine,Murier d’Inde,Citron Sauvage

*Les feuilles étaient utilisées comme topique articulaire et cutané.

*Le jus de fruit est bu en boisson souvent mélangé au jus de raisin.

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ALLEGATIONS THERAPEUTIQUES

C’est l’exemple même de plante dont les effets qui n’ont pas encore étayés par des bibliographies espérées:

*TONIQUE

*ANTI-CANCEREUX

*Maladies CARDIO-VASCULAIRES

*DIABETE

Les recherches sous l’égide de la fondation NCCAM(USA) promettent un avenir aux propriétés anticancéreuses et cardio-vasculaires du Noni

Les premières bases de travaux ont commencé sur les cancers de la Prostate et du Sein

Bien que les feuilles et fruit soient vendus en tablettes,pilules,infusion,Noni est sous surveillance pour deux raisons:

1)Cause d’HEPATITE

2)HYPERKALIEMIE( Potassium,K,)donc Noni doit être surveillé si maladies rénales ou régimes restrictifs.

Bibliographie sommaire sur Noni

*Natural Standard Database 08/2009

*Meller,Scott,Sowinski(hyperkalièmie.2000)

*Acta Pharm.Sin 2002.12/2003.Jansen,Nowicki,West,Wang(recherche et mise au point)

*Phytother.Res.12/2003(antitumoral)

*Jour.Ethnopharmacology(Analgésie et Etats mentaux).10/1990

 

 

 

 

 

Phytostérol:De la protection vasculaire à  la Cancérologie

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29 Septembre 2015

 

Les PHYTOSTEROLS dont fait partie  les phytoestrogénes dont le chef de file de plante productrice  est le SOJA,GLYCINE MAX, (fait partie des  plus  4 grands produits agricoles(avec le Blé,Mais,Riz)  pose  très trop le rôle de sa place de supplémention ou de remplacement  alimentaire (guerre de 1914-18) , compléments alimentaires ,médicaments et dans l’alimentation journalière.il est est retrouvé en 2004 dans plus de 40 compléments alimentaires.Mais comme pour tous les phytostérols les phytoestrogénes  doivent répondre à:

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*Leur fonctionnalité

*D’être des polyphénols

*Activité dosable et prévisible

Une des premières difficultés étaient de définir ce qu’apporte l’alimentation en phytostérol et en particulier les phytoestrogénes et de savoir que les isoflavones agissent de façon agoniste ou antagoniste sur les recepteurs oestrogéniques et définir allégations lthérapeutiques. (ambivalence décrite par Rice-Whitehead et par Morton,la génstéine se liant aux recepteurs Béta-oestrogénique ).

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Cette contradiction apparait dans la méta-analyse d’Anndersen(1967-1994) oû il il décrit que manger 47 gr de protéines de soja journallier augmentent 9,3 % de Cholestérol total,12,92 de LDL,10,5 % de Triglycérides,alors que les études  récentes modernes montrent l’impact  positif du Soja sur les variations lipidémiques,qui seront évoqués.Par alieurs,l’Iwoa Women S’ Health Study sur 34.492 femmes ménopausées  sur dix ans montre une diminution de 38 % des maladies cardio-vasculaires en mangeant des flavonoïdes.Ainsi depuis 1999,aux USA,les compléments alimentaires à base de Soja sont autorisées à 25 g de protéines de soja.

Une des difficultés posées est de savoir ce qui revient des habitudes alimentaires (le Soja en Asie) et des études disparâtres et parfois non concordantes ou non conformes à la randomisation classique.

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Le Soja en Europe ne représentait en Europe que 0,6% de l’alimentation en 1999,mais par les allégations thérapeutiques en particulier et de prévention firent bondir sa consommation,évoluant de 1999 à 2001 de 300%.

On peut définir dans l’alimentation le pourcentage des phytoestrogénes alimentaires(Zegler.2004)

-Isoflavones:20%

-Lignane:80 %

-Coumestanes:0,1%

Alors qu’en Asie l’Isoflavone apporté par le Soja représente:45 mgr/j au Japon,35 mgr/j en Chine,15 mgr/j en Corée.

Ces éléments sont importants car les chiffres de compléments alimentaires ont explosés d’autant que des études princeps ont mis en évidence le bénéfice des phytostérol dans la prevention des maladies vasculaires,et implication  ou non dans le  cancer du sein et de l’endomêtre,traitement des bouffées de chaleurs de la ménopause avec discussion de son bénéfice passager sur l’ostéoporose.Pour mémoire,d’après la FAO (2010) la production du soja représente 211.00.000 Tonnes soient:

 

-USA:38 %,/80.748.700 Tonnes/Huile de Soja:23,3%

 

-Brésil:28,1 %.59.242.480 T/Huile 16,1%

 

-Chine:Huile 17,3%,/Soja:17.545.141/7,4 %

 

-Argentine: 21,9%/48.238.807 T

 

L’impact économique et médical ont permis de clarifier l’action des phytoestrogènes donc surtout le Soja et ses dérivés représentent l’archétipe du complément alimentaire ayant bénéficié d’un recul suffisant pour établir des faits cliniques sur le morbidité cardio-vasculaire:les populations asiatiques chinoises et japonaises introduisant précocémment dans l’alimentation le Soja ,dès l’enfance,ont des ratio de morbidité cardio-vasculaire moindre que les populations occidentales de type caucasien..Devant la mondialisation et retour à un mode alimentaire occidentale,les taux de ratio de maladies cardio-vasculaires sont devenus équivalents.Toutefois,malgré le nombre de population concernée,il est difficile d’obtenir des études concordantes cliniques (Methodologie,Nombre inclus insuffisant),alors les expériences in vitro et de laboratoires  portent à  penser à des allégations  plus larges qui seront décrites.

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Classification des PHYTOSTEROLS

CES Composés non séroïdiens sont fournis par les végétaux et depuis 2010,toutes les études réévaluent l’inocuité des phytostérols ,trouvé dans les céréeales,fruits,légumes(stérol,sitostérol,bétasitostérol)

On distingue

1)ISOFLAVONES

 

2)Les LIGNANGES

 

3)COUMESTANES

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La plante peut être composée de plusieurs types de composants type la graine de Soja,une ISOFLAVOVINE composée DE GENESTEINE ET DIADZEINE alors que la pousse de soja contient du COUMESTROL

 

CONCENTRATION DE PHYTOSTEROL ALIMENTAIRE

*ALIMENTAIRE

Riz:1055 mg/100g

Blé:952 mgr/100g

Germe de Blé:553 mgr/100g

Soja:221 mg/100g

Noix:206 mgr/100g

Olive:176 mgr/100g

Bettrave Rouge:25

Choux de Bruxelles:24

Oignon:15

Carotte;12

Yam:10

*LES FRUITS

Orange:24 mgr/100gr

Banane:16

Pomme:12

Pèche:10

Poire:8

*SOURCES D’ISOFLAVONES

Legumineuse,Haricot,Fèves,Graines de Soja(contenant des oestrogènes)

*SOURCES DE LIGNAGNES

Céréales,Son,Graines de Lin,Tournesol,Riz,Ail,Oignon,Huile d’olive et Tournesol

lin

*SOURCES de COUMESTANES

Pousse de Soja,Trêfle,Luzerne

PRINCIPALES INDICATIONS DES PHYTOSTEROLS

1)Hyperlipidémie

2)Hypertrophie Prostatique (contestée par Ortom.2002 et Coddle.2002)

3)Ménopause :essentiellement bouffées de chaleurs et quelques signes fonctionnels.

La PREVENTION de l’OSTEOPOROSE est non clarifiée et parfois sans relation(Mei.2002)Des études ont été faites sur la carence oestrogénique et perte osseuse Rigg.2002;

Action tangible pour Hoyland/Owge;1997/Kvinsec.1998.Moins d’incidence de fracture et ostéoporose pour Fujita1992/Ross.1991/Denisson.1998/Iki.2011.

Pour Nagaka.2002/Kydekins2002/Vitolins2002,les effets seraient marginaux.Bien que de méthologie discutable des études entre densité osseuse et apport de 150 mg d’isoflavone ont été faites par Hsu.2001,Dailais.1998.

En fin de compte,il faut retenir les faits biologiques patents:

a)In vitro,la Genestéine stimule l’activité ostéoblastique et inhibe les Ostéoclastes.

b)Les isoflavones modèlisent la signalisation via les recepteurs oetrogéniques

c)In vitro,l’isoflavone prévient la perte osseuse liée à la suppression de la synthèse oestrogénique.

Les effets cliniques de l’Isoflavone sur la ménoapause (Mayo Clin.Proc.2000)

 

*Diminution des bouffées de chaleurs

*Moins de sensations de “malaises”

*moins d’arthralgies

*meilleure humeur

4)Immunologie:Les effets positifs sont liés à la concentration en Diadzéine et Génistèine,augmentent les monocytes et macrophages.Bien qu’il soit noté peu d’ allergies aux protéines de Soja,il est recommandé d’interdire le TOFU chez l’enfant de moins de 3 ans.

Ainsi devant la variabilité de concentration en Oestrogène,il faut respecter l’arrêté de 1976 et suivrent les règles dictées:

*3 g/j de phytostérol chez l’adulte

*1 g/ j de phytostérol chez l’enfant

Ces règles nutrionnelles sont apparues de 1991-2000, pour surveiller les préparations à base de soja,en particulier chez les enfants hypothyroidiens,(Nouvelle- Zélande Rokwel.1998-2000).De plus les effets oestrogéniques n’étant pas nets ,il est  recommandé chez le nourrisson 1mg/kg/pc d’isoflavone.

De plus,il est noté expérimentalement une action de l’isoflavone de type:

*carcinogénique

*Immaturité sexuelle

*Effet génotoxique de l’oestradiol et Génistine  est superposable et dose dépendante

*Sur les animaux non gestant les phytooestrogénes ont un effet immnunitaire(Colson;1992)

*Les études de Mitchel.2002,ne montrent pas de variation des taux d’oestrogénes ou d’androgènes chez l’homme sous isoflavone

Particularités des molécules

1)La Diadzéine est un anti-oxydant qui a la capacité de se transformer en EQUOL ,fortement oestrogénique qui a une forte affinité avec les recepteurs oestrogéniques

2)Les lignanes sont activés par les bactéries intestinales,produit essentiellement par les graines de Lin,Sésame,Citrouille,Tournesol,Pavot

CANCER,ISOFLAVONES et PHYTOSTEROL

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On se heurte à une cohorte d’études difficilement validable,femmes ménopausées ou cancer du sein(Recrutement,mode de vie,méthodologies)

Toutefois une rêgle d’or s’impose pour les isoflavones ,à ne pas prescrire dans:

 

*cancer du sein évolutif ou stable

*antécédants de cancer

*Patiente sous Tamixiofène

Auteurs:Beber.1993/Klybngth.1999/St Germain.1992/Bresinski.1992/Quella.2000/Nikikander.2002/Van Patten.2002

Autres études:

*GYNESTINE:inhibe la tyrosine kinase donc antimutagène et antiprolifératif

*Etudes sur faible échantillon sur cancer du sein et prostate ave du Toufu/Ja contenant Diadazine ou Coumestrol

*Shu.2001 et Wu 2012 risques de cancer du Sein et Soja

*Risque diminué par le LIGNANE(du LIN).Santos Silva et Ma Canna.2004

Il est rapporté deux périodes déconseillées pour l’exposition à l’isoflavone:ménopause et période in utéro

*L’action sur sur le cancer de l’endomètre n’est pas spécifique aux phytooestrogènes.

*Le GENESTINE à dose dépendante a un effet PROTECTEUR sur l’adénocarcinome OVARIEN

*Cancer du Colon ,effet protecteur in vitro

*Cancer du Testicule,pas de preuve

*Cancer Thyroîdien,selon SAKODA.2002,il existerait un effet de réduction des états latents avec les isoflavones et lignanes.

*Cancer de la Prostate:394 g/j de produits de soja diminueraient de 3 % son ratio.

 

HYPERTROPHIE PROSTATIQUE.

Beaucoup d’études de laboratoire en particulier avec le BETA-STIROL , il a été noté une diminution du flux urinaire et de pollakiurie:With/Mac Donald.1999.-2006 in BIU,Hunyokika.1992

LES EFFETS VASCULAIRES DES PHYTOSTEROLS

1

Ils s’inscrivent naturellement sur la rêgle 5 fruits et légumes /j et la reprise de la morbidité vasculaire de la population asiatique,délaissant la nourriture traditionnelle dont le soja  pour une nourriture occidentalisée en est une preuve exemplaire.

Les Isoflavones ont un effet de vasomotricité si apport journalier de 45 mg/j de Génénistine.New Jour.Eng.1997 montre l’action sur les HDL cholestérol;d’autre part un lien est établi entre Ginesteine et sensibilité à l’insuline.Diand.2003;En passant de 1,5 g à 3 g d’isoflavone le HDL chlestérol baisse de de 8 à 150 % Jujins.2000.CLin.NU.2003

Le son micronisé avec l’isoflavone a une action de  prévention vasculaire

Divers essais ont été faits:

*Phytostérol seul:baisse de 10,5% de HDL

*Oméga 3 seul:seul les tryglycérides baissent

*Phytosterol et Niacine  et ou Fenofibrate baisse de 25 %

*Phytostérol+Oméga 3+Fenofibrate:pas d’action

*L’etude Vantiaranta.1994 a demontré que selon la concentration de Lignanes,les maladies vasculaires baissent de 65 %.Kleing.2000.

*Le syndrome métabolique est associé aux taux d’isoflavones;Van Du Show.2000.Chiffre significatif si isoflavone à 0,4 et lignane à 0,64

EFFET SUR LE SYSTEME NERVEUX CENTRAL

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*En laboratoire(1993):effet cognitif signifié (Yaffe.1998;White.2000).d’oû la recommandation de donner un traitement d’oestrogéne après 65 ans et ménopause.Shumaker/2004

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* Réduction de la mort cellulaire neurologique

,d’oû évocation et application de Martinoli(Quebec) en mars 2002,de l’utilisation des phytooestrogénes comme anti-oxydatif ralentissant de 35 % la mort cellulaire et proposant cette indication dans l’Alzheimer et Parkinson

 

*La mémoire spatiale visuelle est améliorée avec 600 mg/kg d’isoflavone

*Effets sur l’axe hypothalamique.Parhsaul.2001

memorisation

Nous avons mis en garde sur l’utilisation in utéro pour la maturation sexelle,mais aussi la capacité d’apprentissage est altérée en cas de prise pendant la grossesse.Le Coumestrol entraine des troubles du comportement seul in utéro.Whihow.1995.Les troubles d’apprentissage touchent surtout le mâle et l’effet est réversible;Lunnnd.2001

La Saga des phytostérols continue mais surtout l’aventure médicinale et des compléments alimentaires du Soja

Oméga 3 en 2008

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LES OMEGA TROIS en 2008            29 Septembre 2015

PROBLEMES POSES PAR LA SUPPLEMENTATION EN OMEGA TROIS

Nous avons démontré les limites exactes de la supplémentation en OMEGA trois dans le post-infarctus.Il est clairement entendu qu’il s’agit de prévention

Secondaire de prévention des troubles du rythmes.

La presse se fait l’écho de la prévention des OMEGA TROIS en terme de DEPRESSION NERVEUSE(Figaro du 28 mai 2008 ) et des HYPERTRIGLYCERIDEMIE((IMPACTMEDECIN n°246,29mai 2008)

Ces deux articles posent le fait du caractère inédit généralisé de supplémentations complémentaires et posant le problème récurrent de l’efficacité des ALICAMENTS qui ne peuvent se concevoir que dans un critère de prévention générale oû habitudes alimentaires,mode de vie,activité sportive,facteurs génétiques,prises de médicaments ou de conduites addictives médicamenteuses,alcoolique ou autres ,critères dont il sera difficile de déterminer le facteur favorisant ou esssentiel.Ainsi,chez le sénior isolé et pourtant socialisé il n’est pas râre d’être face à de véritables problèmes de malnutritions oû l’usage d’alcool même en apparence modérée induisent des troubles de comportement ayant pour support des carences vitaminiques véritables comme la VITAMINE B12.

1)L’étude de l’INSERM de BORDEAUX(in American journal of Clinical Nutrition du 13 /05/2008) a étudié l’impact du statut nutritionnel en acide gras et en anti-oxydants sur le vieillissement cérébral et troubles de l’humeur sur 1390

Personnes de 75 ans,sur l’argumentaire qu’un OMEGA 3 à chaine longue(acide EICOSAPENTAENOIQUE) à des taux sériques élevés serait associé à une moins grande fréquence de syndrômes dépréssifs dans cette cohorte d’individus,à l’inverse les déprimés ont des taux inférieurs.Faut-il en conclure que la prévention de la dépression justifie la supplémentation en OMEGA 3,et justifierait cette attitude car les OMEGA 3 entre dans la composition des membranes cellulaires cérébrales et faciliterait les échanges cellulaires cérébraux et le métabolisme de la SEROTONINE.

L’organisme PNNS préconise l’adjonction de saumon deux fois par semaine à

L’alimentation mais il est clairement dit que pour l’instant rien ne pouvait permettre de conclure ,cette recommandation s’inclut dans le cadre de recommendation de l’équilibre alimentaire chez la personne agé,vœux pieux

Comme celui de l’institution du régime crétois bénéfique au niveau cardio-vasculaire que la modernité et nouvelles modes alimentaires ont fait disparaître

2)L’HYPERTRIGLYCERIDEMIE

Il est clairement écrit que les régimes efficaces sont souvent suffisants pour faire baisser les triglycérides en une dizaine de jours et surtout la biologie permet de connaître l’alimentation à cibler et à contrôler.

Les OMEGA 3 font baisser indiscutablement les triglycérides mais la supplémentation d’OMEGA 3 suppose le contrôle alimentaire et de rectifier les erreurs :alcool,sucres rapides,graisses alimentaires type charcuteries,fromages,viandes grasses(mouton,agneau).Si ce contrôle n’est pas fait l’adjonction d’OMEGA 3 ne sera qu’un facteur additionnel aux graissses alimentaires.

Allergie

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L’ALLERGIE

29 Septembre 2015

L’allergie est une modification de comportement de l’organisme envers une substance à laquelle il s’est sensibilisé lors de contact préalable.

L’allergie est aujourd’hui au quatrième rang des maladies mondiale selon l’OMS.

La fréquence de l’allergie touche 15% de la population industrielle touchent les régions humides, peu ensoleillées, embrumées, ont un caractère héréditaire pour deux parents allergiques, il existe 60% de risque pour l’enfant de devenir allergique, si un seul parent est allergique le risque est de 27%.

En France, on estime que 10 millions de personnes souffrent de rhinites allergiques (RICAN 2002).On estiment que la rhinites allergique affecte un quart de la population européenne et représente près de 94 millions de personne atteintes de cette même infection chaque année.

La proportion en France est une personne sur quatre qui souffre d’allergie.

Expression de l’allergie

L’allergie peut se représenter sous plusieurs formes:

  1. respiratoire

  2. cutané

  3. digestive

  4. oculaire

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  1. Allergie respiratoire

La rhinite allergique touche donc une personne sur quatre en France. Elle est représenté par une triade associent éternuement, prurit nasal et rhinorrhée.

Ces symptômes sont souvent associés à une conjonctivite qui se manifeste par un prurit oculaire avec larmoiement. La rhinite est causée dans la plupart des cas par des allergènes et en particulier les acariens qui augmentent le risque d’apparition de l’asthme d’un facteur huit.

40% de rhinite évolue ainsi vers un asthme et 70% des asthmatiques ont aussi une rhinite allergique.

On sait aujourd’hui que si une désensibilisation est instituée à un stade précoce de l’allergie, il est possible non seulement de diminuer de façons durables les symptômes et les risques de complication mais aussi de modifier l’histoire naturelle de la maladie.

L’allergie respiratoire de type rhinite, rhino -sinusite, laryngite, trachéite, ou asthme qui peuvent également évoluer naturellement d’une mono sensibilisation allergénique à une poly- sensibilisation qui constitue un facteur d’aggravation.

Plusieurs études ont démontrés que la désensibilisation permettait de prévenir le développement de nouvelle sensibilisation.

75% des enfants mono sensibilisé aux acariens traités pendant trois ans et suivie pendant trois autres années présentaient pas aucune sensibilisation contre 33%

(Nggemann, Jacobsen, Dreborg dans allergy 2006)

(Pajno et Morabito, Barberio dans allergie en 2000).

Cette incidence que représente le facteur allergénique impose une enquête quasi policière pour son dépistage pour rechercher les pneumallergènes responsables.

Il faudra dans tous les cas en présence d’un allergène reconnu aider la famille pour évincer cet allergène, en particulier les acariens (bannir les peluches, les doudous, prendre plutôt un matelas synthétique envelopper dans une housse anti-acariens, préférer les oreillers et couverture en textiles synthétiques et les laver assez fréquemment).

Il faut éviter le chauffage par air pulsé, il faut baisser l’humidité ambiante qui doit être inférieur à 50% et la température dans les pièces idéale doit être de 18 degré.

Le dépoussiérage de la maison se fera une fois par semaine y compris les matelas et les fauteuils.

Il faut savoir qu’il existe un consensus qui démontre qu’il existe un concept reconnu de relation entre rhinite et asthme, c’est-à-dire nez et bronche.

Cette relation implique que chez toutes personnes qui présentent une rhinite allergique persistante, il faut systématiquement rechercher un asthme par l’historique, et les examens cliniques et des preuves fonctionnelles respiratoires cédant avec des traitements spécifiques.

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L’asthme reconnu

Il faudra:

  1. ce centré sur les objectifs relatifs aux symptômes de l’asthme:

    • identifier la crise

    • identifier les symptômes de gravité

    • et comprendre l’origine des symptômes

  1. centré sur des objectifs de contrôle de l’environnement et des facteurs déclenchent.

  1. centré sur des objectifs liés aux traitements de fond.

Il faudra connaître le traitement, précisé l’action du traitement et maîtriser la technique de traitement et en particulier les techniques d’inhalations de produits spécifiques tels que corticoïde et bêta2 mimétique.

L’auto mesure par le Peak-flow ou débit de pointe DEP, permettent s’il est abaissé à 70%, 85% d’avoir une valeur personnelle du traitement entrepris.

 

  1. Allergie cutanée

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Elle touche 25% des français, c’est avant tout une dermite de contact;

  • Produit d’hygiène: teinture, rinçage

  • Produit domestiques: type eau de javel

  • Origine professionnelle: le nickel et le chlore

Une mention doit être particulièrement dicté pour le nickel car il existe des sujets sensibles au nickel et à qui on doit donner des conseils alimentaires.

Il faudra éviter les aliments les plus riches en nickel qui sont

  • les huîtres

  • le hareng

  • la margarine

  • le petit pois

  • les haricots verts

  • le concentrer de tomate

  • les poires

  • le cacao

  • et le thé.

Si la cuisine est faite à la maison, il faut utiliser une batterie de cuisine en émail, en téflon ou en aluminium. Si la batterie de cuisine est en acier, il faut éviter les aliments suivant cuits:

  • asperges

  • betteraves

  • tomates

  • épinards

  • salsifis

  • rhubarbes

  • oseilles

  • les agrumes

  • le vin et le vinaigre qui entre dans la composition de certaines sauces

  • le poivre

  • le café

  • les conserves en boite

Les allergies cutanées d’origine médicamenteuse

Qui sont nombreuses dans toutes ces allergies s’expriment de façon de type urticaire ou œdème de Quincke

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  1. Les allergies alimentaires

Véritable allergies alimentaires relève d’un mécanisme immunoallergique chez une personne génétiquement prédisposé.

Elles peuvent mettre en jeu, les immunoglobulines IgE et dans ce cas la réaction allergique est immédiate. Lorsque ces immunoglobulines IgE ne sont pas impliqué l’action est retardé et ce manifeste généralement par un eczéma atopique ou des signes digestifs.

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Les signes digestifs peuvent se présenter d’une façon:

  1. Aigue chez les nourrissons à type de douleur abdominale

  2. Chronique avec troubles dyspeptiques et troubles du transit

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Les allergies les plus fréquemment rencontrées en allergie alimentaire sont rencontrées avec:

  1. le lait

  2. les œufs

  3. les céréales: farines de blé, orge, seigle, riz

  4. pommes de terre

  5. les tomates

  6. les agrumes

  7. le porc plus souvent que le bœuf

  8. les poissons et crustacés

  9. les procèdes de conservation, présentation et de colorant

En cas d’allergies alimentaires, on peut trouver des signes oraux tel que:

  • prurit buccal

  • gonflement de la luette

  • œdème labial

Il faut savoir qu’il existe des syndromes d’allergies et de sensibilisation croisée fréquente en particulier les pollens de bouleau et les rosacés, c’est-à-dire pommes, cerises, pêches et abricots et d’autre par les composés (armoise et ambroisie et le céleri).

Il existe des sensibilisations et des allergies entre l’arachide et d’autres légumineuses mais souvent ce ne sont pas de véritable réaction croisé mais des associations fortuite liés à de forte consommation de ces produits.

Il existe une réaction croisée entre l’arachide et le lupin (plus de 30%) les sensibilités croiser aux fruits chez l’allergique au latex sont fréquentes au moins à 50%.

La banane est un aliment souvent en cause.

Ainsi au niveau alimentaire, il se dégage plusieurs allergies croisées qui peuvent être sévère:

  1. le syndrome composé céleri qui touche plus de 50% des individus allergiques au pollen d’armoise et d’ambroisie présentent aussi une sensibilité alimentaire au céleri

  1. le syndrome graminée de tomates

  2. le syndrome ambroisie melon, banane

  3. le syndrome céleri épice

  4. les allergies croisées entre légumineuses en particulier arachides et lupin.

290px-Arachis_hypogaea_-_Köhler–s_Medizinal-Pflanzen-163Arachide et autres légumineuses tel que lentille, soja, petit pois, pois chiche, fève, haricots et caroube.

  1. le syndrome latex et aliments végétaux ou l’on trouve des réactions croisés entre le latex et de nombreux aliments.

En particulier avec le kiwi, la châtaigne, la noix, mandarine, cerise, fraise, melon, raisin, ficus et figue.

La recherche des allergènes est un impératif absolu:

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  1. La poussière de maison avec les acariens sont en causes dans 50% des allergies respiratoires.

  2. Le pollen les graminées sont en causes dans 30% à 40% des rhinites et des conjonctivites.

  3. Les moisissures atmosphériques type alternaria.

  4. Les poussières végétales de céréales blé et mais, graines de lin, poussières de bois exotique.

  5. Les plumes 80% de ces allergènes sont associés aux poussières de maison.

  6. les squames de chat, de chien de hamster. La poudre de puce d’eau pour les poissons d’aquarium.

  7. Les parasites

  8. Les polluants industriels

  9. Les médicaments allergiques de type antibiotique aspirine, tranquillisant, et iode.

  10. Les piqures d’hyménoptères allant du prurit au choc nécessitant alors une consultation en service de réanimation.

Dans tous les cas un impératif dans l’allergie s’impose. C’est une enquête de type policière pour identifier l’allergène par des tests de prov

ocation, les méthodes immunologiques et le RAST.

Le but de cette enquête est:

  1. L’éviction de l’allergène

  2. Traiter l’allergie

  3. Faire une hypo- sensibilisation spécifique si le responsable allergisant est établi.

D’autant plus que l’on sait qu’une mono sensibilisation allergénique peut générer si elle est négligée une poly -sensibilisation allergène qui constitue un facteur d’aggravation.

Et la désensibilisation spécifique permet de prévenir dans la plupart des cas le développement de nouvelle sensibilisation.

Traitement phytothérapique de l’allergie

 

L’essentielle est de modifier le terrain allergique par trois plantes:

    • La pulpe de Baobab Adansonia Digitata, dont on sait que la fleur et antiasthmatique.

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L’Adansonia Digitata est utilisé en teinture mère 20 gouttes à 200 gouttes, 3 fois par jour.

  • La Pensée Sauvage Viola Tricolor, qui agit dans l’eczéma, les rhinites cette plante

  • 290px-Viola_tricolor_-_Köhler–s_Medizinal-Pflanzen-280à un tropisme surtout sur la peau.90px-Colourful_Viola_flower_3

On l’utilise en infusion 30g par litre ou en teinture mère 30 gouttes à 60 gouttes par jour.

  • Le Plantain Plantago Major qui est un diurétique, détoxiquant, dépuratif dont le tropisme est important pour la peau et le poumon.

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On peut l’utiliser en décoction de feuille 10g par litre ou en teinture mère 3 fois 50 gouttes par jour.

Dans la plupart des cas on peut associer Baobab, Pensée Sauvage et Plantain en teinture mère 3 fois 50 gouttes par jour.

Il faut savoir que le Plantain est un puissant composé stimulant immunologique dont il faut également rapprocher l’action à celle de la guimauve.

On peut également associer à ces trois modificateurs du terrain allergique que sont le Baobab, la Pensée Sauvage et le Plantain, des plantes dite de drainage qui ont une action spécifiques telle que:

  • Le bouleau Betula Alba qui agit au niveau rénal et sur la peau

  • Le cassis Ribes nigrum qui a une action sur les surrénales, la peau et le foie.

  • Le noyer Juglens regia qui agit sur la peau, les intestins et le pancréas.

    • On peut associer ces trois plantes en teinture mère 3 fois, 30 gouttes par jour.

  • Arctium Lappa ayant une action spécifique sur la peau et le pancréas et l’intestin

  • La saponaire qui a une action hépatique

  • Epine vinette qui a une action sur la peau et sur les reins.

En cas de dermatose allergique on peut proposer:

  • Le baobab seul en teinture mère, 3 fois 70 gouttes par jour.

Ou l’association:

  • Bouleau teinture mère

  • Cassis teinture mère

  • Plantain teinture mère

  • 3 fois 30 gouttes par jour

Ou:

  • Noyer teinture mère

  • Arctium lappa teinture mère

  • Saponaire teinture mère

  • Epine vinette teinture mère

    • Le tout dans 125cc d’eau et donné, 3 fois 30 gouttes par jour

En cas de rhinites spasmodiques, on peut proposer:

  • le Baobab en teinture mère

  • Viola tricolor en teinture mère

  • 3 fois 70 gouttes par jour

L’ananas en nébulisât et une association de Reine des Prés en nébulisât à 0.5g avec la saule en nébulisât 2 gélules, 3 fois par jour.

S’il existe une composante inflammatoire, on peut proposer dans la rhinite spasmodique Rosa canina qui a une excellente action au niveau ORL.

S’il existe une infection associée certains proposent des huiles essentielles associant:

  • Hysope, Thym, Niaouli qui ont une action spécifique sur le poumon

  • Le pin, l’eucalyptus qui ont une action spécifique sur les sinus

Pour améliorer la tolérance synergique et hépatique de ces plantes médicinales ont peut proposer des plantes à action spécifique hépatoprotectrice que sont:

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  • Le chardon marie Silybum marianum

  • Le chrysantellum Chrysantellum Americanum

  • Le radis Raphanus niger

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Aux plantes spécifiques de l’allergie respiratoire que sont plantain, pensée sauvage et baobab, on peut proposer un grand nombre de plantes médicinales qui ont une action spécifique immunitaire mais aussi une action directe antibactérienne, action antiviral (également antitumorale).

L’aristoloche qui fait partie de la même famille que l’asaret, cette plante est d’un maniement difficile du fait de sa toxicité rénale et hépatique.

Pour mémoire, il faut savoir le composant l’acide aristolochique qui est contenu dans la racine, a un pouvoir antibactérien et stimule la phagocytose et a une action antitumorale.

Mais cette plante ne doit être utilisé sans surveillance et doit être mise en quarantaine.

On doit lui préférer l’eupatoire Eupatorium cannabinum avec laquelle on a de meilleurs résultats.

A haute dilution les composants de l’eupatoire stimulent les phagocytes. Par ailleurs l’eupatoire contient un polysaccharide qui à une activité immunostimulante.

Cette propriété immunostimulante de cette plante dépasse de loin l’utilisation traditionnelle de cette plante qui est utilisé et proposée souvent comme draineur rénal, cholagogue ou hypocholestérolémiant.

Certaines plantes qui contiennent des glycoprotéines et des polysaccharides, peptides et nucléosides ont des propriétés immunostimulantes.

Ce sont les gommes mucilage de l’agar qui ont une activité immunostimulante et en particulier une action sur le pneumocoque. Ces polysaccharides ont une action antitumorale et stimulent les macrophages, les lymphocytes T et l’Interféron.

On retrouve ces polysaccharides a action immunostimulante dans les lichens, les algues et les champignons.

Deux plantes sont particulièrement intéressantes pour leurs actions

immunostimulante, l’Echinacea purpurea et l’Eleutherocoque.

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  1. L’Echinacea purpurea qui est surtout utilisée en Allemagne comme anti-inflammatoire.

Elle proposée comme stimulante au niveau immunitaire et augmente les résistances de l’organisme et à une action anti-virale.

On a isolé un polysaccharide qui ressemble à celui que l’on retrouve dans le bambou, le seigle, le blé, le maïs ou le hêtre.

La racine utilisée stimule les défenses immunitaire et hormonale.

C’est également un anti-inflammatoire et qui agit sur le cortex surrenalien.

Il stimule également les macrophages. Sa seule indication est la prévention des infections des voix respiratoires et la prévention des rhumes.

Il a été proposé comme immunostimulant dans des maladies à déficit immunitaire type sida mais étant donner le vague théorique des études cette plante est interdite pour traiter le sida, les maladies auto-immunes et la sclérose en plaque.

Cette plante est interdite chez un patient qui prend un traitement immunosuppresseur, la grossesse et les patients qui présentent des allergies caractérisés.

  1. L’Eleuthérocoque Eleutherococcus senticosus.

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Deux congrès internationaux ont été consacrés le premier à Hambourg en 1980 et le deuxième à Moscou.

Les premiers grands résultats cliniques furent publiés en Russie par Brekman.

Malheureusement en Europe cette plante pris un intérêt tardif car on ne l’a prescrivait que comme fortifiant et tonique.

Son caractère adaptogène a été mis en valeur par des prescriptions de grande envergure dans des conditions de vie climatique difficiles.

En particulier, dans l’industrie automobile ou sur les sites du cercle polaire.

On a ainsi constaté une résistance aux maladies de refroidissement ainsi que la diminution des sensibilités aux grippes.

Les études confirment que l’éleuthérocoque augmente la résistance aux maladies et permet d’endurer le froid et les écarts de chaleur, et permet également de supporter une surcharge pondérale.

Baranov en 1982, a étudié l’éleuthérocoque sur des cellules cancéreuses et sur le processus métastatiques. Cette plante qui était sous-estimée a montré des actions immunostimulantes et anti-stress.

La molécule anti-stress a été isolée la syringine.

Il est considéré que deux actions combinées de la syringine anti-stress et immunostimulante sont des facteurs importants qui modifient les défenses immunitaires.

Dans l’éleuthérocoque on a isolé des polysaccharides à haute activité immunostimulante. Ces polysaccharides ont étaient également retrouvés et isolés dans les Echinacea purpurea.

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A ces deux plantes, il faut ajouter une grande plante immunostimulante le ginseng de la même famille que l’éleuthérocoque, (famille des Araliacées) ou (panax ginseng).

On a isolé une saponine dans la tige et la feuille et un polysaccharide dans la racine. Saponine et polysaccharide ont démontré expérimentalement leurs capacités à stimuler la phagocytose du système réticulo-endothélial dans des conditions basales.

Le ginseng protége on le sait contre les radiations ionisantes. Il a été démontré que le ginseng agissait sur les cellules T jouant un rôle clé inducteur dans les réponses immunes. Ainsi l’éleuthérocoque et ginseng sont les plantes préférentielles à prescrire dans la stimulation et la prévention de l’allergie.

Et on peut associer:

  • L’’éleuthérocoque en nébulisât dosé à 0.20g

  • Panax ginseng en nébulisât dosé à 0.10g

  • Pour une gélule, 2 matin et 2 à midi.

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Eleutherocoque                                                      Panax  Ginseng

 

Pour des raison de sécurité et éviter une toxicité à long terme du ginseng par du surdosage, il faut préférer de conserver l’éleuthérocoque seule qui permet d’adapter le traitement et son évolution, permettant de stimuler le phagocytose et prévenir les affections itératives en particulier les affections de la sphère pulmonaire.

D’après « nature Médicine », mai 1998:

Des volontaires ont mangé une pomme de terre crue transgénique produisant une sous unité d’E.coli. Cet essai montre pour la première fois qu’une plante vaccinale comestibles peut déclancher une réponse immune significative chez l’homme. Dans un autre essai, une solution d’anticorps anti-Streptococcus mutans produit par le plant de tabac a été appliquée sur les dents de plusieurs volontaires, ce qui a empêché la colonisation par ce germe qui est une cause majeure des caries dentaires. On est à deux pas de l’application clinique.

Il est maintenant possible grâce aux progrès en biotechnologie, d’insérer divers gènes étrangers codant des protéines thérapeutiques dans des plantes telles que la pomme de terre et le tabac. Ces mini-usines végétales permettent de produire à faible coût de grandes quantités de protéines antigéniques recombinantes. De plus, lorsque ces plantes sont comestibles elles permettent de délivrer l’immunothérapie par vie orale, offrant ainsi une stratégie vaccinale plus pratique que les vaccins injectables, ce qui est un atout majeur dans les pays en voie de développement.

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Pommes de terre

Les résultats de deux premiers essais sont décrits dans « Nature Médicine ».

Dans un essai de phase I, dirigé par Tacket (université de Baltimore, Maryland) et coll, onze volontaires ont mangé un bout de pomme de terre crue transgénique, c’est-à-dire manipulée génétiquement pour synthétiser une potion de l’entérotoxine (LT-B) d’Escherichia coli qui est responsable de diarrhée.

Le but de l’essai: démontrer qu’un vaccin comestible peut stimuler une réponse immune systématique et / ou muqueuse chez l’homme. L’essai est positif: 91% des volontaires (10/11) ont présenté une forte élévation sérique (4 fois) des anticorps IgG anti-LTet 55% (6/11) une forte élévation dans les selles (4fois) des anticorps IGA anti-LT.

Aucun effet secondaire n’a été observé. Il reste maintenant à évaluer l’immunogénicité des pommes de terres cuites.

« Les vaccins comestibles, commente le Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID (NIH), offrent la possibilité intéressante de réduire significativement le fardeau des maladies comme l’hépatite et la diarrhée, en particulier dans les pays en voie de développement ou la conservation et l’administration des vaccins sont souvent des problèmes majeurs. »

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Bananes, tomates, hépatite et diabète

Forts de ces résultats, les chercheurs essaient maintenant de voir si la banane ne peut pas remplacer la pomme de terre.

Il est aussi prévu d’évaluer des pommes de terre et des bananes protégeant contre le virus de Norwalk, une cause fréquente de diarrhée et des pommes de terre et des tomates protégeant contre l’hépatite B.

Des études pré cliniques, chez la souris indiquent que las plantes pourraient aussi produire des autoantigènes afin de prévenir des maladies auto-immunes, comme le diabète.

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Tabac

Dans un autre essai, Ma et coll. (Guys Hospital, Londres) ont manipulé genetiquement des plants de tabac de facon à ce qu’ils produisent un anticorps sercetoire monocional (sIgA/G; AC hybride entre les chaines mourdes d’IgA et IgG) anti-Stretococcus mutans, germe responsable des caries dentaires.

L’application d’une solution contenant cet anticorps sur les dents de volontaires sains a empêche la colonisation streptococcique de la muqueuse orale pendant quatre mois. « Cette étude, commentent arakawa et coll. Dans un article associé, montre que les plantes manipulées peuvent produire des anticorps neutralisants spécifique. Cette approche pourrait être étendue à l’immunisation passive contre divers agents infectieux. »

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Equivalent et parenté morbide de l’asthme

Les auteurs Bezanson, Jacquelin et surtout Turiaf estiment que l’asthme et une maladie générale a localisation bronchique mais non exclusive.

Les équivalents représentant des manifestations respiratoires non dyspnéique, les parentés morbides de multiple désordre clinique extra respiratoire, la nature est l’origine de l’ensemble ne pouvant être dissocié.

Un axiome qu’il ne faut pas oublier “L’Asthme est une maladie à Reprise,Meprise et Surprise/J.Turiaf”

Ces éléments sont d’autant plus important a connaître que si un élément allergique et reconnue dés l’enfance, il doit non seulement être évincer mais être traité, car c’est la porte ouverte a l’intrusion d’autres allergènes sur lequel peut se greffé la maladie asthmatique, et il existe une corrélation fréquente entre allergie de type rhinite allergique et asthme ou asthme se compliquant également de rhinite allergique (se référer au chapitre référencé asthme et allergie)

Les équivalents respiratoires

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    1. Les rhinites vasomotrices, le coryza spasmodique périodique

Il est essentiellement représenté par le coryza pollinique que apparaît chaque année au moment de la fleuraison. Il se développe exceptionnellement avant 10 ans, rarement après 50 ans.

Son début est toujours brutale précédé par une fatigue, une prurit nasale et des sensations de cuisson oculaire.

Il est accompagné de trois symptômes ;

  • Eternuement en salve

  • Ecoulement nasal contemporain succédant au éternuement

  • Obstruction nasale paroxystique le plus souvent bilatérale

La participation oculaire est constante se caractérisant par du larmoiement avec sensation de brûlures conjonctivale et de cuisson.

Le coryza spasmodique, pollinique est fréquent au printemps et au début de l’été. Dans un délai de 3 à 10 ans après le coryza spasmodique peut apparaître des manifestations dyspnéiques asthmatiques.

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    1. Le coryza spasmodique a périodique

Il est beaucoup plus fréquent que le coryza pollinique ses symptômes ne sont pas typique dominé par une obstruction nasale dont l’écoulement et de nature variable, mais surtout il n’existe pas au cours d’un coryza spasmodique a périodique de symptôme oculaire.

L’origine allergique de ce coryza et souvent d’origine allergique pneumallergène et sa tendance et une tendance à la chronicité.

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    1. Les rhinites vasomotrices pures

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Représentent l’ensemble des cas de coryza ou aucune éthologie allergique a état mise en évidence.

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    1. Les sinusites

On distingue quatre sinusites, les sinusites séreuses tableau de rhinite chronique associant ;

  • écoulement nasal matinal uni ou bilatéral

  • et sensation de tension de la joues ou périorbitaire

Les sinusites polypeuse qui sont souvent considéré comme étant secondaire a une atteinte sinusienne.

Les sinusites infectées, elles représentent une complication fréquente des rhinites spasmodique simple ou ainsi que des sinusites séreuses ou polypeuses.

s’exprime par des signes du coryza spasmodique auquel s’ajoute une perte de l’odorat.

La trachéite spasmodique est caractérisée par la toux ces caractères sont tenaces plutôt nocturne est se représentant souvent comme toux laryngée, roque ou parfois comme une toux quinteuse de type coquelucheuse.

Elle est peut sensible au calmant habituelle de la toux.

La bronchorrhée a cellule eosinophiline c’est une notion isolé de bronchorrhée isolé équivalente de l’asthme qui est trop souvent méconnue et qui peut être une manifestation principale de la maladie asthmatique.

On la considère cliniquement comme une véritable bronchorrhée eosinophilique véritable eczéma suintent des bronches.

Elle se déclarer principalement pendant la seconde enfance ou l’adolescence souvent associée à une rhinite vasomotrice, une éosinophilie sanguine accrue et particulièrement sensible à la corticothérapie.

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    1. Les parentés morbides de l’asthme

Les parentes morbides l’asthme sont nombreuses ce sont de multiple syndromes :

  • digestif

  • cutanée

  • muqueux

  • sanguin

  • neurologique

  • cardiovasculaire

  • articulaire

  • urinaire

  • oculaire

Certains syndromes cités s’associent avec l’asthme, mais ils méritent d’entrer dans le cadre élargi de la maladie asthmatique tel qu’il a été défini.

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Les manifestations digestives

Elles sont surtout représentée par une véritable pathologie de tuyau touchant les canaux biliaires ou le tube gastro-intestinal.

On note des phénomènes douloureux de l’hypocondre droit à type de colique hépatique, une dyspepsie hépatobiliaire.

De même on note des troubles gastritiques ou entérocolitique qui sont extrêmement observé au court de l’asthme s’extériorisant par des ballonnements survenant après le repas, des digestions lentes, de la diarrhée ou de la constipation, voire des douleurs abdominales.

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Les manifestations neurologiques

Elles se manifestent essentiellement en migraine surtout migraine ophtalmique relativement fréquente chez l’asthmatique. Les manifestations cutanées ou muqueuses, elles sont représentées par l’urticaire aigue ou chronique, l’eczéma généralisé ou localisé voir l’œdème de Quincke.

Ces désordres cutanés sont fréquemment rencontrés dans le cadre de l’asthme précédant parfois la crise asthmatique ou associée à celle-ci. Ou le plus souvent elle alterne avec les crises d’asthmes souvent chez le nourrisson et l’enfant.

En conclusion, la similitude des lésions histopathologiques observés au court des équivalents et de certaines parentés morbides de l’asthme comparé avec celle constaté au cours de l’asthme sont toute à fait en accord avec la conception élargie de la maladie asthmatique étudié par Turiaf, Rose et Basset.

L’important de l’expression clinique de ces symptômes équivalent ou parenté morbide est de ne pas passer a connoter d’un phénomène majeure qui représente un dérèglement important du système neurovégétatif portant soit sur la muqueuse respiratoire extra bronchiques, soit sur des muqueuses extra respiratoire, en particulier la muqueuse digestif.

Ces dérèglements peuvent passer inaperçus et sont toujours,d’actualité,comme il est dit qu’un asthme tardif ou allergique à l’aspirine peuvent être graves.

Manifestations dépressives légères et transitoires

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29 Septembre 2015

 Les Manifestations Dépressives Légères et Transitoires

                                     Les   M.D.L.T

L’augmentation significative de consommation d’antidépresseurs en 2005, a été posée en France en juin 2006 terme d’impact économique et en terme de santé publique.

(Par l’office parlementaire en juin 2006 et en décembre 2006)IMG_3379

Les études de Olié El Otmari, Spadone – Lépine (Encéphale 2002, 28 (5) 411-7) sur 44000 personnes âgés de plus de 15 ans, ont montré un décalage net entre les critères diagnostiques, indications thérapeutiques et pratiques de prescriptions en matière d’antidépresseurs.

Conclusion qui ont été retenues par l’office parlementaire en 2006.

Puisque dans l’étude de 2002, on retrouve 54% des patients qui prenaient des antidépresseurs, 5% d’entre eux ne présentaient pas de symptômes ou de syndromes psychiques relevant du critère de la dépression. Parmi les patients recevant des antidépresseurs 1/3 seulement pouvaient être qualifié non pas de dépressifs mais de manifestations dépressives légères et transitoires.

Cette étude qui donc a été rejointe par les conclusions de l’office d’évaluation parlementaire, justifie à elle seule l’emploi de méthode thérapeutique alternative, dont la phytothérapie à sa place qui pour certains auraient tendance a parler de traitement alternatif de

Bleu à l’âme.

En fait les auteurs comme Olié, Lépine, Gastpar, Macqaid posent le problème de validité d’outils psychométriques pour étayer la pratique clinique et thérapeutique.

Le nombre de symptômes dépressifs et leur durée conditionnent le traitement, ce qui n’est pas facile à mettre en œuvre. Certaines échelles diagnostiques n’étant pas superposable ou opposable.

Toutefois, si on se réfère à l’étude du Credes en 1999 sur 18289 personnes, les symptômes relevés sur 11% d’hommes et 18% de femmes ressemblent étrangement a des symptômes que l’on pourraient classer en première intention comme ;

  1. Epuisement professionnel

  2. Fatigue moderne chronique

  3. Burn out

  4. Fibromyalgie

  5. Spasmophilie

Car dans cette cohorte de patients on retrouve ;IMG_0250

  1. 9% de fatigue

  2. 6% de cafardeux

Dans le mois précédant certains présentaient dans ;

    • 43% des cas, des troubles du sommeil

    • 25% des cas, perte de confiance en soi

    • 36% des cas, trouble de la concentration

    • 25% des cas, changement d’appétit

    • 17% des cas, idée de culpabilité

    • 7.5% idée de mort

    • IMG_3567IMG_2269 2

Il n’existe donc pas la totalité des piliers des symptômes de la dépression caractérisée et donc la pertinence du concept de la MDLT se trouve posée.

La MDLT justifie une prise en charge psychothérapique et la souffrance négligée et non dépressive doit être traité par la phytothérapie qui correspond à des études modernes contrôlées du traitement de la MDLT. (Cochrane Database syst.rev. 2005).

Traitement de la mdlt par la phytothérapie

Trois plantes répondent aux critères récents de régulation neuroencéphalique

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  2. la valériane

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    1. Le millepertuis 290px-Hypericum_perforatum04

Dont l’action est mesurable par son produit testé en hyperforine à 5% par extrait de millepertuis, 49% de patients sont répondeurs en référence au critère d’Hamilton.

Le mode d’action du millepertuis a été précisé par Muller (pharmaco psychiatrie 2001) ;

L’hyperforine inhibe la recapture des médiateurs impliqués dans la dépression :

  • sérotonine,

  • dopamine,

  • noradrénaline

L’inhibition de la recapture de la sérotonine est non compétitive.

Par contre, le millepertuis est un inducteur du cytochrome P450, il est donc contre-indiqué en association médicamenteuse avec les anticoagulants, les contraceptifs oraux, les anticonvulsivants, la digoxine, les traitements du sida, la théophylline et les antidépresseurs de type IRSS.

    1. La passiflore

Elle agit sur plusieurs sites d’action de neurotransmetteurs au niveau du système nerveux centrale ;

  1. Les récepteurs centraux aux benzodiazépines

  2. Les récepteurs alpha 2 adrénergiques

  3. Les récepteurs muscariniques M1

Il existe un effet synergique sur ces sites d’action avec l’aubépine et la valériane. Les effets de ces deux plantes étant moins important sur les récepteurs alpha.

    1. La valériane

Dont les composants sont extrêmement variable, mais c’est un régulateur des neuromédiateurs qui est une action également importante dans l’insomnie, survenant surtout dans la deuxième partie de la nuit.

Il peut être donné ou seule ou associé de manière alternative avec ;

  • La mélisse

  • La lavande

  • L’aubépine

  • Le pécher

  • Le nénuphar

Par son goût désagréable la valériane peut être remplacé par le cethranthe qui agit sur l’émotivité et l’éréthisme cardiaque et qui est surtout mieux toléré.

Il faut agir sur l’anxiété, l’anxiolyse est le champs de ;

  • l’angélique

  • la ballote

  • la passiflore

  • l’aubépine

  1. L’angélique

La racine a une action anxiolytique comparable au librium.

  1. La ballote

Qui est un excellent anxiolytique de la femme ménopausée.

  1. La passiflore

Connue depuis longtemps comme anxiolytique post-traumatique.

  1. L’aubépine

Bêtabloquant végétal, plante de l’anxiolyse de la femme ménopausée, tachycarde et légèrement hypertendu.

  1. Certains considèrent comme antidépresseur la lavande et le coriandre

La lavande donnée en teinture mère 40 à 50 gouttes par jour.

Le coriandre en teinture mère 40 à 50 gouttes par jour.

Mais il faut préférer des formules relaxantes associant ;

  • Le gattilier 0.07g en poudre

  • Serpolet 0.08g en poudre

  • Le bigaradier 0.1g en poudre

  • Le grindélia 0.1g en poudre

    • En gélule 4 à 6 gélules par jour

Où on peut donner ;

  • Le houblon en poudre à 0.08g

  • Le millepertuis à 0.12g

  • Le mélilot à 0.160g

    • Pour une gélule 3 à 6 gélules par jour

Le traitement phytothérapique des manifestations dépressifs légères et transitoires, et dans le champ préférentiel de la phytothérapie.

En sachant que devant toute affection de ce type, il faudra attendre un minimum d’action de 15 jours pour avoir un résultat et surtout, il faudra attendre pour une consolidation de traitement d’une période oscillant entre 3 et 6 mois.

Dans tous les cas, en cas de récidive, de rechute ou de symptômes inhabituels, il vaut mieux alors s’adresser aux professionnels de santé, et ne pas laisser évoluer une dépression réelle s’installant pour un long terme.

Laryngite

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La laryngite

29 Septembre 2015

C’est un état inflammatoire du larynx souvent d’origine infectieuse, d’origine virale ;

  • Rhinovirus

  • Influenza

  • Para influenza

  • Adénovirus

La laryngite est parfois d’origine bactérienne a streptocoque A et C. La laryngite se manifeste par de la fièvre douleur de la gorge souvent dans un temps très court avec des signes généraux et des signes d’obstructions de voies aériennes enrouement, toux, congestion nasale.

L’intervention médicale peut s’avérer urgente justifiant en outre un repos de la voie et humidification et mise sous antibiotique.

Le problème de la laryngite est de poser surtout le diagnostic d’une épiglotitte entraînant une détresse respiratoire rapide nécessitant une intervention médicale urgente. S’il existe un stridor, c’est-à-dire une gêne respiratoire avec sifflement ce n’est pas une laryngite, il faut appeler les urgences.

L’origine batracienne du streptocoque A et C et la généralisation du vaccin DT polio et pentavalent avec HIB a fait disparaître l’incidence pédiatrique de cette épiglotitte particulièrement inquiétante

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Traitement phytothérapique de la laryngite

Il est souvent indiqué dans les traités de matière médicale l’aconite et le diplotaxe dans le traitement de la laryngite.

Il ne faut pas suivre ces indications l’aconite ou Aconitum Napellus est une plante hautement toxique qui est parfois utilisée en teinture mère extrait des feuilles.

Mais sa particulière instabilité dans une solution aqueuse quelque soit la préparation font de cette plante, une plante dangereuse inscrite au tableau A.

L’aconitine contenue dans cette plante est particulièrement toxique et cette plante ne doit dans un aucun cas si elle est reconnue et souvent confondue dans la nature être utilisée.

On peut proposer des aérosols en connaissant le caractère allergisant de certaines huiles essentielles, aérosol associant ;

  • Huile essentielle de lavande 4g

  • Huile essentielle d’origan 1g

  • Huile essentielle de citron 1g

    • Dans de l’alcool à 60° 100cc

Une formule anti-inflammatoire qui agit sur l’œdème de laryngite, on peut utiliser de façon diverse;

  • L’harpagophytum procombens

  • Vergerette du Canada

  • L’ulmaire

  • Le saule

  • Le cassis

  • L’ananas

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Des gargarismes peuvent être pratiqué avec ;

  • Du plantain

  • De la ronce

    • Le tout en 10g ajouté à ;

  • Violette en fleur

  • Guimauve fleur

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    • Le tout en 50g

      • Le tout mélangé une cuillère à soupe par tasse avec du jus de citron et du miel

Des infusions de type émolliente et astringente son proposé associant ;

  • Bouillon blanc

  • Coquelicot

  • Guimauve

  • Mauve

  • Pied de chat

  • Tussilage

  • Violette

    • 3 cuillères à soupe par jour

Dans la laryngite on pourra utiliser des plantes expectorantes et antitussives et des plantes émolliente et astringente respiratoire.

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  1. Plantes expectorantes et antitussives

Il faut donc rappeler que l’aconite doit être bannis dans son utilisation.

  • L’aunée Inula helenium

Qui est un sédative de la toux, c’est un tonique agit sur la toux quinteuse.

On l’utilise en infusion de racine 20g par jour dont on boit 500cc par jour, ou poudre 2g à 4g par jour ou en alcoolature 50 gouttes par jour.

  • La capillaire de Montpellier Adiantum capillus-veneris

Dont on utilise les feuilles qui est béchique et surtout réservé aux infections bénignes des voies respiratoires.

On l’utilise en infusion à 10g par litre on boit 500cc par jour.

  • Le drosera Drosera rotundifolia

Qui est antispasmodique, antibactérien qui agit sur les toux de type spasmodique et la coqueluche mais a forte dose, elle irrite les muqueuses intestinales.

On l’utilise en teinture officinale à 0.5g à 2g par jour et on peut aller jusqu’à 10g par jour.

Par le passé on l’utilisait chez l’enfant à raison de 10 gouttes par alésage et par jour.

  • L’erysimum Sisymbrium officinalis

Qui contient une huile essentielle sulfurée qui est béchique et expectorant. Elle est utile dans l’enrouement, dans l’aphonie et dans la laryngite. Elle est expectorante.

On l’utilise en infusion de sommités fleuries 15 à 20g par litre dont on boit 500cc par jour. En teinture officinale 0.5g à 4g par jour, en poudre 2g à 6g par jour.

  • Le lierre grimpant Hedera helix

Qui contient des saponoside et des triterpéniques et de la marrubine qui est un antispasmodique agit dans les toux quinteuse et la coqueluche.

On utilise les feuilles fraîches en teinture officinale ou en alcoolature 15g à 20g par jour.

  • L’hysope Hysopus officinalis

Qui contient également de la marrubine mais l’huile essentielle est toxique par la présence de la thuyone. Elle est expectorante et fluidifiante bien quelle soit utile dans l’expectoration des affections bronchiques, il faudra se méfier de son huile essentielle qui est sous prescription médicale.

On peut utiliser l’infuser de sommités fleuries à 50g par litre.

  • Le marrube Marrubium vulgare

Dont on utilise les feuilles et les sommités fleuries qui contiennent également de la marrubine, c’est un fluidifiant des sécrétions bronchiques, expectorant et antitussif.

On utilise l’infusé de feuille ou de sommités fleuries 20 à 50g par litre dont on prend 250cc par jour. Mais le résultat et meilleure en utilisant l’alcoolature à 30 gouttes 3 fois par jour.

  • L’origan Origanum vulgare

Dont l’huile essentielle contient du carvacrole et du thymole agissant comme sédatif des toux spasmodique sans diminuer la sécrétion bronchique on l’utilise en infusion de sommités fleuries 10g par litre en buvant 500cc par jour.

  • Le polygala Polygala celica

Dont l’huile essentielle contient des saponosides, c’est un expectorant, sudorifique utile dans les bronchites chroniques.

On utilise les racines et le rhizome en infusé 10g par litre 250cc par jour, en teinture officinale 20 gouttes 3 fois par jour, en poudre 0.5 à 2g par jour, mais a dose élevé il est vomitif.

  • La primevère Primula Officinalis

La racine de primevère est un succédané du polygala, c’est un expectorant utile dans les bronchites et la coqueluche.

On l’utilise en décoction 20g à 30g par litre dont on boit 500cc par jour.

  • Le thym Thymus vulgaris

Dont les sommités fleuries contiennent de l’huile essentielle riche en thymole et carvacrole ainsi que des saponosides et des flavonoïdes. C’est un antispasmodique des muscles lisses, un antibactérien, le thym agit sur les toux quinteuses et c’est un expectorant.

On utilise l’infusé de sommités fleuries 5g à 10g par litre dont on boit 500cc par jour ou en nébulisât 0.1g à 1g par jour.

  • Le tussilage Tussilago farfara

Qui peut être hépatotoxique a forte dose. Il est antitussif, antispasmodique donné plutôt dans les bronchite chronique mais aussi dans les laryngites.

On utilise son infusé à 10g par litre en buvant 250 à 500cc par jour. Son caractère hépatotoxique devra dont faire surveiller cette plante.

On peut donner également en nébulisât jusqu’à 1g par jour.

  • La violette Viola tricolor

Dont on utilise la fleur et la racine qui est riche en huile essentielle et en saponosides.

La fleur est émolliente et antitussive, la racine est expectorante. A forte dose la violette est émétique.

La fleur en infusé est utilisée à 10g par litre dont on boit 500cc par jour, la racine décoction 10g par litre on boit 250cc par jour.

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  1. Les plantes émolliente et astringente respiratoire

    • Le bouillon blanc Verbascum thapsus

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Dont on utilise la fleur mondée et la feuille qui est riche en mucilage, flavonoïdes, saponosides, et harpagosides. C’est émollient, sédatif, anti-inflammatoire, actif dans les rhinopharyngites, dans la toux et l’enrouement.

On l’utilise en infusé de fleur à 10g par litre, on utilise 200 à 500cc par jour mais il faut filtré l’infuser car il contient des poils.

  • La bourrache Borago officinalis

Dont on utilise les feuilles et les fleurs qui contient des mucilages et de l’allantoïne.

Elle a une action émolliente, antitussive et sudorifique.

On l’utilise en infusé 10g par litre dont on boit 250 à 500cc par jour. La fleur est plutôt pectorale et la feuille plutôt émolliente.

  • Le chêne Quercus robur

Dont on utilise l’écorce des jeunes rameaux. Le chêne est riche en tanin qui est astringent utilisé surtout en gargarisme en décocté de 50g par litre.

  • Le coquelicot Papaver rhoeas

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Dont on utilise les pétales qui contiennent des alcaloïdes et des mucilage ainsi que des flavonoïdes. C’est un antitussif, spasmolytique, sédatif, et hypnotique.

Il est surtout utile dans la toux de l’enfant et le sujet âgé. A forte dose il peut entraîner somnolence et diarrhée.

On l’utilise en infusé 20g par litre dont on boit 250 à 500cc par jour.

  • La guimauve Althaea officinalis

La racine est calmante, la fleur est pectorale, la feuille est béchique. Les caractères de la guimauve sont d’être béchique, émolliente et anti-inflammatoire.

On utilise l’infusé de fleur ou décoction de racine à 10g par litre dont on boit 500cc par jour, la décoction est plutôt réserver aux gargarismes.

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  • La mauve Malva sylvestris

Dont on utilise la fleur et la feuille. La fleur ainsi que la feuille contient des mucilages, la fleur contient de plus des anthocyanosides. La mauve est béchique légèrement anti-inflammatoire, elle agit dans la toux, l’enrouement et la laryngite

On utilise l’infusé de fleur à 10 g par litre et on peut l’utiliser en gargarisme à la dose de 40g par litre.

  • Le noyer Juglans regia

Dont on utilise la feuille qui contient des tanins gallique et catéchétique. C’est un astringent et antiseptique qui est utilisé en décocter à 50g par jour en gargarisme.

  • La rose de France Rosa gallica

Dont on utilise la racine qui contient de l’acide gallique, des hétérosides, c’est un astringent et antiseptique. On peut l’utiliser en gargarisme.

Pathologie buccale : gingivite et stomatite

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Pathologie buccale

La gingivite et stomatite

29 Septembre 2015

La gingivo-stomatite a plusieurs causes, une cause infectieuse de type impétigo, une cause d’irritation mécanique, une avitaminose en particulier chez les alcooliques.

Elle s’accompagne souvent d’une mauvaise haleine d’une hypersialorrhée et une difficulté d’avaler c’est-à-dire dysphagie.

On peut proposer dans les gingivo-stomatites en bain de bouche les plantes

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  1. Sauge

  2. Genièvre

  3. Guimauve

  4. Le safran

A ces plantes essentielles on peut ajouter;

  • le citron

  • l’aigremoine

  • la saponaire

  • le troène

  • la propolis que l’on peut utilisée en badigeonnage qui a une action antibiotique

  • la sarriette dont l’huile essentielle agit sur la flore bactérienne canalaire

On considère que les plantes les plus actives en cas de stomatite ou de gingivo-stomatite sont:

    1. le citron

    2. le géranium robert270px-Pair_of_lemonsgeranium-rosat-geranium-a-odeur-de-rose-120px-Salvia_officinalis_-_Köhler–s_Medizinal-Pflanzen-126Sauge290px-Rubus_fruticosus_—_Flora_Batava_—_Volume_v15Ronce

    3. la ronce Rubus fruticosus qui est astringente désinfectante que l’on utilise en décoctions 40g par litre en donnant 3 à 4 tasses par jours

    1. aigremoine (aigremonia eupatoria) en teinture mère 30 gouttes, 3 fois par jour

    2. la guimauve althaea officinalis en infusé 10/1000 ou en décocté à 30/1000

    3. la saponaire saponaria officinalis que l’on utilise en teinture

Des bains de bouche peuvent être fait avec:

  1. une décoction de rameau de ronce

  2. une décoction de feuille de myrtille

  3. décoction de feuille de mauve

Aphte buccal traité par bain de bouche avec une décoction de prêle à 15g dans 150cc d’eau à faire bouillir puis filtre à faire ,4 fois par jour en bain de bouche.

On peut alterner ces bains de bouche avec le lysimaque nummulaire en teinture mère 20 à 25 gouttes, 5 fois par jours de préférence à mettre sur un sucre. On préfère faire mâcher lysimaque frais car il contient beaucoup de tanin.

Les gingivorragies (gencive qui saigne) on peut badigeonner 4 fois par jours avec l’association;

  • teinture de myrrhe 10g

  • teinture de ratanhia 10g

  • teinture de cochléaire 10g

On peut également faire des bains de bouche avec de l’essence de cannelle ou de l’essence de girofle dont on met quelques gouttes dans un verre d’eau.

Il vaut mieux éviter de mélanger ces deux essences car essence de cannelle est très oxydante et par ailleurs, il faut s’assurer qu’il n’existe pas de problème allergique aux huiles essentielles.

Dans tous les cas l’essence de girofle ne doit pas être avalé.

Promenade d’herborisation

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PROMENADE D’HERBORISATION

29 Septembre 2015

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Chercher et cueillir des plantes médicinales sauvages nécessitent un accompagnement guidé par des professionnels qualifiés herboristes, pharmaciens, médecins, associations ou enseignement post-universitaire,et si possible avec un herbier mis à jour avec photographies précises des plantes recherchées et obliger les enfants à se conformer un enseignement repetitif.

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Ainsi bons nombres d’erreurs parfois dramatiques pourront être évitées notamment en matière de champigons( près de 30 Saint-Cyriens en manoeuvre de survie en 1987 ont fait les frais de” conseils avisés” d’un vieux routard de la region ) confondre persil et cigüe,,ail et aconit ou nombreux fruits riches en couleur attirant les enfants.

Il faut insister sur les problèmes de cultures oû herbicides,déséherbants ont fait

de certaines espèces des raretées comme le bleuet ou le coquelicot.Ce problème n’est pas unique en agriculture type monoculture mais aussi ,parfois une pratique pour faciliter les désherbages de propriétés d’espaces tenus par des particulièrs, secondaires ou non.Certains produits sont sélectifs d’autres moins,ils interviennent indiscutablement sur la predominance d’espèces ou leur disparition mais aussi le problème recurrant de pollutions des pesticides ou de la proximité d’émission de métaux lourds,polluant justifiant la traçabilité des plantes médicinales sauvages récoltées.

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ABSINTHE, Variété GRANDE

Lieux incultes et pierreux

 

ACHE,CELERI des MARAIS

Terrain imprégné de SEL et Côtes marines,culivé et conserve en cave

ACTEE

Hautes Futaies,lieux Ombragés,Frais

AMADOU ou AGARIS FEMELLE

Tronc d’arbres Chène et vieux Hètres

AGARIS BLANC ou Purgatif

Tronc des Mélézes

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AMMI

Fugace, se rencontre et se véhicule avec les graines de Luzerne

AVOINE

Cultivé,voisine l’ORGE

ACORE

Bords des EAUX et ETANGS

ACONIT

Montagnes et cultivé

AIL

Cultivé

AGAVE

Cultivé en pôt etserres

ALOES

Pays méridionaux et dans les serres durant les mauvaises saisons

ALCHEMILLE

Bois,Près frais,Paturages des montagnes et alpines

ANEMONE PULSATILLE

Terrain Calcaire,Coteaux Secs des regions inférieures

ANSERINE

Habitation,Rivages Graveleux des Lacs,bord des routes

ANGELIQUE

La varitétée sauvage : Fossés, Près humides, Marais, la variété officinale dite de jardin est culivée mais par ses graines devient spontanée

AUNEE

Prairies Humides,Fossés

ASARET

Forêt,Montagnes(Jura)lieux Ombragés,Humides et moussues

ASPERGE

Lieux Sablonneux,cultivé

ASPERULE ODORANTE

Lieux frais,ombragés des montagnes

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ARUM ou GOUET

Bois ombragés,haies,buissons

ARISTOLOCHE

Lieux incultes,Vignes,Haies,Jardins

ARMOISE COMMUNE

Lieux Incultes,bords des Chemins,Haies,murs,décombres

ARNICA

Paturages montagneux et Alpins humides

BARDANE

Lieux arides,bords des chemins,villages

BLE

D’hiver,gros,dur, est cultivé

BLEUET

Compagnon du Coquelicot dans les Champs lors des moissons

BENOITE

Lisières des bois, le long des haies, buissons

BELLADONE

Terrain pierreux, clairières, Bois montueux, Bords des routes de Forêts

BISTROTE

Bois, PrairiesTaillis montueux

BOUCAGE(Pimpinella Magna)

Prairies des Montagnes Paturages sèches ou humides

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BOUCAGE ,PETITE

Pimpinella Saxifraga)

Bord des Chemins,Collines,Paturages secs

BOUILLON BLANC

Lieux arides, incultes, pierreux, bord des chemins, clairères des bois

BUGRANE

Champs maigres, bords des chemins et haies

BUGLOSSE

Lieux Incultes, pierreux,murs,décombres

BUSSEROLE

Paturages secs et montagnes

BRYONE

Bois et haies

CAMOMILLE ALLEMANDE

Lieux cultivés,moissons,lieux pierreux,bords des chemins

CARVI

Près secs,paturages,prairies montueuses

CAROTTE

Sauvage:prairies,près secs,lieux incultes,bords des chemins

CALAMENT

Rocailles ombragées,forèt,haies,regions montagneuses

CENTAUREE(PETITE)

Bois,lieux secs et arides,clairières

CHIENDENT

La plaie des jardins et des champs,envahit bord des chemins,haies,lieux incultes

CHANVRE

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La variété SATIVA narcotique se contente de regions dites inférieures

La variété ,SEMEN CANABIS,ou CHENEVIS ,cultivé à l’origine pour la fabrication des filasse,cordages,peu exigeant,sols pauvres ;est utilise comme alternative comme isolant des maisons ,supérieur à la laine de verre

CHENE

Forte densité en FRANCE

CHELIDOINE

Bord des HAIES,vieux Murs,décombres

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CHICOREE

Lieux arides,lle long des chemins

CIGUE

Bords des chemins,décombres,cimetières,haies,murs

CLEMATITE

Terrains secs,ensoleillés et pierreux

COLCHIQUE

Prairies humides

COQUELICOT

Disparait des champs par l’usage des désesherbants

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COGNASSIER

Sols de consistence moyenne et peu frais,ne supporte pas les terres légères et calcaires

CONSOUDE(GRANDE)

Près humides,bords des fosses,ruisseaux et rivières

 

CRESSON

Ruisseau à faible courant,lieux inondés ou humides,près des sources

DAPHNEE,BOIS GENTIL,GAROU

Bois,haies,taillis,montagnes(Jura)

DATURA

Villages,bord des chemins,décombres,jardins,

DIGITALE

Terrains siliceux et boisés(Vosges)

DROSERA

Marais tourbeux

EGLANTIER

Haies,buissons,rocailles

 

ERGOT DE SEIGLE

Champignons attaquant la fleur dans les champs des seigles

EPINE VINETTE

Collines sèches,bois calcaires,haies et buissons

EPICEA

Terrain sablonneux,montagnes du Nord

EUPATOIRE

Bord des eaux,fosses,marécages

EUPHRAISE

Près,paturages,pelouse

FENOUIL variteé ANETHUM GRAVEOLENS et FOENICULUM

Vignes,champs de cereals,bord des chemins,vignes,collines,carrières

 JLR-9 -800x600-

FENOUIL d’EAU ou CIGUE AQUATIQUE

Mares,Fossés,Marécages

FIGUIER

Région méditérranéenne,supporte l’hiver si dans un lieu chaud et abrité

FICAIRE

Bord des ruisseaux,fosses,haies,terrains herbeux,humides et ombragés

FRAMBOISIER

Bois montueux,taillis rocailleux,buissons

FOUGERES

Forets

FUMETERRE

Champs,,décombres,lieux cultivés et fraichement labourés

GAROU

Voir Bois-Gentil,Daphnéee

GENTIANE

Paturages montagneux et alpines

GENEVRIER

Lieux monteux,arides et ensoleillés,terrain calcaire ou sablonneux

GERMANDREE

Collines pierreuses,lieux arides,murs,lisières des bois,en ornementation

GERANIUM,Herbe à ROBERT

Haies,buissons,lieux frais,vieux murs ombragés,décombres

GRATIOLE

Bords des eaux,près humides,marécages

GRASSETTE

Marais tourbeux,lieux humides,marécages

GRANDE MAUVE

Haies,sols calcaires et ensoleillé(Jura)

GRANDE ABSINTHE

Lieux incultes et pierreux

GREMIL

Bois des coteaux calcaires,bord des chemins,lieux incultes

GROSEILLER

Forêt humide,jardins,cultivé

GOUET

Voir ARUM variété MACULATUM

GUI

Parasite sur écorce de POIRIER,POMMIER,rarement PIN,SAPIN,TILLEUL

HELLEBORE,variété VERATRUM ALBUM

Montagnes,Alpes et Basses-Aples,ne pas confondre avec la Gentiane

HELLEBORE FETIDE,variété HELLOBORUS FOETIDA

Terrain calcaires,pentes rocailleuses et sèches

HOUBLON

Grande culure,liex ombragés,bord des ruisseaux,haies,buissons

HYSOPE

Dans le midicoteux arides,fissures des rochers,vieilles murailles

IF

Montagnes,Jaridins,cimetières

JOUBARBE

Fentes des rochers,vieux murs,jardins(Jura,Alpes,Pyrénnées)

JUSQUIAME

Chemins pierreux,décombres,champ en friche,cultivé

LAMIER

Décombres,lieux cultivés,jardins

LAURIER NOBLE

Sud de l’Europe,en jardin,ornemetattion

LAVANDE

Climat méditérranéen,cultivé,collines sèches,rochers,lieux incultes

LIERRE TERRESTRE

Haies,lieux ombragés,bord des bois,jardins humides

LICHEN d’ISLANDE

Monagnes élevées,landes,foret de conifers

LYCOPODE

Bruyères humides,à l’ombre des conifers,terrain graveleux

MAUVE,variété PETITE

Lieux incultes,bord des chemins

MARJOLAINE

Importé des regions méditérranene

MARRUBE

Lieux incultes,décombres,bord des chemins,villages

MELEZE

Basses Alpes,sur les feuilles en été manne de BRIANCON

MELILOT

Lieux humides,long des chemins et champs

MELISSE

Region méditéranéenne,haies,rocailles,bois,buissons

MENTHE AQUATIQUE

Prairies humides,bord de ruisseaux,fosses

MENTHE POIVREE

Cultivé,à toute époque de l’année

MENYANTHE

Voir TREFLE d’EAU

 

MILLEPERTUIS

Collines,lieux secs,lisières des bois,bord des chemins en friche

MILLEFEUILLE

Bord des chemins,pelouses sèches,lieux incultes,

MORELLE DOUCE AMERE

Haies,buisons ombragés,lieux humides

MORELLE NOIRE

Lieux cultivés,décombres,jardins,vignes,bord des chemins,sur les résidus de bois brulés

MOURON

Vignes,champs en friche,lieux cultivés

MUGUET

Bois et taillis

NEPRUN

Bois,haies,buissons,roches,Landes

NIGELLE

Originaire d’EGYPTE,cultivé

NOYER

Cultivé,supporte mal le froid,originaire d’IRAN

OIGNON MARIN

Littoral des mers,Dans le MIDI,AFRIQUE méridionale,Sicile,Espagne

ORGE

Spontané: pied des murs,chemins,paturages,terres incultes

Cultivé,variété vulgaire,exige un bon sol

ORIGAN

Buisson, paturages secs,lieux pierreux

ORTIE

Villages,pied des murs,chemins,un compagon fidèle de l’homme

PANICAUT

Lieux arides,bord des chemins

PAQUERETTE

Près,gazon,bord des chemins,paturages

PENSEE SAUVAGE

Champs,lieux cultivés,moissons,jachères

PERSIL

Près des habitations,cultivé

PIN

Extémement frequent dans toute l’Europe

PETASITE

Près humides,bord des rivières

PEUPLIER

Terrains humides,bord d’eaux,ornemantation de villes

PISSENLIT

Pousse partout ,dans toutes les localités

PIVOINE

Originaire des montagnes d’Europe,Tyrol,cultivé en jardin ou potager

PLANTAIN

Bord des chemins,champs,prairies

POMMIER

Cultivé, pour ses fruits et décoration

POTENTILLE

Lieux humides,long de murs,bord des chemins,fosses,haies

PULMONAIRE

Bois ombragés,buissons

PRELE

Terrains humides,sablonneux,marneux

PRIMEVERE

Prairie ,taillis,paturages

PULSATILLE

Terrain sablonneux,collines de pins et bouleaux,prairies de l’Europe Centrale et

Septentrionales

RAIFORT

Cultivé,la variété COCHLEARIA OFFICINALIS se trouve également sur le littoral Oceéanique et la Manche,au pied des rochers humides,bord des eaux salées

REINE DES PRES

Prairies humides,bord des eaux,jardins

RENOUEE

Chemins,champs,décombres

RENONCULE SCELERATE

Bord désséchées des mares,vases,lieu humide,eaux stagnantes

RHUBARBE,type RHEUM OFFICINALIS ou RAPONTICUM

Purgatif cultivé

ROMARIN

Cultivé,lieux arides méditérranéens

RONCE

Forets,haies,bois,champs

RUE dit LAITIER

Prairies ,pelouses,le long des bois

SABINE

Commun à l’Europe Méridionale,Alpes,jardins publics

SALICAIRE

Le long des cours d’eau et lieux humides

SAFRAN

Originaire orientale,a fait la reputation de la region d’Angers, cultivé surtout par les pays du Moyen-Orient,Iran,Turquie

SANICLE

Bois,buissons,forêts ombragées

SALSIFIS DES PRES

Près secs,le long des champs

SAPONAIRE

Haies,bord des chemins, et eaux,lisières des champs

SAUGE

Clairières,coteaux secs du Midi,cultivé

SERPOLET

Terrains en friche,bord de routes,coteaux ensolleillés,paturages,pelouses

SCABIEUSE TRONQUEE

Prairies,bois

SCEAU DE SALOMON

Buissons,collines calcaires et pierreuses

SCOFULAIRE

Lieu frais et ombragé

SOUCIS

Cultivés partout

SUREAU

Ubiquitaire près des maisons,haies,taillis,forets,jardins

TABAC

Culitvé,introduit par NICOT en 1560,originaire d’Amérique centrale et Amérique du Sud

TANAISIE

Endroits pierreux,bord de routes,es rivières,le long des voies ferrées

TAMIER

Bois,haies,

THYM

Europe Méridionale,cultivé,pousse partout

THUYA

Jardin et pallissades

TORMENTILLE

Près,bois

TREFLE d’EAU ou MENYANTHE

Marais,fosses,eaux dormantes,au bord des étangs

TUSSILAGE

Bord des chemins,terrains argileux

VALERIANE

Buissons humides,haies,bords des rivières,près,en haute altitude

VELAR

Décombres,haies,bord des chemins

VERGE D’OR

Collines montagneuses et sèches d’Europe

VERONIQUE

Bois secs,paturages,forêts,coteaux,bord des chemins

VESSE DE LOUP

Vignobles,prairies,lisières des bois

VIOLETTE

Lieu ombragé,frais,le long des haies,murs,cultivé

VIORNE MANCIENNE

Haies,buisons,taillis

VULNERAIRE

Près,paturages secs,collines arides

YEBLE

Voisinage des forets,bord des routes,lieux incultes

<<<<<IDENTIFICATION DES PLANTES PAR LA COULEUR DES FLEURS BLANCHES

 

 

 

 

ALLIAIRE

ASPERULE

ACHE

AIL

AUBEPINE

BOURSE A PASTEUR

BRYONE

BUSSEROLE

CARVI

CRESSON

CERFEUIL

EUPHRAISE

FRAMBOISIER

HELLEBORE

LAMIER

LYCOPODE

MARONNIER d’INDE

MENYANTHE

MELILOT

MILLEFEUILLE

MOURON

OSEILLE

PAQUERETTE

POTAGRE

PRUNELIER

RAIFORT

REINE DES PRES

SORBIER

SUREAU

<<<<<<PLANTES A FLEURS ROUGES

 

 

ALKEKENGE

AGRIPAUME

BETOINE

BRUYERE

BUGRANE

CETRANTHE

DIGITALE

ECHINACEE

EGLANTIER

FUMETERRE

GUIMAUVE

MAUVE,PETITE

ORIGAN

PRIMPRENELLE,GRANDE

SAPONAIRE

SERPOLET

TREFLE DES CHAMPS

TREFLE DES PRES

VALERIANE

<<<<<<PLANTES A FLEURS JAUNES

 

 

ABSINTHE

ANGELIQUE

ARGOUSIER
ARMOISE

ARNICA
BETOINE
BOUILLON BLANC
CHELIDOINE

EUPATOIRE

FENOUIL

FICAIRE

GAILLET

GENTIANE

LIVECHE

MELILOT

MILLEPERTUIS

MOUTARDES

NAVET

NERPRUN

ONAGRE

PISSENLIT

POTENTILLE

PRIMEVERE

SOUCI

TAINAISIE

TUSSILAGE

<<<<<PLANTES A FLEURS BLEUES

 

 

BLEUET

BUGLOSSE

CONSOUDE

CHICOREE

HYSOPE

LAVANDE

LIN

LIERRE TERRESTRE

MENTHE

NIGELLE

PULMONAIRE

ROMARIN

SAUGE

VERONIQUE AQUATIQUE

VERONIQUE OFFICINALE

<<<<<LES PLANTES A FRUITS

Toutes les plantes dangereuses sont indiquées par trois signes ***.

 

Nous avons classé intentionnellement les fruits qui passent de couleur rouge ou de bleue à noir sachant qe ces couleurs sont des variations progressives et naturelles

PLANTES A FRUITS ROUGES

ARGOUSIER

AUBEPINE

AIRELLE

EGLANTIER

ARUM***

BUSSEROLLE

BRYONE***

CHEVREFEUILLE***

IF***

FUSAIN***

MUGET***

MORELLE***

TAMIER***

DOUCE AMERE***

SCEAU DE SALOMON***

REDOUL***

PHYTOLLAQUE***

LYCIET***

JEQIRITY(ABRUS PRECATORIUS)***

SORBIER

MYRTILLE

FRAMBOISIER

<<<<<<<PLANTES A FRUITS NOIRS OU BLEU NOIR

 

 

ACTEE***

BELLADONE***

TROENE***

DAPHNEE***

REDOUL***

PHYTOLLAQUE***

PARISETTE***

MORELLE***

LIERRE***

CHEVREFEUILLE***

SUREAU

PRUNELIER

CONSOUDE

NERPRUN***

LYCIET**¨*

SCEAU DE SALOMON***

MORELLE***

<<<<<<PLANTES A FRUITS BLEUS

 

 

 

ACTEE***

PRUNELIER

DAPHNEE***

PARISETTE***

MORELLE***

<<<<<<PLANTES A FRUITS BLANCS

 

 

 

AIRELLE
GUI***

Il est indispensable qu’un enseignement de reconnaissance soit fait aux enfants,les fruits se révélant le piège le plus frequent en matière d’intoxication accidentelle,d’autant que ces espèces sont communes et proches des habitations ou servent de decoration de jardins.

SIDA et Plantes médicinales

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LE SIDA et PLANTES   MEDICINALES

 

29 Septembre 2O15

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          Mise au point provisoire
               du 31 Mars 2008:

Dans tous les cas TRITHERAPIE

 

EN 2017,diffuser l’AUTOTEST VIH(Première commerçialisation en septembre 2015;90000 tests vendus en 2016),un rapport est suspect de contamination,faire un test CD4 et consulter dans les moins de 48 heures pour engager un traitement Pré-Thérapeutique avec surveillance sérologique trimestrielle,facilitation des traitements par la mise en circulation de trithérapie à prise unique.

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La surinformation,les progrès thérapeutiques ,la modification de l’espace singulier du colloque malades-médecins,la lourde charge émotionnelle de cette affection cause de la deuxiéme cause de mortalite en Ile de France ont fait apparaître
un désarroi sensible et lisible exprimé dans les médias et sur le net.Pourtant, en dehors de ces flux tendus, des informations passent et sensibilisent
une population durement touchée qui se sent capturée par des protocôles thérapeutiques oû et
disparaîtrait , à tord ,le libre arbitre.
Malgré des résultats tangibles et incontestables
s’est insinué des alternatives thérapeutiques phytothérapiques considérées comme efficaces et moins aggressives mais qui dans leur ensemble s’appuient sur des études thérapeutiques in vitro ou animales qui en aucun cas ne peuvent être étendues à des essais thérapeutiques avec défaut de processus scientifique .Ainsi sont apparus de nettes discordances ou d’effets contradictoires alors que les publications étaient nombreuses et diversifées
 

Le cas le plus exemplaire fut l’impact du GINSENG

Dans le SIDA s’appuyant sur une documentation très élaborée américaine,russe,chinoise ou japonaise qui permit de 1985 à 1991 d’établir des protocoles incluant le GINSENG ROUGE SEMI-SAUVAGe dans le traitement du SIDA.Certains tests immunostimulants étaient incontestablement positifs ,les bibliograhies fiables pourtant ces études françaises avortèrent et obligeant d’introduire l’AZT ,seule thérapeutique disponible à cette époque car dès le mois de juillet 1991 ,on pouvait conclure que sous GINSENG ROUGe était observé :

290px-Ginsengpflanzeginseng_root

1)un taux de lymphocytes T4 stable dans le groupe

placebo et discrète diminution dans le groupe GINSENG

2)il existe une élévation significative des lymphocytes NK dans le groupe GINSENG(confirmant les études japonaises )

3)Aggravation clinique globale sous le groupe GINSENG qui ne fait que confirmer les informations

de Journ.Infect.Disease compatibles avec le fait que globalement les séro-positifs stables ont des taux bas de cellules NK

4)les index biologiques in vitro montrent une stimulation de la réplication virale par le Ginseng avec production accrue du surnageant en protéines du HIV et augmentation de l’activité transcriptase inverse

On ne peut pas donc étendre  les

Essais in vitro aux essais

cliniques

d’une thérapeutique alternative avec le Ginseng.

 Cette notion reste
Intacte sur une période de près de 20 ans lorsque
Est publiée en ligne sur « retrovirology » le 20/03/008 :un microcide à base de plantes.

Il est évoqué un microbicide à base d’extrait acqueux de mélisse,menthe et sauge,extrait qui semble exercer un puissant effet anti-VIH et réduire la capacité du virus à infecter les lymphocytes T,les macrophages et les histocultures ganglionnaires.Donc essai in vitro n’entrainant pas une alternative pré-clinique consensuelle.et surtout tentation avec ses risques d’essais contre-productifs entravant une therapeutique éprouvée

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La relecture des essais et des bibliographies permettent le 31 mars 2008 de préciser les plantes

Incompatibles ,les plantes accessoires que l’on peut éviter et les plantes utilisées à encadrer :

1)PLANTES INTERVENANT NEGATIVEMENT SUR LES TRAITEMENTS ANTI-VIRAUX  à ne pas utiliser :

a)AIL    

Reduit les traitements Anti-VIH-,et inhibiteurs  protéases

 

ail-noir-maison

b)CHARDON-MARIE

s’oppose aux traitements anti-VIH

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c)MILLEPERTUIS

s’oppose aux traitements anti-VIH

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2)Plantes ACCESSOIRES mineures à encadrer

****Cannabis :

plante stupéfiante manufacturée et prescrite dans les stades terminaux,avec stimulation de l’appêtit et diminution des nausées

KONICA MINOLTA DIGITAL CAMERA


290px-Cannabis_sativa_001 

*****GINGEMBRE dans les NAUSEES290px-Zingiber_officinale_-_Köhler–s_Medizinal-Pflanzen-146

*****GINGKO BILOBA :

dont l’essentiel est de prévenir les Troubles encéphaliques voire prevention des troubles de la cognition et mémorisation,dont les résultats sont contestés alors que les études chinoises sont consensuelles.Attention le Gingko allonge le temps de saignement

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******SANGUINAIRE :

290px-Bloodroot_(Sanguinaria_canadensis)

il est dit qu’elle est utilisée dans les complications infectieuses du SIDA type Pneumocystis,mais cette indication n’a pas sa place dans cette infection

 

 

*****Le BUIS est cité mais  est sans  intérêt dans le Sida

MISE AU POINT DES PLANTES CLASSEES ACTIVES ANTI-VIH

1)AILail-noir-maison

étudié dans le VIH,anti-infectieux parasitaire et anti-mycosique,allonge le temps de saignement +++ les extraits d’ail interagissent avec les inhibiteurs de la protéase +++++,réduisent l’action des traitement anti-VIH +++++et induisent des résistances ++++ à certains médicaments

2)ALOES VERA

Aloe_ferox_1

utilisé dans les affections cutanées,son dérivé l’Acemannan : inhiberait le VIH n’a en fait jamais été prouvé cliniquement++++

3)ANDROGRAPHIS PANICULATA

en Inde,Thaïlande,Indonésie

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breveté sous le nom d’ANDROVIR  il accroit les CD4 et diminuerait la charge virale ++++

Mais a été supplanté par la trithérapie++++

4)ASHWANGHA

WITHANIA SOMNIFERA

290px-Ashwagandha

originaire d’Inde a une action superposable au Ginseng,adaptogène et sédatif léger ,les essais connus ne sont que des tests animaux.+++

 

Les Médecins ayurvédiques l’utilisent comme tonique et perte de poids

 Ils prescrivent le traitement en séquences dyscontinues , il n’est pas préciser l’objet de cette précaution

5)L’ASTRAGALE

ASTRAGALUS MEMBRANACEUS

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Il n’existe pas de protocole digne de ce nom dans le VIH,pourtant incontestablement anti-viral et utilisé dans l’hépatite B.

On l’utilise dans les chimiothérapies pour traiter la baisse de l’immunité cellulaire

 Provoque des hypotensions artérielles,pollakiurie,augmente le temps de saignement

6)ATRACTYLODES MACROCEPHALA

le BAIZHU

atractylode-plante10-seeds-atractylodes-macrocephala-seeds-bai-zhu-seeds-3

En laboratoire est immunostimulante ;

Les chinois l’utilise associée aux chimiothérapies(cancer de l’estomac)

7)les champignons asiatiques

Le SHITAKE est sans intérêt:Lenticules

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Le MAITAKE et le REÏSHI

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Seraient immunomodulateurs mais ils sont allergisants voire

Provoquent des chocs anaphyllactiques

Donc à éviter

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8)CHARDON MARIE

Action sur traitement anti-VIH

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Syllibum marianum

Ce classique hépatoprotecteur inhibe l’action

des anti-VIH

9)CURCUMA

Curcuma Longa

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Les résultats indiens

sont négatifs et non conformes aux essais in vitro

10)ECHINACEE

Echinacea Purpurea

220px-Échinacée_pourpre290px-Echinacea

Bien qu’immunostimulant,intervient négativement sur les rétroviraux++++ et on connaît son interférence négative sur la cyclophosphamide

Donc sans intérêt dans le VIH

11)GINSENG

ginseng_root PANAX GINSENG

Nous avons le coté expérimental paradoxal,et il semblerait qu’il augmenterait le nombre de virus VIH et on ne connaît pas les interactions possibles avec les retro-viraux

12)GRANDE CHELIDOINE

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Chelidonium Majus

Augmente les lymphocytes T,

Utilisé dans le syndrome de KAPOSI mais les essais sont de faible envergure et sont insuffisants pour se prononcer

Toxicité neurologique à prendre en compte

13) GRIFFE du CHAT

Uncaria Tomentosa

cette plante péruvienne est toxique chez la femme enceinte .elle augmente les CD4 mais les essais sont insuffisamment documentés

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14)GUGGUL

Commiphora mukul

Cet hypocholestérolémiant indien stimule la leucocytose mais inutile dans le VIH.

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15)MELALEUCA ALTERNIFOLIA

Son huile essentielle est allergisante et épileptogène

Utile dans le traitement des mycoses cutanées et surtout les mycoses buccales résistantes au traitement standard

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16)HYDRASTIS CANADENSIS

Au tableau A, à action vasculaire ,est déconseillée chez le séro-positif car son composant la berberine a un effet drastique.Son seul intérêt est de favoriser l’action des antibiotiques

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17)HYSOPE

Hyssopus Officinalis

Son huile essentielle contenant de la thyuone est épileptogène et limite son emploi même à faible dose bien que stoppe la Multiplication du VIH et augmente les CD4

18)ISATIS

Isatis tinctorium

Cette plante utilisée en Chine présente beaucoup trop d’inconvénients mal répertoriées bien que connue comme active dans l’herpès,l’hépatite B et dans le VIH mais toujours en associations avec d’autres plantes.A revoir.

290px-Isatis_tinctoria_Sturm28

18)le LAPATCHO

Cette plante brésilienne est toxique et n’a aucun intérêt,effet anticancer usurpée

19)LOMATIUM

Lomatium Dissectum

In vitro inhibe le VIH+++ mais aucun protocole digne de ce nom n’est recevable+++

20) MELISSE et MENTHE

Voir l’article en ligne du 20/03/008,aucune étude

Tangible justifie leur emploi dans le VIH

21)MILLEPERTUIS

Les interactions négatives sont de plus en plus nombreuses :

Retro-viraux VIH,++++

Anti-Coagulant,

Anti-Dépresseurs IRSS,

Contraceptifs,

Viagra,

Immunodépresseurs des

Gréffés,

Amphétamines,

Stupéfiant,

RUE,(Toxique,inerdite à l’emploi)

Méthadone

22)NEEM

Aradiracta Indica

azadirachta indica

Le dispensaire du village indien,stimulant,immunostimulant,antibiotique,anti-paludique,maladies cutanées(Eczema,Candida)

Les seules informations concernent les formulations anti-infectieuses et la malaria

Bien que véritable panacée nécessite un encadrement médical

Est recommandé comme immunomodulateur d’appoint dans le VIH

23)OLIVIER

Il n’a strictement aucun intérêt dans le sida

24)le PROPOLIS

Allergisant,intéressant dans le traitement des mycoses buccales

25)PSYLLIUM

Plantago Ispagula

Est utile dans les colopathies médicamenteuseslin

26)REGLISSE

GLYCCIRRRIHA GLABRA

En 1990,une forme injectable augmentait les lymphocytes T chez le seropositif asymptômatique

Il s’oppose à la réplication du virus

L’intêret du réglisse se justifie dans la protection Hépatique Iatrogene

 

27)SHATVARI

Asparagus Racemosa

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Considéré comme adaptogène,seuls les tests animaux montrent une stimulation des macrophages +++et une interaction positive sur les effets immunosuppresseurs +++ de la chimiothérapie

Pas d’indice précis dans le HIV

28)la SPIRULINE

Arthospira Platensis

Bien qu’inhibe in vitro la réplication du VIH +++ et l’herpès,il n’existe pas à ce jour de validité convergente dans son utilisation dans le VIH

29)SUREAU

Sambucus Nigra

In vitro ralentit la multiplication du VIH ++++ mais non suivi d’essai thérapeutique+++

30)TRICOSANTHES

 

 

le Concombre chinois 

Tricosanthes Krilowi

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On extrait la trichosanthine isolée en 1970,testé dans le VIH en 1980,1990 confirmation de l’inefficacité du concombre chinois dans le VIH+++

Utilisé dans les avortements en Chine en association ,plante très allergisante,sinon interdite durant la grossesse,

Apparaît souvent dans des formulations anti-cancèreuses

La substance Q extraite in vitro agit contre les lymphocytes T et macrophages infectés mais l’expérience à statuer sur son inefficacité +++dans le VIH+++

CONCLUSIONS PROVISOIRES VIH et PLANTES MEDICINALES

La progression de la maladie  SIDA et sa mortalité ,avec le Paludisme en particulier dans le Sahel,galopante dans le tiers monde,obligent à l’accés de Tritherapie,dans tous les cas se méfier des nouveautés de phytothérapie promotionnées par certains tradi-praticiens

 

 

Acouphènes

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LES ACOUPHENES

Les acouphènes sont une sensation auditive désagréable survenant en l’absence de tout stimulus sonore décrit comme sifflement, bourdonnement, sensation d’eau qui coule dans les oreilles, tintement de cloche, bruit de sirène.

L’acouphène pose plusieurs problèmes

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  1. Est-il isolé ?

  1. Est-il le témoin d’une hypertension artérielle ?

  1. S’intègre t-il dans un contexte de vertiges de manière sans signe auditif ?

  1. S’intègre t-il dans un contexte labyrinthique ?

  1. Est-il associé à un trouble de l’audition ?

  1. Existe il un contexte infectieux otite ou non évolutif ?

  1. S’intègre t-il dans un contexte barotraumatique type plongée, sport de type parachutisme, travail à haut intensité de décibel (travaux publique, marteau piqueur) ?

  1. Fait-il parti d’un contexte phobique, bruyant, peur du vide, d’agoraphobie, de trouble obsessionnel, de lipothymie dans un contexte de stress sévère, de spasmophilie ou d’épuisement professionnelle ?

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De toute façon, s’il existe un moindre doute et surtout un vertige s’accompagnant d’un trouble auditif, il implique une consultation médicale et une consultation dans un service de spécialité ORL.

S’il existe une hypertension artérielle, elle devra être démasquée, traitée et un bilan recherché devant tout signe auditif un bilan complet voir hospitalisation  si indiquée.

S’il existe une surdité associé la présence ou l’absence d’un acouphène, d’un vertige, d’un trouble de l’équilibre, d’une sensation de plénitude de l’oreille, d’une otorrhée, d’une céphalée, d’une dysfonction du nerf facial, une paresthésie de la face et du cou, une consultation par un professionnel de santé s’impose.

Quel sera le but du traitement des acouphènes ?

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  1. Minimiser la perception de l’acouphène par un traitement.

  1. Corriger les facteurs de risque, favorisant les pertes auditives (appareillage, rééducation, réinsertion professionnelle, le bruit professionnel étant un facteur essentiel inducteur des acouphènes.

  1. Un traitement impératif par antibiotique précoce s’il existe un problème infectieux.

Dans tous les cas s’il existe un facteur professionnel, le port du casque est une obligation il sera nécessaire si l’exposition est de 8 heures par jour à 80 décibel.

Chez l’enfant il faudra éduquer et éviter les walkmans surpuissants qui ont un rôle inducteur dans les troubles de type acouphène.

De toute façon pour les problèmes professionnels, le recourt à un spécialiste oto-rhino, ORL et médecine du travail ont un rôle essentiel dans la prévention des acouphènes.

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Traitement phytothérapique des bourdonnement d’oreilles

  • Le ginkgo biloba

Le ginkgo biloba a un rôle de prévention qui est reconnu. On connaît son action sur les troubles cognitifs modérés étudiés chez les personnes âgées.

En particulier par l’équipe de Dekosky Fitzpatrik et Ives dans Contemporay Clinical Trials 2006 n° 27.

Cette étude prévu pour cinq ans depuis 2000 et 2002 sur plus de 3000 sujet âgé de 75 ans, a été conçu pour étudier surtout l’effet préventif du ginkgo biloba dans la prévention de la démence et de la maladie d’Alzheimer, mais aussi sur la fonction cognitive, le déclin fonctionnel, l’incidence des événements cardio et cérébrovasculaire chez ces sujets.

On sait que le ginkgo biloba a des propriétés antioxydantes, vasodilatatrice et de protection antiamyloïde qui pourrait prévenir ou ralentir le déclin cognitif.

Dans les bourdonnements d’oreilles on utilise l’extrait de ginkgo biloba à 40 mg,

3 fois par jour

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  • Le sésame Sesam Indicum

Qui est le remede Chiinois des acouphenes et des troubles visuels dans la vision floue et les vertiges.

  • Le cimifuga Cimicifuga Racemosa

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Plante connue pour ses actions vasculaires, hypotensives et souvent associées avec le ginko biloba.

On sait que certaines surdités de perception son dû à la déficience en zinc donc on peut considéré une zincothérapie mais qui reste a prouver, en donnant une alimentation riche en zinc.

Par exemple ;

L’épinard 60 à 120 mg par jour ou le persil, le chou, le concombre, le haricot vert, l’endive, les pruneaux, les asperges. Mais cette zincothérapie demande encore des éléments de recherche approuvés.

  • La pervenche Vinca minor

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Qui ne devrait plus être associée car il existe des risques d’interactions médicamenteuses;Arrête de commercialisation  par decrêt ministériel 0ctobre 1998

En cas d’acouphène important lié à l’environnement de travail peuvent s’ajouter des sensations d’étourdissement ou de vertiges.

On peut alors proposer en association avec les traitements déjà cité sauf Pervincamine ;

Le gingembre ½ cuillères à café par jour voir 1g par jour en cas de mal de transport.

Nous avons vu que le ginkgo biloba agit sur les vertiges et dont l’indication et surtout acouphène, trouble de mémoire et démence mais il existe des effets indésirables de type intolérance digestive, diarrhée vomissement, prurit, céphalée, vertige voir .

Il existe une interaction médicamenteuse car il potentialise les anticoagulants.

Le ginkgo biloba que l’on peut utiliser soit à 240mg d’extrait par jour ou en feuille, en extrait de 120 à 250mg par jour. En cas d’utilisation, il doit toujours être signalé et surtout s’il existe une

Woman with closed eyes is plugging her ears with fingers when suffering from tinnitus. Red bells as symbol of unbearable ringing in ears. Concept of diseases of hearing organs or neurology problems

 

intervention. Car il existe un risque hémorragique accrue lors d’intervention chirurgicale.

  • Le céleri Apium graveolens

Est utilisé dans les étourdissements en Chine.

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  • La citrouille Cucurbita pepo

Est utilisée en graine. Utile dans les étourdissements, il existe une préparation du vertigineux journalier associant ;

  • gingembre quatre cuillère à café,

  • une cuillère de graine de citrouille,

  • des zestes moulu d’oranger,

  • des grains de céleri,

  • feuille de camomille,

  • du fenouil

  • et menthe poivrée

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Des associations doivent être connues pour le traitement des acouphènes ;

  • le ginseng 2g

  • ginkgo en feuille 20g

Ou

  • ginkgo 20g

  • écorce de marron d’Inde 5g.

Ou

  • décoction 2g de ginkgo

  • myrtille baies 5g

  • mélilot sommités fleuries 2g

  • vigne rouge feuille 2g

Il existe une formule classique des traitements des acouphènes associant ;

  1. Des anti-inflammatoires

    • Harpagophytum procombens en nébulisât 3g par jour

    • Vergerette du Canada Erigeron canadensis 3g de nébulisât par jour

Associer avec

    • Cyclamen en teinture mère 15 goutte par jour puis faire une pause pendant 15 jours

    • Melus en alternance avec le cyclamen 30 gouttes en teinture mère 3 fois par jour

    • Le cimicifuga ou Actea racemosa que l’on peut donner en sachant qu’elle est hypotensive.

Par ailleurs il faut connaître un remède Chinois qui donne les enveloppes de graines de tournesol jusqu’à 15g par jour ou le réceptacle des fleurs de tournesol avec les mêmes résultats.